Liste des souverains de Castille

plusieurs royaumes avec tous les fils du roi, plusieurs entités. Jusqu’en 885, quand l’empereur Charles le Gros recueil par héritage tous les royaumes de Charlemagne. Du mal à gérer cet empire. Il est le dernier empereur carolingien et le dernier souverain à avoir régné sur l’ancien royaume des francs. Les siècles qui suivent X et XI, à côté de l’âge d’or, absence d’un roi fort qui unifie et qui permet la paix. Entre deux. Mauvaise période, d’anarchie, âges de fer, ou d’obscur. Pas de roi fort capable

bénédictine. C’est dans sa fondation mosellane qu’il sera inhumé en 739 et fera ultérieurement figure de saint national. Echternach connut un développement extraordinaire et continuera, après la mort de son fondateur, à jouir de la protection des souverains. Son rayonnement spirituel et artistique en fera une des plus puissantes institutions monastiques en Occident. De ses écoles monacales sortiront des manuscrits, textes saints enluminés, dispersés progressivement à partir du xviiie siècle. On estime

a défini les caractères de l’Etat. Rome a aussi défini les caractères de l’Etat et constitue des apports supplémentaires qui vont s’inscrire dans l’héritage politique romain : la souveraineté étatique a un fondement populaire : c’est le peuple souverain qui se dote de la forme de gouvernement de son choix ; l’Etat est investi de la suprême puissance, soit la puissance absolue de commandement (à partir du 15ème, L’Etat a la souveraineté, l’imperium, la puissance de commandement de l’Etat). L’autre

sont les causes de la Révolution Française ? L’Etat a trois éléments : * Un territoire d’exclusivité (= territorialité du droit) ; * Un peuple (= un collectif humain qui est en voie d’organisation) ; * Une autorité supérieure souveraine (souverain = indépendant de toute autre autorité). Et trois fonctions : * Faire/Créer le droit (le droit est d’essence étatique) ; * Dire le droit (= juger) ; * Administrer la chose publique. Chapitre 1 : L’environnement des institutions

liberté. A défaut ce n'est pas la liberté. Le sujet est le seul à pouvoir définir le contenu de sa liberté. Les limites de la liberté ne sont pas déterminées par le sujet de ce droit. Il n'est pas libre de l'étendu de sa liberté car il n'est pas souverain. §1 : Les notions de « liberté fondamentales » et de « liberté » Notion qui fait le plus difficulté. Contexte culturelle contemporain caractérisé par 2 traits : – Le subjectivisme ou hyper subjectivisme qui voudrait nous faire maitre de

En conséquence, on assiste à un fractionnement de l'Europe chrétienne. Au XVIème siècle, l’État moderne est caractérisé par des frontières délimitées où vit un peuple soumis à un pouvoir politique qui est institutionnalisé, incarné par un Roi souverain. L’État est composé d'un territoire, d'un peuple ainsi que d'un gouvernement. Avec l'apparition de l’État moderne, on retrouve la tradition de la cité grecque d'où l'apparition du droit constitutionnel résultat de conflits et de réflexion politique

responsable devant Dieu, et non devant un groupement humain. Ce qui est subtile, c’est que le Roi n’est pas Dieu mais il devient le représentant de Dieu par son onction qu’il reçoit : le sacre. Lors du sacre le Roi se voit rappeler des devoirs de souverain vis-à-vis de son peuple et de sa religion. Le Roi n’est pas tout puissant, il doit écouter les prophètes et doit agir selon la volonté de Dieu qui est la source du droit, de toutes autorités. Le sacre subsiste et en France il prendra fin sous la

l’habitude d’annoncer dans l’édit qu’ils prenaient chaque année au moment de leur entrée en fonction les innovations qu’ils comptaient introduire dans le droit. L’édit du préteur comporte donc la liste des actions que ce magistrat s’engageait à délivrer aux plaideurs qui lui en feraient la demande. Bien sûr cette liste n’était pas bouleversée chaque année : chaque préteur reprenait les actions introduites par ses prédécesseurs en y ajoutant simplement quelques innovations, le plus souvent à l’instigation

droit divin en Mésopotamie. La Mésopotamie se situe au proche Orient (Irak actuel), c'est la civilisation la plus ancienne. On y trouve, un premier roi : URUKANIGA. Il va ordonner la rédaction du premier code, qui rassemble diverses lois. Plusieurs souverains en Mésopotamie ordonnent la codification du Droit. La tentative la plus célèbre est celle du roi de Babylone HAMMOURABI rédigée vers 1750 avant notre ère. Ce droit contenu dans ces codes est un droit divin. Les règles de droit ont été données

mariage, la théorie de la personnalité juridique, la moralisation du droit des obligations, l’état civil, la réglementation et l’interdiction de l’usure… Le droit ne s’identifie pas encore avec les ordres d’un souverain si bien que le droit est établi indépendamment des lois d’un souverain à partir des coutumes, de la pratique inspirée des coutumes et de l’école de pensée. Ce qui est alors progressivement recherché c’est une solution juste aux problèmes posés en prenant en considération les problèmes