Lire De Livre Est Une Perte De Temps

Nous allons parler d'un thème imposé par Jean Guéhenno qui concerne les romans. «Dans: Les carnets du vieil écrivain, Jean Guéhenno à écris 'un livre est un outil de liberté'. Expliquez, commentez et discutez cette affirmation, en vous limitant au cas de la lecture littéraire et principalement de roman.» est le sujet proposé. La problématique contenue dans le sujet est une métaphore. Cette dernière met en avant deux idées: l'outil qui est donc un objet qui sert a faire quelque chose, puis la liberté

question, la réponse à ma question. Une quelconque réponse capable d’assouvir cette envie sordide qui animait mon envie de lire et de scruter tout écrit. Où en suis-je ? On m’avait recommandé d’assister à un certain cours avec beaucoup d’insistance. On connaissait mon penchant pour les mots, et c’était d’ailleurs pourquoi ce fut ce cours et aucun autre. Il faisait un temps de Goethe. Je pris l’un de ses écrits pour le trajet et quittai mon appartement. Je me dirigeai vers l’endroit où le cours

monde. En quoi ils ont modifié l’homme avec la nature et l’homme avec les autres hommes? Pour certains l’homme occidentale a été formé par le livre, pour d’autres il a été déformé. Sommes nous façonnés par nos moyens de communications? Voyons nous le monde à travers Internet? La dimension du monde est réduite : on peut aller partout tout le temps. Comment se fait-il que certains moyens réussissent (le téléphone portable) alors que d’autres connaissent de véritables échecs (visiophone)? Aucun

opérationnels en lien avec l’ouvrage : Cet ouvrage permettra d’avoir déjà eu des informations sur l’alcoolisme, d’acquérir des connaissances théoriques, de connaitre les méfaits de l’alcool et les conséquences que ca peut entrainer, à savoir une perte de conscience, un comportement complètement décalé de la réalité, une irresponsabilité, parfois de la violence mais l’alcool peut aussi entrainer dans une dépression, de plus à plus ou moins long terme il y a une addiction qui se créée. L’alcoolisme

poursuis une œuvre de biographe (Joseph Fouché, Marie Antoinette, Marie Stuart) et surtout d'auteur de romans et nouvelles qui ont conservé leur attrait près d'un siècle plus tard (Amok, La Pitié dangereuse, La Confusion des sentiments). Dans mon livre testament Le Monde d'hier. Souvenirs d'un Européen, je me fais chroniqueur de l'« Âge d'or » de l'Europe et analyse avec lucidité ce que je considère être l'échec d'une civilisation. Je vais maintenant vous parler de l’ouvrage que je suis venu vous

comme un modèle de réussite. L'abbé Chélan le recommande au Maire de Verrières, Monsieur de Rênal, comme précepteur de ses enfants. Le père Sorel, à qui l'on vient de faire cette proposition , va chercher son fils à la scierie; il le trouve occupé à lire au lieu de surveiller les machines.... Le lecteur découvre Julien.. En approchant de son usine, le père Sorel appela Julien de sa voix de stentor ; personne ne répondit. Il ne vit que ses fils aînés, espèces de géants qui, armés de lourdes haches

hésite et reviens toujours auprès d'elle, bien que cette situation le rende extrêmement malheureux. Il confie à un ami sa résolution de partir, mais celui-ci fait lire à Ellénore la lettre qui annonce son départ définitif. Elle tombe gravement malade. Déchiré par un grand sentiment de culpabilité, il reste auprès d'elle jusqu'à sa mort. Le livre se termine par la lecture d'une des lettres d'Ellénore, qui lui affirme que c'est son amour et la douleur d'être ignorée qui l'ont tuée. Portrait d'un personnage :

ses petites princesses qui rêve encore du prince charmant. Je ne peux m’empêcher de lire ces romans à l’eau de rose où amour et passion se livre une bataille sans merci. Cependant, pour qu’un roman obtienne mon approbation l’auteur doit mener la vie dure à son héros, un peu comme un jeu où le prix serait le bonheur. Tout au long du roman les personnages luttent, affrontent les pires dangers, dépression, drogues, perte d’un être chère. Mais à la fin alors que l’on croyait tout perdu à jamais, l’auteur

Fiche de lecture Présentation: Titre du livre: Je vous salie ma rue, clinique de la désocialisation. Nom de l'auteur: Sylvie QUESEMAND ZUCCA Editeur: STOCK Date de l'édition: octobre 2007 Nombre de pages: 178 pages Date de lecture: juillet 2010 Lieu où trouver le livre: librairies Auteur: Sylvie QUESEMAND ZUCCA est de formation médecin. Elle a d'abord exercé le métier de médecin du travail, et est aujourd'hui psychiatre et psychanalyste. Elle partage son activité entre son cabinet

distraction, la sensibilité individuelle, le sentiment et la rêverie, il prend également conscience des grands problèmes du monde qui l’entoure. » Vous montrerez, à partir de vos lectures et de Manon Lescaut comment ce jugement se vérifie. Le livre, de nos jours, est sans aucun doute un objet de plaisir. Parmi le très grand panel qui s’offrent à lui, le lecteur fait un choix suivant ses désirs et ses préférences. La citation à étudier ici élargit cette première notion de plaisir en affirmant