Ligne de fuite

L’Honneur dans l’exil. 1°) Le refus de l’asservissement. 2°) La sauvegarde d’un code moral fort. III/ L’exil : chemin de la compromission ou simple fuite. 1°) L’honneur dans la résistance. 2°) La fuite : une attitude antihéroïque. INTRODUCTION : L’histoire de l’humanité se résumerait-elle en un éternel exil. Ainsi, depuis le péché originel de nos ancêtres Adam et Eve, le genre humain

pronom personnel « il » à la ligne 1, puis par « le jeune homme » ligne 9 qui renseigne sur son âge, ensuite par « le chevalier », ligne 21, qui renseigne sa qualité et enfin par son prénom : le héros s’appelle Bertram (ligne 22) On apprend ligne 23 que le héros de l’histoire fait partie, comme la plupart des personnages de récits épiques, de la noblesse. Il est, en effet, le fils de la reine d’Aquitaine (mais avec certaines particularités, étudiées plus tard) L’aigle (ligne 10) présent sur son casque

taureau de ¾, donne du relief au taureau. Quand on voit la partie inférieur, les pattes du fond sont plus sombre que celle de devant, il y a un effet d’ombre, qui donne également un effet de volume/perspective. La patte avant, n’est pas couper par une ligne du bas du corps du Taureau, pour montré que cette patte est en avant par apport à son corps, un effet de volume. ♥ Cheval tacheté Dans ce souci de réalisme, dans ce cheval les pattes à l’arrière plan sont détachées par apport aux pattes avant, ce qui

peintres fondent leur art sur leurs connaissances aussi bien en anatomie qu’en perspective, définie mathématiquement comme linéaire ou conique. On établit que la ligne d’horizon est le plan qui passe par l’oeil du spectateur et que les différentes lignes perpendiculaires se regroupent vers un même point sur cette ligne, le point de fuite. Raphaël à peint se tableau à l’âge de vingt ans, pour se mesurer à son maître, Le Pérugin. ____________________ Etude Esthétique. Ce tableau représente un

au second plan, où la partie gauche est ombragée (les couleurs sont plus ternes) ou encore la taille des personnages (les Saints et la Vierge étant plus grands que les quatre anges derrière). La perspective est aussi mise en valeur par le point de fuite de l’œuvre : toutes les lignes convergent vers un même point se situant sur le visage de la Vierge, comme nous le montre l’illustration ci-dessous : Intéressons-nous désormais au décor. Nous pouvons voir au premier plan la Vierge, assise sur

l'une étant plus restreinte que l'autre. Il y a donc deux groupes dans la composition : les hommes à gauche et les femmes à droite. Cette distinction est établie d'une part par la position des personnages vis-à-vis de la ligne médiane : les hommes, debout, dépassent cette ligne horizontale, et les femmes, assises, n'occupent que la moitié inférieure ; d'autre part, par la différence entre les lignes directrices : droites pour les hommes, courbées pour les femmes. Les lignes droites sont suggérées

de River Rouge qui l’a produite. C’est dans cette usine que les matières premières se présentaient sur la ligne d’assemblage pour ressortir en voitures achevées à l’autre extrémité. Les principes du Fordisme Ce modèle de production est mis en oeuvre au moyen de plusieurs principes : - diviser le travail en séparant la conception de la réalisation, séquencer les tâches, et utiliser une ligne de montage. Tout ceci se résume donc au travail à la chaîne. - standardiser les pièces, les produits

Laurencie. Apollinaire exploite l’art du choc à la fois moderne et mystérieux. Le thème de l’amour malheureux très présent dans son recueil comme par exemple « La chanson du mal aimé ». On retrouve également beaucoup le thème de l’obsession de la fuite du temps Il a appartenue au symbolisme et au tout début du surréalisme. Il est mobilisé à la Guerre et a été blessé à la tête, puis atteint la grippe espagnole et en est mort. Lors de l’écriture du « Pont Mirabeau » : liaison avec Marie Laurencin

mourir.Le premier thème abordé est la fuite du temps. Le début de son poème décrit une fin de journée ( « Quel couchant douloureux nous avons eu ce soir » Ligne 1) comme une fin de vie marquée par l’adjectif « douloureux ». Il nous fait aussi ressentir les saisons en commençant par l’hiver, unepériode froide, déprimante dans laquelle il se trouve( «un vent de désespoir » ligne 2) , évoquant la mort avant la renaissance du printemps ( « abattant du bois mort » Ligne 3 , « le lacis des branches dépouillées

est cohérente[1], et obéit à la construction albertienne reposant sur des volumes construits par des fuyantes dirigées vers un point de fuite central posé sur une ligne d'horizon et Jan van Eyck associe divers lieux symboliques dans son espace : loggia, carrelage à damier, jardin, paysage : Une scène lointaine dans un paysage, visible dans le fond dans l'axe de fuite, comporte tous les détails de la vie terrestre, activités, architecture, cité et pont sur un fleuve - probablement la cité de Liège où