Liste des souverains de Castille

Rome a défini les caractères de l’Etat. Rome a aussi défini les caractères de l’Etat et constitue des apports supplémentaires qui vont s’inscrire dans l’héritage politique romain : la souveraineté étatique a un fondement populaire : c’est le peuple souverain qui se dote de la forme de gouvernement de son choix ; l’Etat est investi de la suprême puissance, soit la puissance absolue de commandement (à partir du 15ème, L’Etat a la souveraineté, l’imperium, la puissance de commandement de l’Etat). L’autre

historiques[modifier] Bien que Samarcande soit un avant tout roman, il fait intervenir de nombreux personnages historiques. Cette section liste les articles relatifs à ces derniers. * Omar Khayyam * Nizam al-Mulk * Toghrul-Beg * Alp Arslan * Malik Shah Ier * Hassan ibn al-Sabbah * Henri Rochefort * Nasseredin Shah et d'autres souverains de la dynastie kadjar * Djemâl ad-Dîn al-Afghâni (appelé Djamaleddine dans le roman) * Mirza Reza Kermani * Howard Baskerville

de la royauté mais aussi la nature du roi lui-même. - Le sacre change la nature du roi : le roi sacré devient l’Elu de Dieu. Celui qui est choisit par Dieu. A partir de cette date et jusqu’à la révolution voir l’exécution de Louis 16, le souverain s’intitule « roi par la grâce de Dieu » Rex dei gracia. Lors du sacre, le roi était censé subir une sorte de métamorphose, qui lui conférait un statut intermédiaire entre les laïcs et les ecclésiastiques. Selon certaine formule il était l’évêque

au sud du monde connu. Ils arrivent en Chine et fondent des comptoirs par ci par là. Avec les commerçants portos, ce sont aussi les missionnaires qui les accompagnent. Ils jouent un rôle important car c'est eux qui découvrent le moyen orient. La Castille confie à Christophe Colomb de trouver un passage directement à l'Ouest. En 1492, C.C. Découvre l'Amérique. Cette découverte des nouveaux mondes est exclusivement du fait des Ports/Espagnols. Les tentatives de Français/Anglais sont assez faibles.

insister plus ou moins sur tel ou tel aspect des thèmes proposés. NB : Les mots clefs apparaissent en caractères italiques dans les commentaires des programmes. Le choix a été fait de les présenter de façon contextualisée, plutôt que d’en fournir une liste. Les thèmes suivants sont étudiés : 1 - Un exemple de citoyenneté dans l’Antiquité : le citoyen à Athènes au Ve siècle avant J.-C. – un exemple de citoyenneté dans l’Antiquité : le citoyen à Athènes au Ve siècle avant J.-C. ; – une approche de la

législatif. Les lois du pape sont appelées des décrétales pontificales. La présence d’une hiérarchie ecclésiastique est également à noter : les évêques représentent le rouage fondamental de la hiérarchie. Chaque évêque dirige un diocèse ou il est souverain. Il existe aussi un clergé inférieur. 2) Eglise et droit Le droit de l’église servira aussi de modèle. Il se fera dés le 1er siècle. Il apparait comme une œuvre de synthèse entre les règles juridiques contenues dans l’ancien testament et tout

de Gaule: 32 diocèses, donc 32 évêques. Le roi va tous les réunir en 511 au Concile d'Orléans, pour y régler les problèmes de foi (l'arianisme est condamné dans son royaume). Il réunit l'Eglise de Gaule et se place à sa tête. Il devient ainsi le souverain protecteur de l'Eglise de Gaule, ce qui lui permet d'avoir un contrôle aussi sur l'Eglise. Clovis est le premier à construire un pouvoir politique uniforme qui réussit à rassembler et lier le roi et son Eglise ainsi que d'unifier son peuple. §2

Persique. C’est dans ces régions sud-arabiques qu’on a pu situer des Etats tels que ceux de Ma’in, Saba, Qataban, Hadramaout (2). Le royaume de Saba, le mieux connu, fut célèbre non seulement par ses richesses, mais aussi par le barrage que l’un de ses souverains fit construire à Ma’rib. Des fouilles récentes ont permis de découvrir les vestiges de palais monumentaux, des statues et aussi des textes épigraphiques. Les Sud-Arabiques, habitants de ce que l’on a appelé « l’Arabie heureuse », n’étaient peut-être

la population recueillir les doléances de la population et peuvent sanctionner les excès des agents locaux et font un rapport au roi. Pendant le règne de Charlemagne, cela fonctionne bien car les agents sont fidèles au roi qui est autoritaire et souverain. Puis les successeurs de Charlemagne auront du mal à contrôler les Missi Dominici car ces agents sont plus intéressés par les avantages de leur fonction et les missions vont se relâcher; cette institution s'essouffle. La solution à cela est la vassalité

un rôle en Afrique, Martin de Vargas, le dernier gouverneur du Pégnon, ne nous est connu que par sa défense héroïque de cette place et par la mort cruelle qu’il subit à Alger pour avoir constamment refusé d’embrasser l’islamisme. Il ouvre la longue liste des martyrs chrétiens qui devaient souffrir ici pour leur foi sous là domination turque. MM. Sander Rang et Denis disent, dans leurs notes de la Fondation de la Régence d’Alger, qu’il était gouverneur du Pégnon depuis l’origine de cette forteresse