Libération Conditionnelle

Il demande ce que tu veux. Simultanéité Il a dit : « Tu as de la chance. » Postériorité Il a dit : « Tu auras de la chance. » Antériorité Il a dit : « Tu as eu de la chance. » Imparfait Il a dit que tu avais de la chance. Conditionnel présent Il a dit que tu aurais de la chance. Plus-que-parfait Il a dit que tu avais eu de la chance.  Les temps peuvent changer, mais uniquement si le verbe est au passé. a) A toi ! Tente quelques transformations ! o Louisa a dit :

désignation choisie, « un enfant », puis de la troisième personne du singulier permet de donner une véritable autonomie à cet enfant qui devient une sorte de personnage à part entière. De plus les deux présents d'énonciation qui débouchent sur le conditionnel présent renforcent l'autonomie du personnage qui semble pouvoir agir même dans le temps présent du narrateur. Cela renforce l'effet de mise à distance. Mais, après une relecture, le lecteur averti, qui connaît les origines d'Albert Camus, comprend

Hamm : « Au-delà c’est … l’autre enfer. » « si je pouvais le tuer, je mourrais content » Faire attention à la concordance des temps avec la subordonnée conditionnelle introduite par si. L’imparfait a une valeur itérative il exprime la durée, la répétition, l’habitude, la concordance des temps en français l’attache indéfectiblement au conditionnel présent, temps de la possibilité, du futur hypothétique, mais qui dans le présent n’existe qu’à l’état d’hypothèse (rien ne se passe pour de vrai) On

pour convaincre et persuader la femme à laquelle il s'adresse. Il formule sa demande au vers 3, « aller là-bas » puis s'attache à décrire le pays de destination afin de séduire la jeune femme. Dans le second ensemble de douze vers il utilise le conditionnel présent, qui a ici une valeur modale : il sert à dépeindre ce qui est possible, mais non encore réel : le voyage est la condition nécessaire à la réalisation des procès évoqués. On note d'ailleurs que le déterminant de le première personne du pluriel

qu'ils aient ri Imparfait que je risse que tu risses qu'il rît que nous rissions que vous rissiez qu'ils rissent Plus-que-parfait que j'eusse ri que tu eusses ri qu'il eût ri que nous eussions ri que vous eussiez ri qu'ils eussent ri Conditionnel Présent je rirais tu rirais il rirait nous ririons vous ririez ils riraient Passé première forme j'aurais ri tu aurais ri il aurait ri nous aurions ri vous auriez ri ils auraient ri Passé deuxième forme j'eusse ri tu eusses ri il

durant notre cours . Le conditionnel présent: Un temps qui décrit un ou plusieurs événements qui ne sont pas certains de se réaliser ; « Should, Could, Would  = (je) Devrais, Pouvais, Pourrais » Exemple : Je pourrais t’aider. Nous finirions quand les autres arrivent. Décrit ce qui pourrait arriver si une condition est achevé ; « If…then… ». Exemple : Si nous étudiions, nous serions plus à l’aise durant l’examen. On utilise le verbe « vouloir » au conditionnel pour poliment demander quelque

6. ( )( La troupe)ils se replient (SE REPLIER, ind. passé comp.) pour mieux rebondir. 7. ( ) (Trop de pluie) il avait tombé (TOMBER, ind. plus-que-parfait) ce jour-là. 8. ( ) Plus d(’un concurrent) il échouerai (ÉCHOUER, conditionnel présent) à ce test. 9. ( ) (Notre mère et la vôtre)nous se connaissent (SE CONNAITRE, ind. présent) depuis l’enfance. 10. ( ) Trop peu d(’efforts) ils ont été fournis (FOURNIR, passé composé passif) par certains au cours de l’étape

2. Fiche de lecture : Le lieu : Le palais, la forêt, la maison des sept nains Le temps de narration : Imparfait et passé simple Les personnages principaux : Blancheneige, la belle-mère et son miroir magique, les sept nains et le prince. Les personnages secondaires : La mère et le père de Blancheneige, le chasseur, les serviteurs du prince. Résumé : Blanche Neige est une princesse d'une très grande beauté, ce qui rend

elle. Par chance, la rencontre se produisit quelques jours plus tard. _________________________________________________ • • • • Temps principal: passé simple Temps d’accompagnement: imparfait Retours en arrière: plus-que-parfait Anticipation: conditionnel passé LE SYSTÈME DU PASSÉ COMPOSÉ • La première fois que j’ai aperçu Lydia de ma fenêtre, elle portait une belle robe de dentelle blanche. Je n’avais jamais vu une jeune fille aussi belle et j’en ai été immédiatement amoureux. Comme elle me semblait

être intense, cause de l'adverbe.   II-            Le tragique en rupture avec la tragedie.   a) Un dénouement tragique -Loin du dénouement de la tragédie classique. -Lorenzo exprime l'envie de mourir. -« Pourquoi voudriez vous mourir ? » (l39) Conditionnel présent, Philippe ne croit pas en la mort de Lorenzo. - « Ô Lorenzo ! Lorenzo ! » (l55) apostrophe, met du rythme au texte ; montre le désespoir de Philippe et dévoile la souffrance de Lorenzo. Philippe est incapable de l'aider è Tragique de situation