Lisp

Emacs de l’autre. Ces deux logiciels ne sont pas du tout équivalents, mais ont chacun leurs partisans et leurs détracteurs. Vi et Emacs Emacs est théoriquement un éditeur de texte, mais des possibilités d’extension par l’intermédiaire de scripts Lisp en ont fait une énorme machine capable d’offrir l’essentiel des commandes dont un développeur peut rêver. Vi est beaucoup plus léger, il offre nettement moins de fonctionnalités et de possibilités d’extensions que Emacs. Les avantages de Vi sont sa

retourne donc la liste [f e1 ; f e2 ; . . . ; f en ]. Graphiquement, la fonction map « distribue » f sur les ´l´ments de la liste argument : ee l :: e1 e2 :: ... :: en [] map f map f l :: f e1 :: f e2 . . . :: f en [ ] Le nom map provient du langage Lisp et signifie « application multiple ». La fonction s’´crit tr`s simplement : si la liste argument est vide le r´sultat est la liste vide. Sinon, e e e la liste argument est de la forme x :: l et il suffit de mettre en tˆte du r´sultat e e l’application

plusieurs de ses fils directs, comme le Basic de John Kemeny et Thomas Kurtz dans ses premières versions de 1963 : mais aujourd’hui un langage « moderne » comme Visual Basic permet naturellement la programmation récursive. D’autres langages comme Lisp et, naturellement, Pascal avaient intégré cette possibilité dès leur mise au jour. Récursivité Il n’y a pas de programmes récursifs (même si cette expression est parfois utilisée par extension) mais, dans le cas de Pascal, uniquement des procédures