Lièvre

Fables de La Fontaine 1. Titre de la fable : 2. Questions préalables : À quel(s) type(s) de texte cette fable appartient-elle ? Dites rapidement à quoi on le voit. _______________________________________________ _______________________________________________ _______________________________________________ _______________________________________________ _______________________________________________ _______________________________________________ Quelle est la structure d’ensemble du poème

Extrait de la fiche. Des documents complémentaires peuvent être joints à cette fiche Bonjour Nous venons d'aborder au lycée la poésie et étant donné que nous avons pas eu assez d'exemples,je bloque sur ce commentaire. Pendant toute les vacances,j'ai essayé mais en vain.C'est pour cela que je fais appelle a vous pour m'aider et pour comprendre se commentaire en entier mais aussi quelques indice sur les 2 questions Merci pour tout d'avance. ... ... Bonjour, voilà comment j'établirai le commentaire:

(« la jeune veuve ») en revanche, malgré son aspect vivant et théâtralisé (avec la prise de parole directe de la jeune veuve en fin de fable, entre guillemets, pour animer la démonstration du fabuliste) assume un côté plus sérieux, ne serait-ce que dans le sujet-même de la fable, la mort et le deuil. On notera bien le champ lexical de la mort (« veuve », dès le titre, mais aussi « inconsolable », « âme », « consoler », « morts »). L’aspect grave de la fable se lit également dans la longueur de

I-Symbolique de la Grenouille dans la fable : a)Chez La Fontaine : -> envieuse, jalouse : La Grenouille qui veut se faire aussi grosse que le Boeuf. -> sournoise, mauvaise : La Grenouille et le Rat. b)Chez Esope : -> naïve, simplette. Comme nous pouvons le voir ici : "Gent fort sotte et fort peureuse" (v-8) c) / Le trait de caractère qui ressemblerait à ceux qu'on trouve dans les autres fables de La Fontaine serait : L'insatisfaction. II-Symbolique des grenouilles

Commentaire littéraire sur « La laitière et le pot au lait » En quoi cette fable écrite au XVII siècle, décrit-elle encore notre société actuelle ? Introduction : Cette fable, la dixième du livre VII du deuxième recueil des Fables, publiées par Jean de La Fontaine, poète contemporain de Louis XIV, en 1678, nous relate la mésaventure d'une jeune laitière un peu trop éprise par sa rêverie, qui verra à quel point le retour à la réalité peut être brutal. Cette fable nous transporte dans l'univers

Les Fables de La Fontaine constituent la principale œuvre poétique du classicisme. La particularité de La Fontaine fut d’octroyer une dignité à un genre qui n’était jusqu’à son époque que très peu reconnu. Les Fables de La Fontaine furent écrites entre 1668 et 1694. Les fables de La Fontaine mettent souvent en scène des animaux et contiennent habituellement une morale. Elles reflètent ainsi leur but éducatif recherché par La Fontaine. Les Fables de La Fontaine constituent la principale œuvre poétique

1. Quelles sont les fables qui ont la même morale que celle d’Esope ? Justifiez votre réponse. La morale d’Esope est la suivante : « […] face à plus fort que soi, rivalité ou résistance ne sont pas de mise. » (l.4-5). Seules les fables de La Fontaine et d’Anouilh vont dans le même sens. En effet, dans ces deux textes, le vent, une force de la Nature, est l’élément le plus fort qui parvient, à chaque reprise, à terrasser le chêne. Dans ces trois fables, l’accent est mis sur la force détenue par un

La fable est un court récit écrit plutôt en vers sa visée première est didactique, et c’est le choix de l’argumentation indirecte qui sert cette visée : « Je me sers d’animaux pour instruire les hommes », dit La Fontaine dans la fable liminaire du premier recueil, adressée au Dauphin. L’apologue est-il une arme de contestation efficace ? Nous dégagerons tout d’abord les atouts pour ensuite montrer les limites de art de convaincre. Et finalement nous étudierons le rôle de la littérature. L’apologue

Jean de La Fontaine (né le 8 juillet 1621 à Château-Thierry, et mort le 13 avril 1695 à Paris) est un poète français de la période classique dont l'histoire littéraire retient essentiellement les Fables. On lui doit cependant des poèmes divers, des pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son ambition de moraliste. Proche de Nicolas Fouquet, Jean de La Fontaine reste à l'écart de la cour royale mais fréquente les salons comme celui de Madame de La Sablière et malgré des oppositions

Quoi ? toujours il me manquera Quelqu'un de ce peuple imbécile ! Toujours le Loup m'en gobera ! J'aurai beau les compter : ils étaient plus de mille, Et m'ont laissé ravir notre pauvre Robin ; Robin mouton qui par la ville Me suivait pour un peu de pain, Et qui m'aurait suivi jusques au bout du monde. Hélas ! de ma musette il entendait le son ! Il me sentait venir de cent pas à la ronde. Ah le pauvre Robin mouton ! Quand Guillot eut fini cette oraison funèbre Et rendu de Robin