Ligue communiste révolutionnaire

d'Iéna le 15 avril 1841. Engagement[modifier | modifier le code] À Berlin, il appartient au cercle des « hégéliens de gauche », dénommés aussi « jeunes hégéliens » (avec Bruno Bauer et d'autres) qui cherchent à tirer des conclusions athées et révolutionnaires de la philosophie de Hegel. L'hégélien de gauche Ludwig Feuerbach s'était lancé dans une critique de la théologie à partir de 1836 et avait commencé à se tourner vers le matérialisme (par opposition à l'idéalisme hégélien). En 1841, cette orientation

  [masquer]  1 Idéologie 2 Origines du fascisme italien 2.1 Frustrations de la guerre 2.2 Conflits sociaux d'après-guerre 3 Le régime fasciste italien : politique et société 4 Le régime fasciste italien : l'économie 4.1 Le programme fasciste révolutionnaire de 1919 4.2 La phase libérale de la politique de Mussolini (1921-1925) 4.3 Le corporatisme fasciste, mis en place à partir de 1925 4.4 La république de Salò (1943-1945) 5 Expansion pendant l'entre-deux-guerres 6 Le néo-fascisme après 1945

curés » dans le jargon politique français ou wallon. Parmi leurs slogans les plus célèbres, on peut citer « à bas la calotte ». Divers mouvements sont anticléricaux, par doctrine ou par tradition. Parmi eux on peut citer les anarchistes, les communistes et les francs-maçons du Grand Orient de France. Toutefois, leurs raisons sont différentes. Originaire d'Europe, et plus précisément de France, l'anticléricalisme s'est d'abord opposé au catholicisme. Toutefois, l'Eglise Catholique n'est pas la

des plus grandes villes du monde. Au sein de cette bourgeoisie est apparue une intelligentsia qui a adapté les idéologies occidentales (nationalisme, marxisme) qui allaient lui permettre de conduire les mouvements de libération, par des guerres révolutionnaires si nécessaires. 2) Les mouvements nationalistes Ils se sont souvent déjà manifestés dans l’entre-deux-guerres, sans réellement inquiéter les métropoles. Ces mouvements ont d’ailleurs été inspirés par l’histoire européenne elle-même. N’oublions

chez les officiers, même modestes, le Roi ayant l’habileté de prodiguer son appui aux forces mises en difficulté qu’il faisait bénéficier de larges mesures d’avancement. Divisée, l’Armée fait généralement front avec énergie à des courants révolutionnaires, qui le lui rendent bien. En novembre 1917, Tierra y Libertad avait annoncé le “ triomphe des idées anarchistes en Russie ”. Dans la CNT (bien plus que chez les socialistes[2]), la sympathie pour la révolution russe est générale, en dépit

des plus grandes villes du monde. Au sein de cette bourgeoisie est apparue une intelligentsia qui a adapté les idéologies occidentales (nationalisme, marxisme) qui allaient lui permettre de conduire les mouvements de libération, par des guerres révolutionnaires si nécessaires. 2) Les mouvements nationalistes Ils se sont souvent déjà manifestés dans l’entre-deux-guerres, sans réellement inquiéter les métropoles. Ces mouvements ont d’ailleurs été inspirés par l’histoire européenne elle-même. N’oublions

Chine par les puissances étrangères. b) La compétition entre les nationalistes et les communistes prolonge l'isolement de la Chine. Le kuomintang nationaliste et la Parti communiste ( crée en 1921) proposent deux versions du refus de la domination étrangère, avant de s'opposer directement à partir de 1927. Le premier, parti de Sun Yat-Sen, entend moderniser la Chine sur un modèle occidental. Les communistes de Mao comptent pour leur part sur une révolution qui prendrait appui sur les masses paysannes

dont le premier secrétaire fut Alain Savary. Le PS est un parti issu du courant de pensée socialiste, dont la Section française de l’internationale ouvrière (SFIO), fondée en 1905. Ses alliés historiques sont le Parti radical de gauche, le Parti communiste français et plus récemment Europe Écologie Les Verts. Le PS réside actuellement 10 rue de Solférino à Paris et est le deuxième parti politique français, en 2007, en nombres d’élus. Pour autant, le Parti socialiste accumule les échecs lors des grandes

crime). U Nu, chef du Parti socialiste Birman, remplaça Aung San à la tête de la Ligue anti-fasciste pour la liberté du peuple (AFPFL) et devint le premier premier ministre du nouvel état. L'indépendance fut suivie de révoltes au sein de l'armée et des groupes ethniques nationaux. Fin 1948, après un conflit entre militaires rivaux, Ne Win fut nommé second de la hiérarchie militaire et son rival Bo Zeya, un communiste ancien membre des trente camarades, entraîna une partie de l'armée dans la rébellion

droite-gauche. Cf. document « La droite et la gauche » d'André Comte Sponville (document à télécharger). b. L'échiquier politique français. De gauche à droite : NPA (Nouveau parti anticapitaliste) autrefois LCR (ligue communiste révolutionnaire) Lutte ouvrière (Union communiste trotskyste) PCF (Parti communiste français) PS (parti socialiste) PRG (parti radical de gauche) MRC (Mouvement républicain et citoyen) Les Verts (parti écologiste) MoDem (Mouvement démocrate - Ancienne UDF : Union pour la démocratie française)