Lire Permet Il De S évader

contre le mal. Elle a donc pour fonction l’enseignement, d’ouvrir l'esprit du lecteur. Ce que les romans, le théâtre, la poésie nous apprennent: le sens esthétique, l'amour des mots et surtout la réflexion psychologique, philosophique, historique qui permet de comprendre le monde qui nous entoure. Voltaire et d'autres écrivains ont ainsi souvent eu l'idée d’éduquer leur lecteur, de le faire réfléchir grâce à la littérature. Ici nous prendrons pour exemple Les Maximes de La Rochefoucauld, de leur vrai

poésie de nos jours est encore une façon de s’évader quand elle nous permet d’entrer dans un monde étant différent du nôtre puisque le poète nous montre une vision du monde qui lui est propre. C’est le cas dans le «  récit poétique ». Le récit l’Obscurité  de Philippe Jaccottet, poète suisse, publié en 1961 est un texte écrit en prose et appartenant aux récits poétique qui nous enlève à nos pensés respectives, et qui nous permet de voir ce que l’auteur pense par le biais des mots. En effet dans ce

L’Albatros, Charles BAUDELAIRE. C’est le premier poème que j’ai lu du livre « Poètes français des XIXème et XXème siècles » car j’avais ouvert le livre et lu un poème au hasard, il se trouve que ce poème m’a donné l’envie de finir ce livre et de lire le recueil d’où est tiré ce poème « Les Fleurs du Mal ». Ce poème m’a aussi fait découvrir le poète Baudelaire dont je n’avais lu aucune œuvre auparavant. J’ai été amusé par l’image que le poète donnait de lui-même ; c’est-à-dire qu’il se compare à

« Les paroles s’envolent, les écrits restent. ». On peut donc dire qu’ils sont, en quelques sortes, des recueils de savoirs et qu’ils nous ont guidés pour constituer le monde d’aujourd’hui. Les livres nous ont également permis de rêver et de nous évader dans un monde imaginaire. Malheureusement, il y eut aussi des livres qui ont fait (ou auraient pu faire) reculer la société. Selon Franklin Roosevelt, les livres sont les outils qui nous permettent d’avancer sans pour autant répéter toutes les erreurs

et ses copains, et ses copines, tous d’accord : «Flaubert avait raison !» Une unanimité de trente-cinq copies : il faut lire, il faut lire pour vivre, et c’est même  – cette absolue nécessité de la lecture  – ce qui nous distingue de la bête, du barbare, de la brute ignorante, du sectaire hystérique, du dictateur triomphant, du matérialiste boulimique, il faut lire ! il faut lire ! — Pour apprendre. — Pour réussir nos études. — Pour nous informer. — Pour savoir d’où l’on vient. — Pour savoir qui l’on

qu’un simple miroir nous reflétant que la dure réalité ? Le roman a souvent réussi à nous emmener dans un endroit où nul ne connaît l’emplacement : l’inconscient. Il nous a fait rêver plus d’une fois. En effet, il permet de déformer la réalité, de nous évader dans un monde idéal, nouveau ou même complètement opposé au notre. Le perroquet qui bégayait d’Alfred Hitchcock nous montre bien ce monde idéal, nouveau et mystérieux. De plus, le roman peut également nous faire rêver notre

auteur qui a été élu à l’Académie Française en 1962 était un humaniste. « Que serait un monde sans livre ? » fut l’une de ses interrogations. On se demande alors, en quoi la littérature est utile ? Pour commencer, nous verrons que la littérature permet de transmettre, ensuite qu’elle est une richesse de culture et d'éducation. Et pour finir, nous verrons que la littérature a aussi pour but de prendre conscience. La littérature a permis tout d’abord au fil des siècles de véhiculer des idées.

 Les conflits de la comédie classique 1. La comédie comme genre a) Les conventions théâtrales comiques : lire L’Illusion comique de Corneille Cette comédie permet de travailler dès l’analyse du titre sur la définition de la théâtralité comme art de l’illusion et celle de la comédie, en tant que genre. Oeuvre baroque, elle permet aussi d’aborder l’histoire littéraire du début du XVIIe siècle. Les élèves de 2e connaissant au moins une comédie de Molière, il sera possible en fin de séquence

influencés par des tendances comme Dans les rapides, de Maylis de Kerangal, où la génération des années 70-80 a été influencé par le rock, encore aujourd'hui, ceux qui ne suivent pas "la mode" sont, la plupart du temps, quelque peu délaissés. Un roman permet aussi d'acquérir certaines connaissances sur des époques que nous connaissons mal, par exemple, dans Tartuffe de Molière, celui-ci cherche à se moquer de la communauté religieuse, très présente au XVIIème siècle, qu'il juge cupide et malhonnête. Dans

pages et il est alors difficile de passer à côté. Montesquieu disait : « Je n'ai jamais eu de chagrin qu'une heure de lecture n'ait dissipé » et il ne croyait pas si bien dire ! En plus d’être un moment agréable lors d’un repos, car il permet de nous évader où on veut, avec qui on veut, et en faisant ce que l’on veut, la lecture innove en s’introduisant petit à petit dans le domaine médical. En effet, la lecture a déjà fait l’objet de nombreuses expériences dont les résultats sont très encourageants