Libéralisme Intêrets Et Limites

introductif : MARCHE, CONCURRENCE ET LIBERALISME Marché et concurrence : termes valorisés avec l'émergence du libéralisme au 18ème s Le libéralisme est né au siècle des lumières (18ème) Libéralisme politique ≠ Libéralisme économique et beaucoup de différences internes Libéralisme politique : Un système politique qui doit garantir la liberté des individus et en même temps un système juridique qui donne des obligations, des libertés individuelles avec certaines limites définient par le droit. Le

principaux courants idéologiques Idéologie: propose un mode de vie collective, ensemble d'idées qui propose un système d'organisation social (exemple: Marx >> prolétaires de tout pays unissez vous). I- Le libéralisme 1°- le libéralisme politique libéralisme politique nait avant le libéralisme économique. Théorisé par John Locke avec un Second traité sur le gvt civil, l'homme est un homme avant de vivre en société, il n'a pas besoin de la société pour être un homme, l'état est un état de malaise

révolution contre le pouvoir de l’Etat peut voir sa légitimité remise en question, il n’en demeure pas moins vrai que le triomphe de la révolution libérale contredit le schéma d’un accroissement des pouvoirs de l’Etat dans le sens qu’elle ait amené à limiter le pouvoir de celui ci au profit des libertés individuelles. La révolution contre le pouvoir de l'État : la légitimité révolutionnaire en question L’analyse Marxiste-léniniste : une légitime révolution contre l'Etat… Marxisme-léninisme :

politique, Théorie du partisan, 1972Introduction : 1- La définition de Carl Schmitt de la distinction ami/ennemi en politiqueA- La situation de cette opposition face aux autres domaines (religieux, esthétique, moral…)B- L’antagonisme politique face au libéralisme économique et politique C- Rejet de la morale et volonté d’œuvre scientifique2- Le rôle concret de cette discrimination lors d’une guerre, d’un conflit A- L’ennemi au sens politique lors

ROBBINS (ECONOMISTE) « L’économie est la science qui étudie le comportement humain en tant que relations entre les fins et les moyens rares à usage alternatif. » Les fins (objectifs recherchés) sont illimitées alors que les moyens sont rares, limités. Il y a une obligation de choix. Les choix en question doivent être rationnels. La rationalité, c’est l’adéquation des moyens par rapport aux fins. L’objectif est-il logique ? Est-il en adéquation avec les individus ? Il existe plusieurs rationalités

institutions, histoire…). Les courants vont aussi différer suivant : L’objet d’étude : La nation : macroéconomie L’individu : microéconomie La philosophie/la subjectivité des penseurs : Esprit libertaire : libéralisme Esprit de justice et d’équité : distribution des richesses = interventionnisme. Marx et sa théorie de l’aliénation est un bon exemple du passage de la philosophie à l’économie. L’économie est une science humaine, il n’y a pas de

des idéaux révolutionnaires. Etre libéral, enfin, c’est s’opposer à la monarchie absolue, au retour de l’Ancien Régime et aux ultra-royalistes. Certains ont donné leur vie pour cet idéal, qui était donc profondément ancré en eux. Les souffles du libéralisme ont eu lieu dans toute l’Europe, que ce soit dans la péninsule ibérique, l’Europe occidentale ou la Grèce en passant par le Royaume-Uni, les Etats italiens et germaniques et la Pologne, alors sous domination russe. Même s’il ne connaît pas partout

classique” : courant de pensée économique du fin 18è début 19è pendant la période de la RI. Plus communément le courant orthodoxal.  Il rassemble beaucoup d’auteurs très différents, qui s’opposent parfois sur certains sujets. Les limites et les auteurs inclus ou non dans cette Ecole classique sont flous, d’où la question:Les économistes sont-ils trop divergents pour tous être regroupés dans cette même catégorie de “classique”? Ou bien ce qu’ils ont en commun permet de les classer

Libéralisme, néolibéralisme, ultralibéralisme Texte pédagogique Mise à jour : 24/03/2009 Définitions politique et économique du libéralisme. Analyse des transitions vers le keynésianisme puis le monétarisme. Définitions et critiques du néolibéralisme et de l'ultralibéralisme ; comparaisons avec le socialisme et le communisme. Cas particulier de la France. Ce texte constitue une initiation à l'économie de marché. Table des matières 1. Libéralisme ...........................................

Adam Smith est l'un des pères du libéralisme et de l'économie moderne. Il est le fondateur de l'école classique anglaise dite optimiste qui s'oppose aux physiocrates. Sa principale théorie est celle du libéralisme qui se résume par les expressions 'laisser faire' et 'laisser passer'. L'État ne doit intervenir ni dans les rapports économiques, sous peine d'en perturber l'équilibre, ni dans les échanges internationaux, pour permettre à chaque pays de se spécialiser dans la production où il détient