Ligne claire

portrait de Chabert en référence à la peinture de Rembrandt . « dans le clair obscur le singulier client qui l’attendait ». Il utilise le clair-obscur et le contraste des couleurs , technique propre au peintre flamand : «l’ ombre cachait si bien le corps » ; « visage  pâle, livide » avec « sillon noir sur le haut du visage » ; « rides blanches » « pâle », « livide » et le sombre et le froid des « cravate de soie noire », « ligne brune », « sillon noir » et « reflets bleuâtres ». A cette dimension

 L'extrait de texte qui nous ai donné en étude - Thérèse Raquin de Zola - est de type descriptif. Tout d'abord, dans la décoration du magasin, les couleurs froides dominent avec « les boiseries d'un vert bouteille » (ligne 1/2) que les « pelotons de laine verte » (l. 18/19) rappellent à l'intérieur même de la devanture ; les vitrines et étagères sont tapissées d'un « papier bleu » (l.6) et des ronds de « papier bleuâtre » (l. 21), il n'y a pas de contraste ; le suffixe « âtre » est même péjoratif :

Les consonances : sons qui “ vont bien ensemble “ Les dissonances : sons qui “ ne vont pas bien ensemble “, qui dérangent l’oreille. Rapports entre horizontalité et verticalité ( types d’écriture ) L’écriture monodique : c’est une seule ligne mélodique ( le chant grégorien, par ex. ) L’écriture horizontale : écriture qui se conçoit de façon linéaire : les voix entrent les unes après les autres, sont indépendantes ( un canon ou une fugue, par ex. ) L’écriture verticale : écriture en

première étape [ligne 1-4] concerne le choix du sujet: le sujet est propre à chacun, on parle d'isolement du sujet, le choix fait parmis d'autres et le fait qu'au premier regard on puisse cerner le sujet. La seconde étape [ligne 5-9], après le choix du sujet il faut savoir délimiter le cadre dans lequel l'inserer, un choix minutieux , il faut parfaitement délimiter les espaces . La troisième partie [ligne 9-10], on choisit l'exposition à la luminosité . La quatrième partie [ligne 10-14], le peintre

associées aux deux sexes : lignes droites pour le sexe « fort », courbées pour le sexe « faible ». Cette distinction est aussi établie par la position des personnages de part et d’autre de la ligne médiane. Dans « Des Glaneuses » de Millet par exemple, la disposition des trois femmes au-dessous de la ligne d’horizon peut indiquer leur pauvreté ; ici, la médiane joue un rôle semblable en élevant les hommes et leur courage, et en soumettant, en quelques sortes, les femmes aux désirs et décisions des

D’OBSERVATION Pour programmer correctement une batterie : PENSER BATTEUR, et imaginer déjà qu’il n’a que 2 bras et 2 jambes ! Vous me suivez ? Par exemple, ne superposer pas une caisse claire, un coup de cymbale et un tom. C’est impossible à réaliser techniquement par un batteur. De même, lors d’un roulement de caisse claire, ne rythmez pas une cymbale en même temps. Là aussi, c’est mission impossible. Vous devez arrêter le rythme de la cymbale pour le reprendre par la suite. Si vous avez déjà été attentif

échanges entre l’Office et ses clients et intervenants. Elle permettra à l’Office de mesurer ses progrès en fonction de ses principales priorités stratégiques liées à l’amélioration des relations internes et externes par le biais de communications claires et en temps opportun. L’étude permettra également de recueillir des renseignements qui aideront l’Office à réaliser ses autres priorités stratégiques : règlement efficace des différends et réglementation économique; un réseau de transport plus accessible

semestre de la Faculté de philologie à Banja Luka Chaire de français Le film français Professeur en chaire: Ph.D. Mladen Sukalo Travail individuel : Entr’acte, René Clair, Paris, 1924 Fait à Banja Luka, le dimanche 16 janvier 2011 Page 2 sur 21 1) AUTOUR DU FILM Entr'acte est un film réalisé par René Clair, diffusé le 27 novembre 1924 à l'entracte de « Relâche », ballet dadaïste de Jean Börlin et Francis Picabia au Théâtre des Champs-Élysées, donné par les Ballets suédois. Il

Il souligne la liberté de l'imagination, le mouvement et la profusion ornementale caractérisent ce style. L'illusion d'optique, rend incertaines les limites entre la peinture, la sculpture et l'architecture. La réalité humaine, la grandiosité et le clair-obscur sont devenus importants. L'une des grandes idées du baroque est que le monde est en train de se construire. Rien n'est définitif. L'univers n'est pas donné une fois pour toutes, mais est sans cesse en évolution. Le baroque refuse le figé. Il

gauche.  comme un "coup de projecteur". La plus grande partie de la scène reste dans l'ombre. La plupart des personnages tournent le dos à la lumière et ne sont qu'effleurés par elle. Seule la Vierge a la moitié de son corps en pleine lumière. Ce clair-obscur accentue là encore le sentiment du tragique. L'aspect dramatique de la scène est renforcé par l'attitude des personnages dont les attitudes montrent le chagrin (visages cachés dans les mains ou corps effondrés de douleur).  La robe rouge-orangée