Likoud

attentats et que d’autres premières ministres israéliens moins raisonnable ont pris la relève comme Benyamin Netannyahou, aujourd’hui. La Droite israélienne qui forme le parti de la Likoud est hostile aux négociations avec les Palestiniens tant qu'il y a des attentats. C'est donc un cercle vicieux. En 2000, le chef du Likoud Ariel Sharon se rend sur l'esplanade des mosquées à Jérusalem: cet acte est perçu comme une véritable provocation vis-à-vis des Palestiniens, ça déclenche la 2e Intifada : le Hamas

obtenu. L’objectif de représentation parfaite entraine un éclatement de l’offre électorale. B) … Entraine le multipartisme * Le système est bénéfique pour les petits partis et contraint les deux principaux partis travailliste et le Likoud, qui n’ont jamais obtenu de majorité absolue au Parlement. * On parle de « partitocratie » * Il n’existe qu’une seule circonscription électorale, la répartition des sièges s’effectue ainsi au niveau national. S’il existait des circonscriptions

Selon Avi Shlaim, les dirigeants politiques modérés qui purent exceptionnellement accéder au pouvoir en Israël firent tout de même avancer la cause de la paix mais restèrent limités dans leur action en raison des fortes pressions exercées par le Likoud et la ligne dure israélienne. Avi Shlaim dénonce ainsi l’intransigeance diplomatique d’Israël.Il affirme qu’alors même que la Ligue arabe soutient la nécessité d’une négociation conjointe entre Israël et les pays arabes, l’État juif exploite les

Il finit à la deuxième place du premier tour avec 15,37 %, derrière la candidate UMP, Valérie Hoffenberg (21,85 %), et devant la candidate PS Marie-Rose Koro (14,61 %). Le 9 juin 2013, après avoir reçu le soutien de Jonathan-Simon Sellem, proche du Likoud, qui se désiste en sa faveur, il est élu député au second tour face à Valérie Hoffenberg, avec 53,36 % des suffrages exprimés[4], dans un contexte de forte abstention[5]. Son engagement associatif (il était le vice-président du Conseil représentatif

pour la première fois de leur histoire, les Palestiniens votent. Yasser Arafat est élu Président de l'Autorité palestinienne avec 88 % des suffrages exprimés. D) Cependant l’assassinat de Rabin en novembre 1995 et la victoire des conservateurs du Likoud aux élections israéliennes de mai 1996 bloquent le processus de paix. . Les négociations sur le statut définitif de Jérusalem et de la Cisjordanie sont repoussées à plus tard. En 1997 le processus de paix semble moribond. La perspective de naissance

fondé sur le principe de la collectivisation des terres et des moyens de production. Il y a 270 Kibboutz = 2,3% de ka population israélienne qui assurent 33% production agricole, 7% production industrielle du pays. Knesseth : parlement israélien. Likoud : parti politique de droite en Israël. Travailliste : parti politique de gauche Séfarades : descendant des juifs d’Espagne et par extension les juifs d’origine arabo-musulmane. Sionisme : Sion (colline de Jérusalem) traduit par l’aspiration des

sont complétés par ceux du Caire et de Taba. Pour autant, les attentats terroristes palestiniens et les représailles israéliennes se poursuivent. C'est dans ce contexte qu'est assassiné I. Rabin en 1995. 2000 : La visite d'Ariel Shaton ( chef de Likoud : parti nationaliste israélien ) entraîne la IIeme Infitata : la relance de la violence est d'autant plus grande qu'elle s'inscrit à l'échelle international dans le terrorisme islamique. 2003 : Lancement de la « feuille de route » rédigée par le

la présence de Bill Clinton en juillet 2000. La raison principale de l’échec des négociations est que Yasser Arafat ne voulait pas donner l’impression de faire trop de concessions. Suite à l’échec de camp David, un homme de droite, le candidat du Likoud Ariel Sharon est élu. Il est élu sur un programme très à droite et surtout à l’occasion d’une provocation, il visite l’esplanade des Mosquées (qui est le lieu saint à Jérusalem), ce qui va provoquer le début de la 2nde Intifada en septembre 2000.

régime, encore mal assuré, ne parvient pas à s’affranchir de sa dépendance à cet homme charismatique et le rappelle rapidement à chaque fois. 1977 marque la fin de la suprématie travailliste qui pour la première fois bascule dans l'opposition face au Likoud. Désormais, l'alternance est de mise, en parallèle à la montée de petits partis comme le Shas (parti sépharade ultra-orthodoxe, à l'extrême-droite) qui apparaît en 1984 et ne va cesser de prendre de l'importance. Cette multiplication des partis rend

est un groupe de pression né en 1951 aux États-Unis visant à soutenir Israël en particulier dans son conflit avec les États arabes de la région, ainsi que l'idéologie sioniste. Elle soutient fortement la droite israélienne, et plus spécialement le Likoud notamment sur toutes les questions touchant aux colonies dans les territoires occupés. N'employant jusque dans les années 1970 qu'une petite poignée de collaborateurs, l'AIPAC compte, selon ses propres indications, en 2011, 100 000 membres et 165