Liberté Ressemblance Sartre Rousseau

de la nature à l’« intimité » d’un « moi » fragile qui risque de s’y « noyer » (l. 4) ou de s’y « perdre vite » (l. 8). Si « les choses pensent par moi » (l. 7), confie ou avoue le poète, ou si « je pense par elles » (l. 8), c’est précisément aux libertés de la prose qu’il convient ici d’accomplir, « sans arguties, sans syllogismes, sans déductions » (l. 89), l’accouplement de ces deux identités « rivales ». Un double champ lexical très contrasté exprime ainsi au fil des strophes du poème ce « duel

l’autre influences, ces artistes sont, une fois de plus, acculturés. Ils créent une Oeuvre pouvant parfois paraître artisanale mais qui n’oublie jamais les préoccupations esthétiques de leur époque, en n’omettant pas non plus d’acquérir une marge de liberté nécessaire à son émancipation. Néanmoins, il est possible de dire que la peinture et la littérature marocaines du XXè siècle sont issues d’une source commune, rurale ou montagnarde, aux ambitions symboliques et utilitaires. Il semble donc se vérifier

l’autre influences, ces artistes sont, une fois de plus, acculturés. Ils créent une Oeuvre pouvant parfois paraître artisanale mais qui n’oublie jamais les préoccupations esthétiques de leur époque, en n’omettant pas non plus d’acquérir une marge de liberté nécessaire à son émancipation. Néanmoins, il est possible de dire que la peinture et la littérature marocaines du XXè siècle sont issues d’une source commune, rurale ou montagnarde, aux ambitions symboliques et utilitaires. Il semble donc se vérifier

d’inconscient qui passe dans l’écriture et qui ensuite nous est révélée par le regard des autres, la lecture des autres. « L’acte d’écrire me structure ainsi que l’avait fait auparavant l’acte de lire.»2 Dans chacun de ses romans, s’affirme l’idée que la liberté ne s’octroie pas mais qu’elle s’arrache, notamment, lorsqu’il s’agit d’une femme vivant dans une société à dominance masculine et de surcroît instruite. C’est ainsi que la perspective centrale de ses écrits est le destin de personnages-féminins

incomparable, et un agrément dans son esprit, dans son visage et dans ses actions que l’on n’a jamais vu qu’à lui seul. » Citons également Paul et Virginie, les touchants et vertueux héros éponymes du roman de Bernardin de SaintPierre, disciple de J.-J. Rousseau, qui incarnent une humanité bonne et naturelle, dotée d’une saine beauté, qui a échappé à la perversion de la civilisation, vivant dans la lointaine île de France (future île Maurice). Comme tous ces héros relèvent d’une certaine idéalité, ils

incomparable, et un agrément dans son esprit, dans son visage et dans ses actions que l’on n’a jamais vu qu’à lui seul. » Citons également Paul et Virginie, les touchants et vertueux héros éponymes du roman de Bernardin de SaintPierre, disciple de J.-J. Rousseau, qui incarnent une humanité bonne et naturelle, dotée d’une saine beauté, qui a échappé à la perversion de la civilisation, vivant dans la lointaine île de France (future île Maurice). Comme tous ces héros relèvent d’une certaine idéalité, ils ont

incomparable, et un agrément dans son esprit, dans son visage et dans ses actions que l’on n’a jamais vu qu’à lui seul. » Citons également Paul et Virginie, les touchants et vertueux héros éponymes du roman de Bernardin de SaintPierre, disciple de J.-J. Rousseau, qui incarnent une humanité bonne et naturelle, dotée d’une saine beauté, qui a échappé à la perversion de la civilisation, vivant dans la lointaine île de France (future île Maurice). Comme tous ces héros relèvent d’une certaine idéalité, ils ont

des athlètes, se multiplient les dévoiements qui interrogent sur les fonctionnements de notre société et sur les différentes formes de déshumanisation qu’entraîne la lutte pour la réussite. Il est diffi cile de dire dans quelle mesure les ressemblances observées entre le sport et la société relèvent d’une simple coexistence. Analyser ces relations devrait nous permettre de mesurer en quoi l’un de ces deux mondes peut être le refl et – accentué ou atténué – de l’autre. CHAPITRE I LE SPORT

73 ans, est mis à la retraite. Il va falloir se serrer la ceinture. Désormais, la famille habitera Villeparisis, une bourgade proche de Paris. " La vie y sera moins chère ", dit la mère. " Voire plus saine ! " ajoute le père, qui ne jure que par Rousseau. Honoré n’a aucune envie de devenir notaire. Il persuade sa famille que la littérature, avec un génie de sa trempe, ça peut rapporter gros. Marché conclu : il aura une mansarde à Paris et un peu d’argent de poche. Comme tous les littérateurs de

Qui plus est, la mémoire ne constitue plus qu’un élément d’un système plus large et plus complexe de l’inconscient et de l’imagination. « Si Resnais a d’abord été appelé « le cinéaste de la mémoire », il apparaît de plus en plus qu’il préfère la liberté de l’imaginaire aux mécanismes du souvenir. »3. Les études sur le cinéma reflètent bien cette évolution avec la publication d’ouvrages4 tels que Alain Resnais, arpenteur de l’imaginaire : de Hiroshima à Mélo et Alain Resnais the role of imagination