Lien Féodo Vassalique

régime féodal est donc fondé à la fois sur le contrat vassalique et sur la concession d’un fief. Le régime féodal: désigne des liens noués entre un seigneur et un vassal au sein de l’aristocratie uniquement (pas de paysans vassal). Il s ‘agit de liens de dépendance honorable qui unissent et hiérarchisent l’aristocratie. Ces liens d’hommes à hommes structurent l’aristocratie elle-même. Les droits féodaux proviennent du contrat féodo- vassalique. La seigneurie: concerne les rapports qui existent

d'alliés possible et, pour assurer la fidélité et le dévouement des hommes de guerre, on utilise un ancien contrat mérovingien dans lequel un homme libre se recommande à un puissant. Pour le prix de sa protection, il s'engage de façon solennelle dans un lien de subordination et d'obéissance : la vassalité. INTERETS : Ce type de texte permettait de fixer à l’écrit cette promesse faite du vassal envers le seigneur ainsi que la donation faite en contrepartie de cette promesse. Cela permet de lui donner plus

{text:soft-page-break} leurs propres vassaux à l’armée. Cela veut dire que jusqu’à présent, le circuit militaire organisé l’était par le biais de comtes. Les Rois Carolingiens vont utiliser le réseau vassalique, car plus important, en disant aux comtes de convoquer leur propres vassaux. Le réseau vassalique devait permettre d’améliorer l’encadrement militaire, et les vassaux directs du Roi, plus nombreux que les comtes, mobilisaient chacun dix à douze cavaliers, cavaliers considérés comme une pièce très

l’armée. Le réseau vassalique devait permettre d’améliorer l’encadrement militaire et les vassaux directs du roi mobilisaient chacun 10 à 12 cavaliers. Ainsi l’armée de Charlemagne arrivait à mobiliser rapidement 50 000 cavaliers. De plus les jeunes cavaliers convoqués par leur seigneur leur obéissaient fidèlement. Cet encadrement s’est avéré efficace et cela gr^ce au réseau de dépendance individuelle. Les successeurs de Charlemagne ont cru à l’efficacité du réseau vassalique, selon le fonctionnement

d’une triple crise. 1) Le fractionnement du grand domaine L’ancien grand domaine devenu seigneurie s’est souvent démembré, divisé entre plusieurs seigneurs. La tendance au fractionnement s’opère au Moyen- âge par le biais du contrat féodo-vassalique. Les seigneurs distribuent des bouts de domaines. A l’intérieur de ce qui fut le grand domaine apparaissent souvent des seigneuries distinctes. Du fait des héritages, des transactions diverses, un même seigneur possède des fractions de domaines

un « traître ». Ce genre de situations constitue le dysfonctionnement de la société de l’époque, car il arrivait qu’un vassal prête serment à plusieurs seigneurs, qui rentraient parfois en guerre l’un contre l’autre. On retrouve les relations féodo-vassaliques dans les deux ordres, la noblesse et le clergé selon la hiérarchie respective suivante : Empereur (si empire il y a), Roi, Prince, Duc, Marquis, Comte, Vicomte, Baron, Chevalier. Ainsi que : Pape, Cardinal, Archevêque, Évêque, Prêtre. Le clergé

de confusion entre le service privé et le service public à la fois dans les moyens et objectifs à atteindre. Les rapports du roi avec ses sujets sont également dépendants de cette conception patrimoniale. Le lien qui les unit est un lien personnel. On peut dire d'une certaine manière que ce lien est intéressé. Les sujets du roi sont avant tout des compagnons pour le roi, ils servent un individu en particulier et on peut donc dire que les premiers agents administratifs, ceux qui servent le pouvoir,

Constantin. Au début du IVème siècle, l’empereur Constantin va se convertir au Christianisme en 312. Cela, croit-on, par calcul politique et non pas par bonne conviction sincère. Cette religion chrétienne à vocation universelle pouvait servir à réaliser un lien fédérateur entre les peuples de l’empire et donc toute unité dans l’empire renforcerait le pouvoir de l’empereur. En 313 par les dits de mille ans, l’empereur Constantin reconnaît officiellement le culte chrétien, ça veut dire que la pratique de

elle devient Constantinople. À la mort de l’Empereur, en 337, l’Empire éclate. Toutes les tentatives d’unification ultérieures seront des échecs. Entre l’Orient et l’Occident, les différences seront profondes et au 5e siècle, il n’existe plus aucun lien de parenté entre les empereurs d’Orient et d’Occident. Deux mondes commencent à évoluer en parallèle : l’Empire romain d’Occident et celui d’Orient. L’unité politique et administrative disparaît et en Occident, l’identité culturelle même, commence

a été acceler par les normands. Les principautés sont des entités politque nouvelles et originale, parfois elles s’appuient sur des identités regionales anciennes mais d’autre fois on voit s’érigé de nouveaux espaces. Le roireçoit l’hommage vassalique des princes mais il ne peux plus intervenir dans les principautés. Le pouvoir régalien est aussi delegué par le roi usurpé par les grands (duc/prince). Meme si en apparence les institutions carolingiennes subsistent, dans la realité le pouvoir echappe