Lingénu Comique

événement quasi quotidien, souvent recherché, est le propre de l’homme. Les documents du corpus montrent que le rire est exclusivement et essentiellement humain. En effet lorsque Henri Bergson dans son roman « Le rire : essai sur la signification du comique » écrit en 1900 ; il compare le rire à des paysages, des animaux, puis fait tout de suite le rapprochement avec l’attitude d’homme ou l’expression humaine qui selon lui provoque le rire. L’auteur nous fait comprendre que l’homme est à la source du

« améliorations » de leur comportement à la file des siècles. Ainsi on constate que les valets fourbes (tel que Scapin n’hésitant pas à développer de sournois stratagèmes pour se venger de leur maitre Géronte a coups de bâtons ou a les duper) des pièces comiques de Molière, on laisser place a des individus moins sournois ayant le souci et la volonté de se sentir libérer, comme c’est le cas dans le registre lyrique «L’ile des Esclaves » de Marivaux. Enfin ces derniers laisseront place au 20e siècle aux personnes

« Il y a quelques années » l.22 « Un soir … avec une fille » l.64 « Quand j’étais encore au lycée … » Il casse la linéarité : passages « refectifs », argumentatifs, sans transitions (l.29 ou 59) Ellipse : (court circuit narratif) : effet comique : on passe brutalement du récit d’apprentissage au passé → portrait à l’imparfait du patron honorable Asyndète : absence de connecteurs logiques Ellipse finale : « mon quartier a le câble » sans transition → « Je décroche un boulot » Construction

rire Rabelaisien 1) Les jeux de mots Tout d’abord le comique dans le langage se manifeste par l’aspect incongru et les jeux de mot. Ces jeux de mot mettent en relation deux notions dépourvues de rapport entre elles. « Buveurs très illustres et vous vérolés très précieux » p. 47 dans le prologue, l’ivrognerie s’oppose à la grandeur et la vérole à la haute valeur. Les noms incongrus donnés aux personnages dans le roman renforce l’effet comique. De sérieux scientifiques sont dotés de noms ridicules :

Pourquoi et comment le comique fait-il penser ? Introduction Le théâtre est l'endroit idéal pour interpeller les gens tout en les faisant rire mais aussi réfléchir à la représentation théâtrale. Certains procédés comme les différents comiques (de gestes, de situations, de mots et de caractères), la caricature, la déformation, l'exagération, le changement de rôles et l'écart permettent, bien sûr, de se détendre mais aussi, et surtout, de corriger les moeurs d'une société et de porter un regard

dernières volontés de son père la concernant, à savoir rentré au couvent. Son père, constatant l'attachement sincère de sa fille pour lui, donne sa bénédiction à Angélique. Avant tout, l'effet principal de ces scènes sur le spectateur est un effet comique, Molière en usant de paradoxe et d'ironie amuse le spectateur/lecteur. Il emploie deux procédé à cette fin, en premier une mise en abyme et en second un paradoxe. La mise en abyme, qui est un procédé consistant à représenter une œuvre dans

6 mettent en scène les derniers instants de Dom Juan. Nous verrons dans la première partie que le surnaturel intervient dans ses deux scène, puis nous montrerons que dom juan reste fidèle a lui-même. Et enfin nous constaterons l’intervention du comique. I L’intervention du surnaturel Le seul moment où le surnaturel apparaît dans la pièce après le premier signe de la statue = contraste avec le reste de la pièce. • La pierre dont est faite la statue contraste avec l’impression d’impalpable

1) Le trouble de Figaro points de suspension - phrases non verbales - répétitions 2) Le désordre de Figaro - mouvement anarchique ? « se leve » , « se rassied » - tons differents : polémique : (« Noblesse , fortune, un rang de places! »), comique (« métier de mari », « à moitié ») et ironique (« lancette de vétérinaire »…) 3) Figaro détruit moralement - Les images de la victoire du comte et de l’infidélité de Suzanne lui sont insupportables. (« Non , non,vous ne l’aurez pas » + répétitions

donc voir comment la comédie peut être a la foie drôle et inquiétante. Premièrement nous étudierons en quoi la comédie et drôle puis en quoi elle est dérangeante notamment en nous basant sur l’école des femmes de Molière La définition du mot comique est bien claire : "qui provoque le rire, et qui appartient à la Comédie". En effet, ce sens aussi simpliste soit-il, nous montre bien que ce terme rime avec rire, divertissement et l'humour qui font partis de notre vie, de nos caractères, nous ne

pressions.  Rire, est-ce forcément se moquer, mettre à l’index ou stigmatiser ? Le comique ne peut-il fonctionner qu’au détriment d’un autre sur le modèle du fameux gag de la « tarte à la crème » ? Juridiquement, la frontière du « drôle » et du « pas drôle » est très difficile à fixer, c’est une certitude. Ce qui fait rire les uns peut laisser froids les autres, voire les offusquer. Comme la tragédie classique, le comique doit savoir respecter des unités, de temps et de lieu : « On peut rire de tout