Liquidité du marché

de Bank Al-Maghrib - Les opérations principales sont destinées à injecter ou à retirer des liquidités de manière régulière, avec une fréquence hebdomadaire sur une échéance d’une semaine (Avance ou reprise à 7 jours). Elles constituent le principal instrument de mise en œuvre de la politique monétaire. - Les opérations de réglage fin visent à atténuer l’incidence de fluctuations imprévues de la liquidité. Elles sont effectuées de manière ponctuelle pour une durée inférieure à 7 jours via des opérations

Baduel Arbitrage à faire entre liquidité, risque et rendement : on veut un placement le plus liquide possible, le moins risqué possible, le plus rentable possible. Ces trois éléments ne sont pas indépendants => un placement liquide est peu risqué mais également peu rentable. Les actifs pour lesquels l’espérance de gain est la plus forte (rentabilité historique la plus forte), sont risqués et illiquides. ex : rendements sur le marché action et rendement sur le marché monétaire : perspectives de court

politique monétaire et de gestion des liquidités dont disposent la Fed, la BCE et la BoE. Nous dressons un historique exhaustif des actions menées par les trois banques centrales pour enrayer la crise, et proposons d’en tirer un bilan à partir de critères d’efficacité technique, de confiance des investisseurs et de crédibilité vis-àvis des objectifs. Nous montrons que : • La diversité des mesures prises s’explique par des outils différents de gestion des liquidités; ces outils ont été adaptés à la crise

d’endettement à une économie de marché développée grâce à des innovations de produits et d’organisations permises par la déréglementation des activités financières. Ceci a des conséquences sur la mise en œuvre de la politique monétaire (qui doit renoncer aux interventions réglementaires).3 thèmes seront abordés : Monnaie, liquidité patrimoine; Monnaie et financement ; fondements, objectifs et instruments de la nouvelle politique monétaire mise en place à partir de 1987 Monnaie, liquidité, patrimoine I/ les formes

acquise sur les marchés financiers b) Incertitude et anticipation Selon lui, les A.E. effectuent leurs décisions dans un cadre d’incertitude radicale. Knight (1921) avait déjà mis en avant la différence entre le risque et l’incertitude : le risque est probabilisable, l’incertitude ne l’est pas. La préférence pour la liquidité Chez Keynes, la monnaie est demandée pour elle-même. Dans un cadre d’incertitude radicale, la monnaie est le seul actif qui permet de se prémunir des aléas (⇐ liquidité) ou de saisir

monnaie est d'être un moyen d'échange. On a des marché sur lesquels on trouvera des offres et des demandes sur chacun des biens, et de ces demandes, on retire des prix relatifs en fonction de l'abondance de la demande et de l'offre. Et de l'ensemble des fonctions de ces marchés va se dégager un équilibre global de l'économie qui est assuré précisément par les équilibres multiples des différents marchés. La monnaie fait également l'objet d'un marché a part. Il y a bien une offre de monnaie, mais cette

suivies par les banques b- Avantages c- Inconvénients d- Exemple: Attijari wafa bank/bank chaâbi II. Risques systémiques 1-Risque de marché 2-Autres risques a) Risque de crédit b) Risque de liquidité c) Risque de taux d’intérêt d) Risque de solvabilité 3-La gestion des risques Conclusion Introduction Avec la montée de la mondialisation

Ces accords visent à améliorer la gestion des risques bancaires, à faire correspondre les exigences minimales en fonds propres aux risques réellement encourus par les banques, à renforcer le rôle des superviseurs et à établir une discipline du marché à travers une communication financière plus transparente et complète. En effet, la mise en œuvre optimale de ce dispositif contribuera d’une part à surmonter les turbulences financières actuelles et permettra, d’autre part, de prévenir et pallier

insistant sur les quatre points suivants : - La monnaie peut être désirée pour elle-même. A côté du motif de transaction, il existe une demande de monnaie de spéculation et de précaution. Keynes introduit ce qu’il appelle la « préférence pour la liquidité ». - Les prix sont fixes à court terme - L’offre ne crée par la demande, il convient de stimuler la demande effective (anticipée) pour que la demande globale soit égale à l’offre globale. Keynes montre qu’une politique monétaire peut s’avérer

émis sur le marché des capitaux. La titrisation des créances consistait à les regrouper par paquet (plus de 1000) provenant de plusieurs États américains, de façon à permettre en théorie une diversification du risque. L'opération de titrisation permettait de sortir les créances (prêts) du bilan de la banque. Ainsi, elle pouvait continuer à placer de nouveaux crédits, et ainsi réalimenter un processus qui n'était pas encore qualifié de bulle immobilière. Slide 20 : Crise de liquidité * L’épargne