Liste des monarques d'Angleterre

pouvais pas voir aussi bien, sur la même montagne, par le récit des actions que vous avez alors vues, de leurs causes, de leur prétentions, de leur justice, de leur ordre, de leur agencement et de leur issue. A. En l’an 1640, le gouvernement d’Angleterre était monarchique et le roi régnant, Charles, premier du nom, tenait la souveraineté du droit d’une lignée ininterrompue de six cent ans, était [aussi] roi d’Ecosse par une lignée plus longue et était roi d’Irlande depuis l’époque de son ancêtre

matériel implique qu'il existe un domaine d'intervention réservée à la loi, c'est-à-dire un certain nombre de matières qui ne peuvent être régies et réglées que par la loi. Dans le cas français, c'est l'article 34 de la Constitution qui dresse une liste limitative des matières réservées au législateur. Par ailleurs il existe plusieurs catégories de loi (on mettra à part ici les lois constitutionnelles qui, par définition ont valeur constitutionnelle). Ainsi on trouve d'un côté les lois ordinaires

paix avec la personne qui nous a offensé est quelque chose de très conforme à l’état d’esprit chrétien et donc de Clovis. Une fois le clan de la victime indemnisé, le conflit s’arrête et la paix est rétabli. La loi va être enrichie par différents monarques Mérovingiens et Carolingiens jusqu’en 721. Sa matière pénale est développée et les aspects les plus archaïques sont délaissés : la distinction entre francs et Romains est abandonnée. À partir des Carolingien, la loi est modifiée par capitulaires

certains égards, le monarque; à certains autres, il est le sujet. Il ne peut être monarque que par ses suffrages qui sont ses volontés. La volonté du souverain est le souverain lui-même. Les lois qui établissent le droit de suffrage sont donc fondamentales dans ce gouvernement. En effet, il est aussi important d'y régler comment, par qui, à qui, sur quoi, les suffrages doivent être donnés, qu'il l'est dans une monarchie de savoir quel est le monarque, et de quelle manière

institutions et leurs lois. Ces unions étaient nombreuses autrefois en raison des mariages. Ce qui s’en rapproche le plus actuellement c’est le Common Welth qui relie la Grande Bretagne à 49 Etats. Certains de ces Etats reconnaissent la reine d’Angleterre comme chef du Common Welth, et aussi comme chef de leur propre Etat. Il en va ainsi du Canada, l’Australie, la Nouvelle Zélande. Elles ont toutes un caractère symbolique, la reine ne dispose pas d’un pouvoir spécifique dans tous ces pays, exemple

occupé par les Anglais, il reste le dauphin, le roi manifestement schizophrène (fou), la reine Isabeau profite pour gouverner, et c’est a ce moment la qu’un traité, traité de Troie, qui va rendre le roi d’Angleterre héritier de la couronne de France, qui par conséquent adopte Henri IV d’Angleterre le marie de sa fille, et en conséquence livre la France a l’Angleterre, et la réaction des juristes, des théologiens est une contestation par rapport a cet loi. Et en parallèle émane l’idée de la reconquête

succession de tentatives jusqu’au régime de 70. Le premier modèle : c’est le modèle américain du régime présidentiel, avec séparation au régime des pouvoirs. Le deuxième modèle : c’est le modèle anglais de monarchie parlementaire, le pouvoir du monarque est limité par le gouvernement. La séparation des pouvoirs : souple ou rigide C’est éviter la séparation des pouvoirs entre les mains des différents acteurs, elle se réfère entre les rapports des pouvoirs exécutif et législatif : la dépendance

monarchique s’est doté d’un certain nombre d’institutions propres à consolider et à augmenter ses domaines d’intervention. Le roi doit cependant veiller à ce que ces institutions, se perfectionnant, ne s’érigent pas en contre pouvoir. En effet, les monarques absolus ont exprimé une véritable méfiance à l’égard de ces créatures institutionnelles. Paradoxe du Docteur Frankenstein ? => Quand le monstre est trop puissant, possibilité de se retourner contre son créateur : image du roi qui crée des institutions

radicalisé, on fait appel à la seconde branche des bourbons qui n’était pas en principe destinée à régner : c’est le peuple qui cherche son roi. Le roi n’est pas le roi de la France mais le roi des français. On a donc un monarque, qui garde la légitimité monarchique, mais il reste un monarque faible. Charles X veut équilibrer les pouvoirs entre la monarchie et le peuple : c’est le thème du parlementarisme (le but d’un régime parlementaire et d’équilibrer les pouvoirs). Louis-Philippe : « Nous chercherons

territoire français, c'est-à-dire qu’ils pourront avoir une seigneurie en France et une seigneurie en Angleterre. Donc conflits entre le roi de France et les Normands d’où notamment la guerre de cent ans, c'est-à-dire que pendant cette guerre le roi d’Angleterre pourrait prétendre à la succession par les femmes au trône de France. Les français réagissent par la loi salique en premier temps. La France va déclencher la guerre contre l’Angleterre. Il y aura toute une série de malheurs pour la France ce n’est