Ligue communiste révolutionnaire

Nous verrons donc en premier point, les préceptes du nationalisme arabe, comment il se définit, quels sont ses grands axes d’action, mais aussi ses défis et difficultés, puis nous nous pencherons sur l’apogée du nationalisme, avec la création de la Ligue Arabe, le parti Baas de Michel Aflaq, et le parti nassériste, grand détracteur de la notion d’un État arabe uni et indépendant, regroupé sous un même chef. Enfin nous évoquerons l’essoufflement du nationalisme, avec la chute de la République Arabe

l'Arabie Saoudite, la Jordannie, et l'Israel jouent la carte militaire des Etats-Unis. Dans cette situation, la ligue arabe datant de 1945 est menée depuis 1954 par Nasser qui souhaite unir tous les peuples sous une même nation. Cependant ce mouvement ne résites pas longtemps aux attaques occidentales, l'Afghanistan est envahit par l'union soviétique en 1979 pour soutenir le partis communiste Afghan. Les Talibans sont financé par les Etat-Unis pour lutter contre l'armée rouge en situation de la guerre

diplomate Français " Auguste Chapdelaine", il s'agit en faite d'une raison économique. Pendant cette guerre un héros chinois traditionaliste issu d'une longue lignée d'acupuncteurs et de maitres d'arts martiaux se fait connaitre par ses idéaux révolutionnaires et sa prise de position antioccidentale. Huang-Feihong est issu de Canton. La Troisiéme guerre de l'opium est une "guerre fermée", elle est aussi appelée "ère des seigneurs de guerre", en effet les Anglais et les Français vont demander à la

Développement du dadaïsme et du surréalisme sous l’égide d’André Breton…Dans les métropoles coloniales, des intellectuels comme André Gide, dans Voyage au Congo (1927) dénoncent les méfaits des Européens en Afrique Noire En 1927, naît à Bruxelles la Ligue contre l’oppression coloniale présidée par Albert Einstein Intellectuels et artistes s’emploient à valoriser les cultures indigènes que les Européens ont eu propension jusque-là à mépriser et à traiter en inférieures : Ainsi, à partir de 1920, vogue

« Lassalliens » (Allgemeiner Deutscher Arbeiterverein ou ADAV) fondé par Ferdinand Lassalle - Parti fondé en 1863 par Ferdinand Lassalle, il prône alors un socialisme national et réformiste mais aussi le respect de l’état et il est anti - révolutionnaire. - Pour lui, la libération de la classe ouvrière passera par le suffrage universel. 2- Le Sozialdemokratische Arbeiterpartei ou SDAP (August Bebel, Wilhelm Liebknecht) - C’est un parti fondé en 1869, dirigé par August Bebel et Wilhelm Liebknecht

institutions politiques puissantes et leur légitimité dans la souveraineté populaire. Il y aura des retours en arrière (Napoléon et la monarchie), mais ce ne sont que des « parenthèses » dans l’ensemble de l’histoire politique de la France. Période révolutionnaire (1789-1799) Cette période se caractérise par deux tentatives d’instaurer un régime qui se solde par un échec de monarchie limité et de la 1ère République. Révolution politique peine à aboutir mais la Révolution sociale aboutit en peu de temps

intervient à l’instant même où la société américaine voit le jour ce qui est une représentat° directe). En France, autour des années 1750, une doctrine politique très cohérente va montrer une vision politique de la société. Au départ, les révolutionnaires étaient des intellectuels (comme Marx, Hengel ... par la suite). C’est l’intérêt de l’Individu qui va diriger la société “le bonheur est une idée neuve en Europe” : l’Etat doit assurer le bien être de l’individu, germe de l’Etat providence.

Romains, de peuples germains - Francs, Wisigoths, Alamans et Burgondes - de Scandinaves, de Sarrasins..[5].. À partir du début du second millénaire, c'est la monarchie capétienne qui construit l'unité territoriale du royaume de France. La période révolutionnaire achève son unité administrative et politique. La période contemporaine est marquée par des efforts d'unification linguistique et culturelle, par un enrichissement du pays et par la continuation de l'immigration venant d'Europe, mais aussi d'Afrique

Faisceaux italiens de combat, puis fondateur en 1921 du Parti fasciste italien, commence sa carrière politique sous l’étiquette socialiste, mais il ne tarde pas à infléchir son programme, à l’origine très influencé par l’anarchisme et le syndicalisme révolutionnaire, pour mettre le bras paramilitaire de son mouvement, les Chemises noires (appelées ainsi par opposition aux Chemises rouges de Giuseppe Garibaldi) au service des intérêts des puissants industriels et des propriétaires terriens, alliés à l’Église

des Noirs américains contre la ségrégation, le 14e dalaï-lama en exil en Inde pour résoudre le conflit sino-tibétain, Adolfo Pérez Esquivel en Amérique latine, Vinoba Bhave à nouveau en Inde, Lech Wałęsa et Václav Havel contre les gouvernements communistes polonais et tchèque, Cory Aquino aux Philippines, Nelson Mandela (position abandonnée en 1961) et Steve Biko en Afrique du Sud, Aung San Suu Kyi en Birmanie et Ibrahim Rugova au Kosovo. Albert Einstein s'intéressa à cette forme de lutte1, admira