Lion d'or

Etudier la ressemblance entre la femme et l’animal ce duel entre la femme et le félin, joue seulement sur le physique de ces individus, et leur jeu de regard, on ne sait rien d’autre mise appart cela. On constate un parallèle entre la femme et le félin (ici une panthère)car la femme représente la beauté, la grace alors que le félin représente la beauté et la majesté féline cependant il y a un rapport. Ce qui les rend semblable également est leur féminité, ce sont les deux des

rendront blanc ou noir." Nous laisse penser à cette critique, c'est à dire, la "grandeur" du crime ou de la faute que le Lion (roi) et les autres dépredadeurs (courtisans) on commit n'a pas de réelle importance sinon son status social "puissant ou misérable"c'est ce qui compte le plus pour juger/punir quelqu'un. Les différents animaux ont leurs caractéristiques propres: le lion est tel le roi, il représente le pouvoir, la puissance, l’habileté, le renard ruse et flatte le roi. Le loup est un beau

La cour du Lion En quoi cet apologue est il plaisant et en quoi reprensente - t -il une double critique de la societe du XVII ? Intro OK I. Une fable a la forme classique. a. Son organisation OK b. Les personnages OK Transition OK II. Une fable plaisante a. Des rimes et des mètres variés b. Une transition entre les différents types de discours OK III. Une double satire Transition OK a. Une moquerie des courtisans

société du 17eme siècle ? Axes détaillés : I-Un récit étendu et riche en rebondissement 1-D’abord une longue exposition v1 à 14 : la peste, terrible fléau 2-De nombreuse péripétie au dénouement brutal II- Un regard critique sur la cour 1-Le lion : allégorie d’un pouvoir fort tyrannique et manipulateur 2-Le renard : allégorie du courtisant flatteur (34-42) 3-Les autres courtisant : tigre, ours, loup (43-48) II-Une critique de la justice 1-Un dénouement scandaleux 2-Une justice

Lion qui es-tu ? . Sa crinière apparaît vers l’âge de 2-3 ans et protège sa gorge lors des bagarres. Les lions vivent surtout dans la savane Africaine. Son pelage jaune-roux peut se confondre avec les herbes de la savane. Sa mâchoire est très puissante, elle se referme sur la gorge de ses proies, pour les tuer en les étouffant. Sa langue râpeuse permet de nettoyer la viande attachée aux os… et de faire sa toilette. Ses pattes sont larges et robustes. Sa démarche est souple et silencieuse comme

conter me semble peu d'affaire. C'est par cette raison qu'égayant leur esprit, Nombre de gens fameux en ce genre ont écrit. Tous ont fui l'ornement et le trop d'étendue. On ne voit point chez eux de parole perdue. (Début de la fable Le pâtre et le lion, Livre VI). 1) Faites-vous un petit dossier (manuscrit ou dactylographié) que vous conserverez dans votre classeur de français et que vous pourrez utiliser en Première également. (ce genre de dossier est d’ailleurs conseillé pour toutes vos prochaines

 La cours du Lion Jean de La Fontaine 1621-1695 .Fabuliste, moraliste et romancier français , Lors de ses tournées, il observe le comportement des animaux. Cela l'inspire pour écrire des fables. La Fontaine utilise des animaux pour critiquer les hommes LECTURE AXE 1 Un récit vif et piquant 1) Structure de la fable 2) un récit animé AXE 2 Une satire sociale 1) Par la représentation animale 2) Une critique du pouvoir arbitraire 3) Une

ENREGISTREMENT DES RÉSULTATS ANNEXE N.B. : Les copies présentées en annexe sont des exemples pouvant permettre de comprendre comment se fait l’évaluation des copies aux cinq premiers sous-critères et à chacun de leurs aspects. Pour ce qui regarde les critères de la langue, des exemples de copies annotées utilisant le code de correction apparaissent également. La cote de chaque sous-critère s’obtient à la suite de jugements portés sur chacun de ses aspects. Trois jugements sont possibles : « bonne

fable, Le lion et le moucheron, Jean de la Fontaine met en évidence un aspect à la fois d’impuissance et du ridicule lors de cette bagarre. Tout d’abord, l’auteur montre l’impuissance du lion qui ne peut rien faire. Pour cela, il utilise une énumération d’un certains nombres d’attaques du moucheron « tantôt pique l’échine et tantôt sur le museau » (l.20), « fond sur le cou » (l.13). Ce dernier le harcèle. Cette énumération donne une impression de rapidité dans les attaques. De plus, le lion fait peur

serviettes, ne dit on pas qu´elles font la servi(e)tude ? Autre exemple: un dompteur, dans un cirque, lorsqu´il dresse un fauve et qu´il lui donne rapidement à manger (ce sont des fauves), ne dit-on pas qu´il sert vite Ude (dans le cas où il s´agit d´un lion qui s´appelle Ude, si c´est un tigre ca ne marche pas). Le travail peut être bien une servitude mais peut-être est-il autre chose? Comme le dit Henri Salvador, le travail c´est la santé, donc déjà autre chose que la servitude. Si l´on considère