Libre échange Et Protectionnisme Chiffres

Un monde en réseaux La mondialisation est le Processus croissant d’ouverture et d’interdépendance des économies, des cultures et des sociétés produisant une intensification des échanges grâce au développement des moyens de communication et à l’extension du libre-échange. Elle est le fruit d’un processus d’extension du capitalisme occidental dans l’espace mondial en trois temps : Après les Grandes Découvertes de la Renaissance, les grands empires coloniaux ont couvert les ¾ de la planète à la fin

filiales. C'est la pratique de l'intégration verticale systématique à partir des années 1900-1910. Toute la chaîne de production est maîtrisée, de l'arbre à la voiture avec Citroën qui appartenait à Michelin. Et ainsi en 10 ans entre 1904 et 1914, le chiffre d'affaire de Michelin est multiplié par 10. Aux USA, la concentration s'effectue aussi très rapidement avec deux principales entreprises: Goodyear et Firestone. L'industrie est marquée par la concentration géographique. En effet l'Allemagne garde

d’intensification des échanges internationaux de biens et de services a été voulu et encouragé par la plupart des Etats Le GATT (general agreement on tariffs and trade) puis l’Organisation mondiale du commerce (OMC) ont fixé des règles propres à lever les obstacles aux échanges. Ils ont donc pu augmenter à un rythme beaucoup plus rapide que le PIB, entre pays développés et en voie de développement mais également, et surtout, au sein des pays industrialisés. Ce développement des échanges s’est accompagné

capacités d’adaptation : ils savent par exemple se protéger très tôt de la concurrence. Tarifs douaniers : Mac Kinley 49% 1890 Wilson 40 % 1893 Dingley 57% 1897 Payne 600 articles 1909 Underwood en 1913 Le protectionnisme (doctrine Clay dès 1820) a permis le développement économique et industriel, car les prix élevés sur le marché intérieur permet de couvrir très rapidement les investissements et de réaliser des profits substantiels -> Exportation vers la Grande-Bretagne

|investissement, FBCF | | Qu’est-ce que la croissance économique ? La croissance économique est l’augmentation durable de la production. La valeur ajoutée est le chiffre d’affaires diminué des consommations intermédiaires. Le PIB (produit intérieur brut) est la somme des valeurs ajoutées des unités de production sur le territoire économique d’un pays. La mesure de la croissance économique consiste à calculer le taux

RELATIONS ECONOMIQUES INTERNATIONALES 20 CHAP. I : DIVERSITE DES RELATIONS INTERNATIONALES 20 CHAP. II : LES FONDEMENTS DU COMMERCE INTERNATIONAL 22 CHAP. III : LES POLITIQUES DES ETATS EN MATIERE DE COMMERCE INTERNATIONAL 26 CHAP. IV : MESURES DES ECHANGES : LA BALANCE DE PAIEMENT 28 CHAP. V : LE CHANGE ET LE MARCHE DE CHANGE 33 2ère PARTIE ECONOMIE ET ORGANISATION DES ENTREPRISES 37 THEME 1 : L’ENTREPRISE ET SES SYSTEMES 38 CHAP. I : L’ANALYSE SYSTEMIQUE DE L’ENTREPRISE 38 CHAP.  : LE SYSTEME

production agricole mondiale 13 1. L’état de la production agricole mondiale ; 13 2. Les prévisions de la production agricole mondiale ; 14 II/ L’importance de la production agricole dans les échanges mondiaux ; 15 1. Les exportations des produits agricoles 15 2. Part des produits agricoles dans le total des marchandises 15 3. Principaux exportateurs et importateurs 16 Section 2 : L’état actuel du secteur

colonial britannique sur lequel « le soleil ne se couche jamais » est le plus important du monde. Grâce à lui, l'Angleterre s'approvisionne en matières premières (caoutchouc, minerais) et aménage des débouchés pour sa production. Par son étendue et les échanges qui l'animent (favorisés par l'ouverture du Canal de Suez), l'empire britannique constitue un premier pas vers la mondialisation. B) La domination européenne s'accompagne d'une révolution industrielle 1) De la découverte à l'innovation A la fin du

internationale des processus productifs. Les FMN sont de plus en plus nombreuses. Environ 82 000 en 2009 face à 7 000 en 1973. Ces multinationales emploient 80 millions de salariés environ. Elles représentent 820 000 filiales et elles dégagent un chiffre d'affaire de 28 milliards de $, c'est à dire à peu près la moitié du PIB mondial. B/ La mondialisation des activités. Les rôles que jouent les FMN sont à l'origine d'analyses contradictoires. Positive : Elles sont à l'origine de transferts

l’immatériel dans le calcul du PIB. Dans cette optique, ce dernier s’exprime comme l’ensemble de la valeur ajoutée créée par les entreprises à l’intérieur du territoire : PIB = ∑ de la VA Cette valeur ajoutée provient de la différence entre le Chiffre d’Affaires (CA) ou la production (P°) et la Consommation intermédiaire (CI). Or, le CA ou le prix de vente, en plus de la marge de profit, couvre non seulement les couts matériels comme la main d’œuvre ou la matière première, mais aussi les couts