Liste rouge

Poèmes de Rimbaud Le dormeur du val C'est un trou de verdure où chante une rivière, Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade

La pauvreté Rutebeuf Je ne sais par où je commence, Tant ai de matière abondance Pour parler de ma pauvreté. Par Dieu vous prie, franc roi de France, Que me donniez quelque chevance, Ainsi ferez grand'charité. J'ai vécu d'argent emprunté Que l'on m'a en crédit prêté; Or ne trouve plus de créance, On me sait pauvre et endetté Mais vous hors du royaume étiez, Où toute avais mon attendance Grand roi, s'il advient qu'à vous faille, (A tous ai-je failli sans faille) Vivre me faut et suis

supplémentaire en faveur d’une déficience des cônes. Q U E S T I O N 2 ( S V T ) m 1. La rétine d’un dichromate de type P ne possède que deux types de cônes, les cônes sensibles aux « lumières verte et bleue ». Les cônes sensibles à la « lumière rouge » sont absents. Dans celle d’un trichromate de type P, ils sont présents mais la structure de leur pigment est anormale, ce qui doit provoquer leur incapacité à absorber les longueurs d’onde dites « rouges ». Bien que d’origine différente, ces deux

tout le catalogue. Ce catalogue est disponible dans le publipostage. En dessous du bon de commande, il ya le mode de paiement. L’entreprise donne ici le choix au client et le fait parler « Je choisis mon mode de paiement » écrit en blanc sur fond rouge. Le client a ici un sentiment de pouvoir, c’est lui qui décide ce qui le met en confiance. 2 modes sont possibles, soit le client paye une fois la commande reçu, il s’agit du paiement confiance. Ainsi atlas for men montrent la confiance qu’ils ont

2) L’atelier rouge d’Henri Matisse L’atelier rouge est une œuvre d’Henri Matisse réalisé en 1911. A première vue, dans "L'Atelier Rouge" la présence abondante du rouge attrape l'œil du spectateur et semble engloutir toute la pièce. On peut déduire que l'artiste tente de reproduire son propre atelier, par la présence d'une multitude de ses propres œuvres accrochées ou posées dans la pièce. Les meubles sont tous rouges, le sol également. Chaque tableau contient sa part de rouge. Certains tableaux

 Explications Clément BOSSAERT L3 Management Travail sur une image de Zinedine Zidane en noir et blanc abimée ; retouche, rectification et mise en couleur de l’image 1. Dans un premier temps, j’ai éclaircie les parties les plus sombres de l’image avec le pinceau, une couleur blanche et une opacité de 20. 2. Puis j’ai sélectionné les différentes parties de l’image grâce à la baguette magique, le lasso ou encore le lasso magnétique. Puis pour chaque image, j’ai créé un calque de réglages

tourmentée. On voit deux ombres qui s'éloignent au loin, qui semblent abandonner le personnage principal – qui est enfaite le peintre lui-même -. Enfin, on distingue en arrière plan des montagnes d’un bleu sombre qui se détachent, par contraste, du rouge ardent du ciel. Ce qui est intéressant à remarquer dans cette œuvre est sans doute l’attitude du personnage central qui est tourné vers le spectateur, si bien que celui-ci se sent impliqué, comme si le cri qui s’échappait de cette bouche lui était

plus claires comme le jaune, rouge et bleu clair, sûrement pour attirer l'attention du spectateur. Ce personnage porte un uniforme de policier dans les teintes bleues marines. Il porte un badge jaune avec une étoile comme celui d'un shérif, pour rappeler qu'il fait régner l'ordre mais d'une façon ironique. Sur l'uniforme il y a des gribouillages blancs, rouges et bleu clair. Autour du personnage il y a pleins de traits qui vont dans tous les sens. Un trait bleu/rouge fait le contour de la silhouette

hasard l'âpre semence   De leur labeur que l'heure emporte.   Et les comptoirs mornes et noirs   Et les bureaux louches et faux   Et les banques battent des portes   Aux coups de vent de leur démence.  Dehors, une lumière ouatée,   Trouble et rouge, comme un haillon qui brûle,   De réverbère en réverbère se recule.   La vie, avec des flots d'alcool est fermentée.  Les bars ouvrent sur les trottoirs   Leurs tabernacles de miroirs   Où se mirent l'ivresse et la bataille;   Une aveugle s'appuie

en douce au voleur. Il vous dit de ne pas bouger pendant 30 secondes et sortie du magasin. Vous vous retournez tout de suite, prenez votre arme et vous le poursuivez. Vous ne pouvez le voir que de dos. Il était vêtu d’un manteau noir, une casquette rouge et de chaussure blanche. Vous criez « Au voleur » en le désignant et vous vous mettez à courir de plus belle. Il se dirige vers le parc d’enfant d’à coté. Vous le voyez qu’il entre dans les toilettes publiques. Il est fait car c’est une vois sans issue