Lise Les Contemplations De Hugo

avec qui Baudelaire avait une relation fusionnelle. Sa mère est entre autre présente dans le poème A une passante. Aussi nous pouvons citer le livre I du recueil Les Contemplations (1856) de Victor Hugo. Dans ce livre, l’auteur évoque son expérience dans la vie mais aussi dans la poésie: ses premiers émois d’adolescent dans le poème Lise. Ainsi, nous pouvons dire que l'utilisation d'un monde réel dans la poésie, sert surtout au poète a transmettre de façon explicite la réalité de leur vie, de leur

semble genre littéraire à part aborde désormais des thèmes plus réalistes voire polémiques. La poésie transfigure le réel et l'expose parfois crûment. Ainsi les poètes n'hésitent pas à prêter leur vers au massacre ou à l'injustice. Dans les Contemplations de Victor Hugo, les fausses notes de l'existence s'accordent avec la mélodie d'un alexandrin, combinant ainsi charme et horreur. De même que Baudelaire fait l'éloge harmonieuse d'un cadavre dans "Une charogne", nous obligeant à contempler et à ressentir

au vert de la fraîche ramures. » — Tristan Derème l'écho [poétique: vers-écho] répétition d’une rime sur le vers suivant qui est formé d’un seul mot homophone « Si tu fais ce que je désire, Sire Nous t’édifierons un tombeau Beau » — Victor Hugo, Odes et Ballades, La chasse du Burgrave l’homéotéleute [stylistique] Répétition d'un phonème dans une même phrase « Et les servantes de ta mère, grandes filles luisantes » — Saint-John Perse [poétique] souvent à l'hémistiche (rimes internes)

au vert de la fraîche ramures. » — Tristan Derème l'écho [poétique: vers-écho] répétition d’une rime sur le vers suivant qui est formé d’un seul mot homophone « Si tu fais ce que je désire, Sire Nous t’édifierons un tombeau Beau » — Victor Hugo, Odes et Ballades, La chasse du Burgrave l’homéotéleute [stylistique] Répétition d'un phonème dans une même phrase « Et les servantes de ta mère, grandes filles luisantes » — Saint-John Perse [poétique] souvent à l'hémistiche (rimes internes)

Anti-utopies et principe espérance dans Les Châtiments de Victor Hugo  Cette communication prolongera la réflexion sur le romantisme et l’utopie amorcée à l’occasion de mes recherches sur Nerval. Elle sera l’occasion de faire le point de mes recherches sur la poétique de l’utopie au XIXe siècle. Je replacerai Les Châtiments dans l’histoire de la relation complexe qu’entretient le romantisme avec l’utopie. Mon propos ne sera pas centré sur le prophétisme, sujet déjà abordé par Sheila Gaudon[1]

Édition du groupe « Ebooks libres et gratuits » Victor Hugo LES CONTEMPLATIONS (1856) Table des matières PRÉFACE .................................................................................. 7 TOME I AUTREFOIS 1830-1843........................................... 8 Un jour…....................................................................................... LIVRE PREMIER AURORE ......................................................... I. À ma fille .......................

(1876), l’Etoile (1877) Paul Cézanne (1839 – 1906) : Joueurs de cartes (1891), le fumeur (1897) Claude Monet (1840 – 1926) : La charrette (1865), La Pie (1868), les Coquelicots (1873), Femme à l’ombrelle (1875) Auguste Renoir (1841 – 1919) : Lise à l’ombrelle (1867), bal du moulin de la galette (1876). Vincent Van Gogh     (1853 – 1890) : les Tournesols (1889), Nuit étoilée (1889), Eglise d’Auvers - sur – Oise (1890) VI) Pointillisme : procédé pictural consistant à juxtaposer des petites

Page 4°) Recherche sur Gustave Courbet : mots-clés et peintures…………. Page 5°) Cinq œuvres de grands peintres impressionnistes…………………. Page Bibliographie……………………………………………………………... Page Victor Hugo (1802-1885) Né le 26 février 1802, Victor Hugo est élevé surtout par sa mère. Alors qu'il est encore élève au lycée Louis le Grand, il se fait connaître en publiant son premier recueil de poèmes, 'Odes’ et obtient, pour celui-ci, une pension de Louis XVIII. Il s'impose

Vous chantiez ? j'en suis fort aise. Eh bien dansez maintenant. » 1. oût : août, mois où l’on fait les moissons. Texte B Jean Anouilh, Fables, Avertissement hypocrite Ces fables ne sont que le plaisir d’un été. Je voudrais qu’on les lise aussi vite et aussi facilement que je les ai faites et, si l’on y prend un peu de plaisir — ajouté au mien — il justifiera amplement cette entreprise futile (2) . Il y a tant de gens dont c’est le gagne-pain de penser, de nos jours, que ce petit livre

Littérature des Temps Modernes : Victor Hugo Attention : je mets ce cours à la disposition de tout le monde parce que je sais qu'il était difficile de prendre des notes vu la vitesse à laquelle allait Mme André. Elles ne sont pas parfaites, peuvent être très répétitives (vu que j'essaie de prendre le plus possible de ce qui est dit), et il manque quelques informations (date non entendue, nom mal compris, etc.). Ce cours est donc à prendre avec précaution car il n'est pas exclu que quelques erreurs