Liquidité du marché

mondiale qu’elle a probablement, déjà, provoqué, cette crise a suscité une contagion systémique vers tout un ensemble de marchés, mais aussi des dévalorisations d’actifs pour des montants considérables au sein des bilans des principaux intermédiaires financiers . Mais comment en est-on arrivé là ? 1. L’origine de cette crise et Les facteurs fondamentaux La crise sur le marché américain des prêts hypothécaires à risques (« subprimes ») est apparue en 2006. Des prêts ont été consentis à des ménages

immobilier – mais certains actifs sont plus périssables que d’autres, et entraînent des frais de conservation plus ou moins importants. La monnaie est l’actif qui se dévalorise le moins, et possède le coût de conservation le moins élevé.   La liquidité d’un actif représente sa capacité à exercer un pouvoir d’achat le plus facilement et le plus rapidement possible au moindre coût possible. Y | C |   | S | Actifs réels | Actifs financiers (actions, obligations) |

traduire par une ruée forte des épargnants pour solliciter simultanément leur fonds placés à court ou moyen terme auprès de l'intermédiaire qui a fait un placement à long terme. L'exigibilité du passif de l'intermédiaire devient supérieure à la liquidité de l'actif. Par effet de mimétisme, le phénomène de «Bank runs » peut se généraliser paralysant de ce fait le tissu macroéconomique. C'était le cas aux Etats-Unis d'Amérique (USA) en octobre 1929, en Argentine en novembre 2000 ou en Indonésie en

de liquidité 4 B. La contagion mondiale 5 C. L’intervention des banques centrales 5 III. 2008, l’aggravation de la crise 6 A. Automne 2008, aggravation de la crise financière 6 B. L’impact sur l’économie réelle, la crise économique 7 Conclusion 8 Sources 9 Introduction Le terme crise financière est relativement large et englobe à la fois les crises bancaires et les crises boursières, elle peut donc consister en une situation où les banques sont en manque de liquidités pour

dans l’hypothèse d’une défaillance future de sa contrepartie. Ce risque regroupe deux risques de natures différentes : le risque de livraison et le risque de crédit. Le risque de livraison Le risque de livraison concerne toutes les opérations de marché intégrant un échange simultané de devises ou de flux d’intérêts. Ainsi, le type d’opération le plus sensible est-il le change au comptant, mais le change à terme et certains swap de taux sont également concernés. Le risque de livraison naît de

Que reste-t-il de la main invisible ? La conception de main invisible présente un rapport éloigné avec l’œuvre d’A. Smith. Les marchés sont supposés fonctionner de manière harmonieuse, il y a systématiquement un retour à l’équilibre. Toute intervention des pouvoirs publics seraient nuisible. La main invisible a été utilisée à 3 reprises dans l’œuvre d’A. Smith : Théorie des sentiments moraux Enquête sur la nature et les causes de la richesse des nations Les principes qui guident et dirigent

la naissance de Bâle 2.   Les accords de Bâle 2 s'appuyaient sur trois piliers étant : * l'exigence de fonds propres (ratio de solvabilité McDonough), * la procédure de surveillance de la gestion des fonds propres, * la discipline du marché (transparence dans la communication des établissements). Mais suite à la crise qui ayant touchée les banques en 2008, l'ensemble du système bancaire à dû être revisité, c'est pourquoi la publication de réglementations sous le nom de Bâle 3 ont vu

intermédié Table des matières PARTIE I : Présentation du cas Vélasquez 3 1. Vue d’ensemble 3 2. Quelle rémunération l’investisseur est-il en droit de réclamer ? 6 3. Les flux de liquidité prévisionnels du projet 11 4. Comment évaluer et différencier ces différents projets ? 13 5. Risque inhérent aux flux de liquidité prévisionnels 17 PARTIE II : La prise en compte du crédit intermédié 21 1. L’intermédiation financière : première forme de financement externe des entreprises 22 Le concept d’intermédiation

d’intérêt variable : Taux d'intérêt qui varie selon la conjoncture, il est généralement indexé soit sur le taux d’inflation dont la mesure ou il augmente quand le taux d’inflation augmente et inversement, soit sur un taux de référence du marché monétaire ou du marché obligataire. Le taux d’intérêt créditeur : correspond au coût des ressources des banques et permet de rémunérer les dépôts (on parle également de taux acheteur ou taux offert). Le taux d’intérêt débiteur : Taux d'intérêt que les banques

..................................................................................................... 10 C- La crise de l’innovation financière .................................................................................. 11 D- La crise de liquidité ......................................................................................................... 15 E- La crise bancaire .............................................................................................................. 18 Conclusion