Likoud

doivent lutter activement contre le terrorisme, et que l’Israël a un droit inconditionnel d’exister. Un conflit toujours d’actualité au XXIe siècle La seconde Intifada débute le 28 septembre 2000, lorsque Ariel Sharon, parlementaire et membre du Likoud[6], fait une visite sous haute sécurité sur l'esplanade des mosquées, Mont du Temple à Jérusalem. Cette visite, bien que prévue et autorisée, est interprétée comme une provocation par les Palestiniens et la population arabe. Ariel Sharon encadrée

un statut d'observateur officiel au sein de son assemblée générale. C- 1977-1993 1)Une radicalisation anti-palestinienne de la politique israëlienne... Pour la 1ere fois de son histoire, la droite israëlienne gagne une élection avec la victoire du Likoud dirigé par Begin et prend deux décisions anti-palestiniennes: − Dvp considérablement l'implantation de colonies juives ds les territoires palestiniens occupés depuis 1967 (500 000 colons juifs) pr rendre la rétrocession de ces territoires aux Palestiniens

palestinien. Celui-ci a redéfini ses positions tout comme le font beaucoup de Palestiniens des territoires et en exil lorsqu’ils développent les liens avec les pacifistes, les démocrates et les forces antimilitaristes et alternatives à l’alliance entre le Likoud et les travaillistes de Shimon Peres. Ne pas faire le jeu de l’islamisme terroriste et faciliter l’évolution des islamistes pacifistes J’ai nommé à, propos des images de la répression israélienne contre les Palestiniens, l'islamisme guerrier et

JO à Munich, un commando palestinien prend en otage la délégation des athlètes israéliens qui sont tous tués (11). A partir de 1977 la politique israélienne va être de plus en plus anti palestinienne. La droite arrive au pouvoir en Israel (parti : LIKOUD). Le chef du parti, Begin, devient premier ministre, poste le plus important. Il prend 2 décisions anti-palestiniennes : - encourage et développe la politique d’implantation de colonies (mot employé par israéliens : implantation) juives dans les

le président de la république pour sept ans, non renouvelables. Quant au pouvoir judicaire, il est détenu par les juges de la Cour Suprême. Les trois « grands » partis d’Israël sont le Parti Travailliste (centre-gauche), le Kadima (centre) et le Likoud (droite libérale et conservatrice). En général, aucuns d’eux ne réunissent assez de voix pour être majoritaire au gouvernement et doivent donc créer des coalitions avec les autres petits partis. Actuellement, le président se nomme Shimon Peres, et

Insuffisamment préparé, il se termine sur une proclamation d’intentions. Les sujets cruciaux (statut final de Jérusalem, tracé des frontières, sort des réfugiés palestiniens, problème de l’eau) ne trouvent aucune solution. Ariel Sharon  alors chef du Likoud , se rend sur l’esplanade des Mosquées à Jérusalem. Après le départ d'Ariel Sharon, des affrontements opposent des Palestiniens et des Israéliens. Les affrontements gagnent rapidement la Cisjordanie et la bande de Gaza. Sept Palestiniens sont tués

officiellement comme intermédiaire entre la Syrie et Israël sur la question du Golan. Cependant, la détérioration des relations entre la Turquie et Israël suite à l’opération « Plomb durci » à Gaza en décembre 2008-janvier 2009, puis l’arrivée au pouvoir du Likoud en Israël ont mis fin à ce processus. En outre, ces tentatives de conciliation par la Turquie se dévaluent par rapport aux avantages que la Turquie peut tirer d’une coopération plus étroite avec son voisin, notamment sur la question kurde et sur le

néoconservateur sont en effet des défenseurs inconditionnels d’Israël, qui leur apparaît comme l’allié le plus sûr pour le contrôle d’un Proche-Orient perçu comme fondamentalement inquiétant. Certains ont d’ailleurs des liens personnels étroits avec le Likoud, le parti de la droite israélienne. Quant à l’expression de « Nouveau Proche-Orient », elle a été employée pour la première fois par Condoleezza Rice en juin 2006 à Tel Aviv. Je ne pense pas que cette position s’explique au premier chef par l’influence

législatif, mais aussi d'un pouvoir de contrôle sur le pouvoir exécutif. La Knesset vote les lois, le budget, contrôle le gouvernement, élit le Président de l’Etat et peut censurer le gouvernement [2] Les Deux Partis principaux Israeliens sont le Likoud (droite) et le parti travailliste (à gauche) [3] T.Philippon, Le Monde, 22 mai 2002 [4] La proportionalisation du système institutionnel ou les effets pervers d’un système sans contrainte

en juillet 2000, dans l’espoir d’obtenir davantage de concessions par l’épreuve de force, Arafat, alors choyé par les chancelle- ries, a pris l’écrasante responsabilité de se retrouver presque seul face au nationaliste Sharon et au conservateur pro-Likoud Bush Jr. Cette évalua- tion erronée des rapports de force lui vaudra vraisemblablement de ne jamais voir la création de l’Etat pour lequel il lutte au sein de l’OLP depuis 1964. De son côté, Ariel Sharon a fait le pari similaire de l’usure de l’adversaire