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la nuit des temps, le Miroir est au centre des préoccupations de l'homme. Les mutations typologiques qu'il subit à travers les ages, en raison des techniques et matériaux employés pour le fabriquer, influenceront la façon de l'utiliser dans la littérature, les arts, et les sciences. Mais ce qui nous intéresse, c'est la richesse symbolique du Miroir. Que de spéculations se rattachent au reflet d'un visage, d'un rayon de soleil ou de la lune, dans une flaque d’eau ou un fragment de cristal

surnaturelle. Au XVIIIe siècle, on utilise aussi ce mot dans le vocabulaire scientifique pour désigner le caractère naturel d'un phénomène. Ce terme tomba en désuétude jusqu'en 1857 au moment où la Revue Moderne publia une critique. Celle-ci qualifia la peinture de Gustave Courbet de naturaliste, dans le sens de « peintre de la nature réaliste ». Naturalisme, par Louis Legrand dans Le Courrier Français, en mars 1890. Henri Mitterand[57] distingue deux périodes dans le naturalisme théorique de Zola

que : la théorie de l'évolution de Darwin (1809-1882), le déterminisme d'Hippolyte Taine (1828-1893), la théorie de l'hérédité du Docteur Lucas et la théorie de l'expérimentation de Claude Bernard (1813-1878). Les écrivains ont donc envie de faire un lien entre la science et les romans: c'est le début du naturalisme. Le naturalisme apparait à deuxième moitié du XIXè siècle (vers la fin du réalisme) et sera pratiqué jusqu'à la fin du deuxième empire (4 septembre 1870). Le naturalisme est issu du réalisme

précédente édition du festival faisait la part belle à la peinture, technique pratiquée parmi tant d’autres par les artistes contemporains. Si la peinture comme médium artistique est quasiment absente de l’édition de Paul Ardenne, le pictural en “ce qui se rapporte à la peinture” est lui à l’inverse très présent. En quoi les photographies, vidéos et installations présentées dans l’édition 2012 du Printemps de septembre ont-elles à voir avec la peinture et quelle est la nature de ces relations sont les

nécessaire à sa vie. Il le recherche, lui est essentiel. Conséquences de ces définitions sur l'art : C'est une libération de l'art. L'artiste et le spectateur > vont s'émanciper et se sentir plus libre. La notion de beauté( qui est en lien avec la subjectivité, > la relativité maintenant) ne va plus être le but premier de > l'artiste. Une nouvelle ouverture d'esprit. Pourquoi? Quand on comprend > que l'art est subjectif et relatif, on va pouvoir s'intéresser > à l'art

le loup. Cette séquence s'adresse à une classe de cycle 3 et plus particulièrement de CE2. A l'école, on appelle mise en réseau d'albums ou de documents, des textes qui ont un aspect commun: ici ce sera le loup (l'animal, le personnage de littérature). Le travail en réseaux permet non seulement d'élargir le nombre de lectures des enfants, mais aussi d'éveiller leur esprit critique et de leur donner des outils d'aide pour l'expression écrite. La compréhension d’un texte pour faire de l’élève

« poien » signifie produire ou créer. LA poésie est une création de sens et de sons, tout en exprimant une idée, un sentiment. Dans chaque poème, l’auteur dévoile une partie de lui même, et nous fait part de ses sentiments et émotions. Mais la littérature poétique se résume t’elle seulement à l’expression des sentiments personnels du poète? Même si la poésie est un moyen efficace pour exprimer ses sentiments, elle permet aussi d’extérioriser des points de vue politiques ou des idées sur la société

n°3…………………………………………………………………………………………..…………… - œuvre n°4……………………………………………………………………………………………..………… - œuvre n°5…………………………………………………………………………………………..…………… Le travail de l’élève doit couvrir, au moins trois supports différents (image fixe, musique, littérature, image en mouvement…). Il devra donc choisir et remplir au moins trois types de carte d’identité différents. Quand l’élève choisit une deuxième œuvre d’un même support, il doit demander à son professeur une carte d’identité supplémentaire.

LECTURE, INTERTEXTUALITÉ DES ŒUVRES « Valéry incite à penser en termes de bibliothèque collective et non de livre seul. Pour un vrai lecteur, soucieux de réfléchir à la littérature, ce n’est pas tel livre qui compte, mais l’ensemble de tous les autres, et prêter une attention exclusive à un seul risque de faire perdre de vue cet ensemble et ce qui, en tout livre, participe à une organisation plus vaste qui permet de le comprendre en profondeur. Mais Valéry nous permet aussi d’aller plus loin en

reálité transfigurée Jediel Gonçalves (Université de Provence, Aix-en-Provence) 1 Résumé : Parmi toutes les manifestations du langage artistique, la littérature et la peinture sont celles qui préservent, au contact complexe entre le mot et la couleur, les confluences les plus nombreuses, variées et fécondes. N’étant pas étanches, la peinture et la littérature sont des espaces poreux et fonctionnent davantage comme des vases communicants. Dans le réseau romanesque, il y a un réseau signifiant qui se trouve