Lieu commun

» = même discours qu’au chapitre 7 = parallélisme des images et de l’numération des caractéristiques. Le lecteur sent déjà Q ue le débat recommence = caractéristiques réductrices et liés au regard ethnocentré. Ces considérations // quelques lieux communs // Le phénomène naturel // une idée imprévue // sombre, hérissé de dangers, très vague à cette opération Aristote = argument d’autorité l’époque de Rome = argument historique Leurs rois eux-mêmes les vendent = argument déduction Indiscutable = argumentation

“Tout cela” au V.9 désigne un dénigrement de la part du poète. On est ici dans une conversation avec des mots familiers comme rondelet V.10 Présence de l’oralité avec l’alexandrin et les césures 2. Vacuité du propos Usage de cliché et de lieu commun qui sont soulignés par le présent de vérité général V.2,4,7 Utilisation d’article define dans le titre qui insiste sur le fait que l’on connait cette enterrement Utilisation d’adjectif passé partout V.1,9,12 qui renvoie au peu d’interet de cette

rendant sourds à ce qu’ils pensent ? Penser par soi-même consisterait dans ce cas à s’enfermer orgueilleusement en soi-même. On voit bien qu’une telle attitude risque de conduire à une pensée stérile. Ce sujet nous invite à remettre en question le lieu commun selon lequel pour penser par moi-même, je dois cesser d’écouter ce que disent les autres. Il semble au contraire que pour penser par soi-même il faille « se soucier » d’une certaine manière de la pensée des autres. C’est cette manière de se soucier

notre propos, et nous n’allons pas nous attarder ici à examiner ce qui a conduit la rhétorique à atteindre ce stade de discipline mourante qui a disparu des cursus scolaires au cours du siècle dernier. Nous allons plutôt nous recentrer sur les traits communs que l’on peut assigner à la rhétorique, par delà ses ambivalences sémantiques. Il semble que dans tous les cas il s’agisse d’une attention que l’on prête à travailler la langue, à soigner sa forme. Cela signifierait-t-il que nous n’avons affaire là

mais ce que j'ai de plus intime. Ma pensée, du moins, semble réellement à moi. Cependant, cette assurance que j'éprouve de posséder ma pensée n'est-elle pas trompeuse? Quand je reprends sans réfléchir les paroles d'autrui, ou lorsque je répète un lieu commun, puis-je dire que ma pensée est mienne? Or, j'ai nécessairement des préjugés. Tout homme a d'abord été enfant et a eu des tuteurs, dont il a reçu une éducation qui va l'influencer, peut-être à son insu. Si ma pensée dépend tellement de ce que les

BRUCE BEGOUT - Lieu Commun Phénoménologue. Trilogie dont Lieu Commun est l’ouvrage le plus référencé. Le premier est sur Las Vegas. Zero Police. Essai. (Guide de voyage.) Le troisième, roman: The Parc Phénoménologie: essence des choses par la csc. Mode philo qui va se dév dans le courant du XXe. Heirich LAmbert 1728-1777. Doctrine de la paraître. Heigel engage la possibilité d’une phéno qui étudie systématiquement la csc des phénomènes. Science de l’expérience de la csc. BB grand

stéréotype d’autres notions semblables telles que cliché, lieu commun ou prototype. Ruth Amossy constate que le cliché concerne avant tout des œuvres littéraires, ce sont des formules de style figées7 qui expriment la relation d’une œuvre à d’autres textes. M. de Brito le définit comme une citation qui n’est pas utilisée d’une façon consciente et dont l’auteur est ignoré.8 Pour expliquer le concept de lieu commun, Amossy cite Aristote : Les lieux communs sont des catégories formelles d’arguments ayant une

et donc dangereux car stigmatisants, discriminant et donc menaçant. L‘idée reçue est souvent fausse mais très intégrée dans la culture. Il est donc difficile de les contrer psychologiquement et sociologiquement. Comme les clichés ou les lieux communs elles s’admettent aisément car elles sont très répandues, plus ou moins démontrées ou pensées comme démontrées. Pires encore, elles peuvent être agréables à admettre ou être amusantes donc paraître innocente. Elles amènent ne pas réfléchir, mais marquent

personne humaine, ni atteindre “l’élément” Psychique qui fonde ses actions et réaction face au monde, elle s’attache alors au “tropisme”:  Les romanciers s’intéressent moins aux personnages en lui-même qu’au comportement stéréotypé et aux lieux communs de conversation derrière lesquels affleurent désir et répulsion. Les personnages du roman sont des figures indécises qui ont parfois plus de nom ou ce dernier est réduit à une seule lettre (K, Kafka)  Le roman privilégie des êtres indéterminés socialement

genres : le sonnet, le carnet de voyage et la carte postale. Nous allons voir dans cette première que le sonnet de Réda, une arrivée est basée sur la rencontre, que ce soit des rencontres humaines ou celle avec la ville. Réda évoque les lieux communs de l’Irlande, j’expliquerai donc dans cette partie, comment il procède pour nous faire découvrir l’Irlande et voyager avec lui. Tout d’abord, il faut savoir que la majorité des ouvrages de Jacques Réda, portent sur les paysages. Le plus souvent