Libre échange Et Protectionnisme Chiffres

Il suit leur principe d’analyse en mettant l’accent sur la mondialisation : le système d’économie-monde. Définition : « Morceau de la planète économiquement autonome, capable pour l'essentiel de se suffire à lui-même et auquel ses liaisons et ses échanges intérieurs confèrent une certaine unité organique » Il se base aussi sur la triple temporalité : 3. Au quotidien, vision sans recul 2. Sur « une année », vision déjà plus globale 1. Temporalité « invisible », celle qu’il faut analyser car elle détermine

Chacun doit vendre sa force de travail pour acquérir un revenu pour avoir des biens : échange (travail, monnaie, bien : mécanisme). 1. le don / contre don n’est pas une forme primitive de l’échange L’échange est naturel pour A. Smith par exemple. Il pense que les hommes ont un penchant naturel à l’échange. Troquer un bien contre un autre bien. ARJ Turgot (XVIIIè siècle) : fiction de deux sauvages. L’un échange du bois contre du maïs : marchandage. Le 20è siècle a permis de montrer cette démonstration

comprendre la mondialisation, il faut renoncer à l’idée que les pauvres sont abêtis ou exploités par la mondialisation. D’ailleurs aujourd’hui, si les pays du Sud ne se font plus d’illusion sur la diffusion spontanée des richesses, ils savent que le protectionnisme est pire encore et s’invitent donc à la table du commerce mondial. CHAPITRE I : NAISSANCE DE L’AXE NORD-SUD 1. La conquête du monde • Comment une centaine d’Espagnols, menés par Pizarro, ont réussi à vaincre 80 000 soldats

un instrument d’accès aux marchés internationaux en croissance, une politique européenne intégrée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.1. L’OMC constitue un bien public mondial de première importance : le cadre juridique international des échanges commerciaux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.2. L’OMC est l’instrument privilégié d’accès aux marchés mondiaux en croissance . . . . . . . . 1.3. L’OMC : la priorité de la politique commerciale européenne

« Les politiques économiques en Europe » croisait plusieurs thèmes : «L’intervention des pouvoirs publics », « L’accumulation du capital » (avec le rôle des taux d’intérêt dans l’investissement par exemple) mais aussi « L’internationalisation des échanges et la mondialisation » (avec la référence nécessaire aux contraintes extérieures qui pèsent sur les décisions des gouvernements). C’est pourquoi il ne faut pas faire d’impasse totale sur aucun thème ! La révision d’un thème du programme est toujours

d’internationalisation du système productif. Les entreprises sont confrontées à la concurrence des autres pays, mais peuvent aussi saisir des opportunités de pénétrer d’autre marchés pour assurer leur croissance, augmenter leur part de marché et leur chiffre d’affaire a l’international, d’où la nécessité d’une bonne maitrise des techniques et des stratégie d’internationalisation. L’internationalisation est devenue un thème à la mode. La plus part des entreprises ainsi que certaines PME se sont lancées

des institutions européennes. L’Union Européenne prend alors en compte non seulement le champ économique, mais également le champ culturel, social et environnemental, ce qui lui confère une dimension supplémentaire que celle d’une simple zone de libre échange. Le Traité de Maastricht précise également les conditions du futur passage à une monnaie unique. Ce projet se concrétise en 2002 avec l’introduction des pièces et des billets en Euro en Allemagne, Autriche, Belgique, Espagne, Finlande, France,

ils vont rattraper ce retard après la guerre. D - La France Pays de l’équilibre, de la stabilité. La France est derrière les 3 premières nations mais reste stable. La population augmente peu et est vieillissante. Elle reste attachée à son protectionnisme. Dans l’agriculture -> problème avec un virus dans les vignobles. Tout le reste progresse tranquillement (la sidérurgie, l’automobile y compris l’agriculture hormis ce problème). Le domaine qui a le plus gros progrès est l’extraction du minerai

chrétienne punis l’enrichissement, il était donc difficile de penser la dynamique de l’économie. Par ailleurs cette morale condamne tout ce qui est activité financière : les prêts, emprunts, selon la morale religieuse, prêter une somme d’argent en échange du paiement d’intérêt reviens à vendre du temps. Jusqu'à cette époque là l’économie est difficile à s’imposer. Avec les mercantilistes on assiste à l’émancipation de l’économie vi à vi de cette morale. Les nations émergent, les pouvoirs centraux cherchent

l’état c’est le budget, les ressources de l’état sont les impôts. Si on veut que l’action de la puissance politique augmente, il faut augmenter les impôts. En France la part des prélèvement obligatoire est de 45%. On a tendance à transformer les chiffres, si la sécurité-sociale est en déficit, les remboursements baissent, réaction les individus prennent des assurances privés, donc le poids de l’intervention de l’état augmente. C’est de toute façon de l’argent qui n’ira pas à la consommation. L’économie