Lion d'Afrique

« Fable ou Histoire », il le dépeint sous les traits d'un singe qui tente d'imiter son illustre prédécesseur. Le texte rappelle les fables de La Fontaine, notamment deux d'entre elles : « Le Loup devenu berger » (III, 3) ou « L'Âne vêtu de la peau du Lion » (V, 21). Annonce du plan : il s'agit bien d'un pastiche, qui respecte les règles du genre et comporte tous les ingrédients de la fable traditionnelle : un récit dramatisé (axe 1) et une leçon (axe 2). Mais le texte prend une dimension plus large :

frappés : On n'en voyait point d'occupés A chercher le soutien d'une mourante vie ; Nul mets n'excitait leur envie ; Ni Loups ni Renards n'épiaient La douce et l'innocente proie. Les Tourterelles se fuyaient : Plus d'amour, partant plus de joie. Le Lion tint conseil, et dit : Mes chers amis, Je crois que le Ciel a permis Pour nos péchés cette infortune ; Que le plus coupable de nous Se sacrifie aux traits du céleste courroux, Peut-être il obtiendra la guérison commune. L'histoire nous apprend qu'en

recueil.................................................. page 3 Poèmes du receuil.................................................. page 4 I. Aux morts du 4 décembre II. Don Juan aux enfers III. Les corbeaux IV. Les obsèques de la lionne V. Invocation de la momie Préface du recueil : Ce recueil, réunis sur le thème de la mort, est une bouleversante aventure poétique, le reflet du deuil et de la tristesse. Les poètes y livrent bien des choses qu'ils ne pourraient

les injustices de son temps. La forme de la fable correspond parfaitement à l’idéal classique de brièveté, et du « plaire et instruire ». Les obsèques de la Lionne obéit évidemment à ces principes du classicisme, mais tire son originalité de sa longueur et de ses multiples rebondissements. Le récit conte la cérémonie d’obsèques de la femme du Lion, de la reine, et décrit les réactions des courtisans, puis plus particulièrement celle du cerf. Nous nous demanderons comment l’auteur arrive ici à dresser

Livre VII – Fable 1 3. – La cour du Lion Jean de la Fontaine (1621 – 1695) Livre VII – Fable 7 4. – Les obsèques de la Lionne Jean de la Fontaine (1621 – 1695) Livre VIII – Fable 14 5. – Le Torrent et la Rivière Jean de la Fontaine (1621 – 1695) Livre VIII – Fable 23 La Cour du Lion 1 Sa Majesté Lionne un jour voulut connaître

Fables, La Fontaine Des le titre, La Fontaine va installer les 2 organes : animal ( lion ) et humain ( obsèques ) Situation initiale : 1er vers Rythme du vers : 6/2, mise en exergue du mouvement Périphrase : « La femme du Lion », va installer la fable dans un contexte Périphrase : « Les compliments de consolation » Devoir ® s’acquitter. Tout ceci peut s’appliquer à la société humaine. Renforcement des que la nouvelle est connue ® Précipitation de chacun. Vers 6 à 10 : cérémonie officielle

c’est un roi crédule (cf. moralité finale de la fable). Le caractère des courtisans Des fidèles serviteurs : ils consolent le roi (4) et l’imitent (15-16). Le terme « caméléon » (21) provient du grec et signifie littéralement « lion [qui se traîne] à terre » / « lion bas comme le sol » : les courtisans obéissent / s’adaptent aux humeurs du roi (17 à 23 ; « singe du maître », 21). On relève l’allusion à Descartes (les animaux-machines) aux vers 22 et 23. Aux vers 28-29, la délation est évoquée

C’est sous le règne de Louis XIX que La Fontaine écrivit Les Obsèques de La Lionne . Une rivalité oppose alors le monarque à Fouquet , intendant des finances et ami de La Fontaine . En effet ce dernier aurait organisé une fête grandiose , ce qui blessa Louis XIV dans son orgueil et fit naître de la jalousie à son égard . Le roi fit arrêter Fouquet. La fable , genre littéraire datant de l’Antiquité ,qui revêt une fonction satirique est alors utilisée par La Fontaine pour exprimer son opinion sur

des nobles qui sont serviles vis-à-vis de leur maîtres. Passons à La génisse, la chèvre et la brebis, en société avec le Lion. Ici, même si toutefois la morales est implicite, elle est clairement identifiable : on à le Lion qui sous prétexte d'être un Lion s'octroie le droit de prendre la part de chacun : «  Elle doit être à moi, dit-il; et la raison, C'est que je m'appelle lion : à cela on n'a rien à dire » cela illustre donc le fait que la raison du plus fort est bien sure la meilleur. On pourrait

Bullit, époux de Sybil, père de Patricia et administrateur de la réserve, tiraillé entre son amour pour sa femme, sa passion pour son travail et sa complicité avec sa fille ; - Oriounga, jeune guerrier Masaï qui demandera Patricia en mariage ; - King, lion magnifique. Résumé Venu passer vingt-quatre heures dans la réserve avant de repartir pour l'Europe, le narrateur rencontre Patricia, dont le mystère et la profonde connaissance du monde sauvage le fascine. Il est ensuite reçu chez les Bullit, où il