Lit majeur

puis transition (pont) dans la tonalité de la dominante (dans le cas d'une tonalité principale majeure ex : do majeur - sol majeur) ou du majeur relatif (dans le cas d'une tonalité principale mineure ex : ut mineur - mi bémol majeur); Thème B, dans la tonalité de la dominante, et qui comprend trois phrases (b, b’, b’’) ; Cadence conclusive dans la tonalité de la dominante ou du majeur relatif. Le développement Comme son nom l'indique, il s'agit d'un travail d'écriture inspiré des thèmes

Chapitre 1 : Généralités 1 Risque et risque naturel majeur 1 Définition du risque Un risque est la confrontation d'un aléa avec des enjeux vulnérables. On appelle aléa la possibilité de l'apparition d'un phénomène ou d'un événement résultant de facteurs ou de processus qui échappent, au moins en partie, à l'homme, et enjeux (ou vulnérabilités) : les personnes, biens, équipements, et/ou environnement susceptibles de subir les conséquences de l'événement ou du phénomène. Par exemple

la beauté. Comparé à l'opinion de Socrate et de Hippias, pour moi, la beauté est quelque chose que personne peut définir pour quelqu'un d'autre, car elle dépend toujours de la façon dont chaque personne perçoit les choses. Après avoir lu Hippias Majeur, je trouve que ce livre donne beaucoup de définitions pertinentes à prendre en considération. La façon dont ils définissent la beauté est assez spéciale. Pour se qui à rapport avec ma définition, je trouve que ses trois approches sont essentiel et

Justes → MiM 4# Do#m SiM 5# Sol#m Fa#M 6# Ré#m Do#M 7# La#m MibM 3b Dom LaM 3# Fa# m Ordre des gammes mineures (sus-dominantes) → 1 tierce mineure + bas (-1,5 ton) (1 altération vers les b) ← TONS VOISINS → (1 altération vers les #) Majeurs et Mineurs Degrés et Intervalles de la gamme MAJEURE 5 tons+ 2 demi- tons diatoniques 4tons + 2 demi-tons diatoniques 3tons + 2 demi-tons diatoniques 8ve Juste Note TONALE 7ème min. 3,5 tons 2,5 tons 1,5 ton ½ ton diat. 6te

Cette écriture ne devait absolument pas être lue. L’écriture c’est la manière dont on écrit un texte, la matière qui le constitue. Le texte est fait de mots qui vont être perçus selon l’identité qu’on va leur donner, c’est l’écriture. L’écriture ne peut pas être lue si on détourne le texte jusqu’à ce que le sens qu’on donnera aux mots soit incompréhensible tout en pouvant lire le texte. Si il est écrit à la fin d’un texte « cette écriture ne devait absolument pas être lue » c’est qu’il a été lu

il tous les espaces littoraux ? 3. Parmi les propositions suivantes, choisir la problématique la plus adaptée au sujet :  Bien maîtriser la notion de risques majeurs.  La problématique doit permettre de traiter l'ensemble du sujet et donc de mettre en relation les sociétés vivant dans les espaces littoraux et les risques majeurs. A. En quoi les espaces littoraux représentent ils des espaces à risques ? B. Quels sont les risques spécifiques affectant les espaces littoraux et comment les

LES RISQUES MAJEURS Définition : Le risque industriel majeur est un événement accidentel se produisant sur un site industriel et entraînant des conséquences immédiates graves pour le personnel, les riverains, les biens et l'environnement. Les sources de risques : - l'incendie par inflammation d'un produit au contact d'un autre, d'une flamme ou d'un point chaud, avec risque de brûlures et d'asphyxie - l'explosion par mélange entre certains produits, libération brutale de gaz avec risque de

pas une info comme une autre) : Pour calculer le coefficient de risque à appliquer au TOTAL DES POINTS précédents, on reprend les notes sur 7 (CRI° et sur 5 (acheteur public) : > Exemple si on avait 7 et 5, les notes maximum (absence de risque majeur) : 7/7 = 1 et 5/5 = 1 aussi > > Moyenne = 1 + 1 / 2 = 1 > > Le coefficient de risque de 1, multiplié par le TOTAL DES POINTS conserve le même nombre de points. > > Exe 2 : Avec des notes de 1/7 et 1/5 (=> très risqué)

OBJET D’ETUDE : la question de l’Homme dans les genres de l’argumentation, du XVIème siècle à nos jours Du XVIII AU XIXème siècles : LA RELATIVITE DU BEAU TEXTE 1 : Une définition du beau Conçu comme une arme efficace pour le combat des Lumières, Le Dictionnaire philosophique, sorte de version portative de L’Encyclopédie, parut à partir de 1764. Au début, il ne contenait qu’un nombre restreint d’entrées qui n’ont cessé d’augmenter au cours des éditions successives. Voici un extrait

I) 1) Le texte 1 est un texte explicatif, car l’énonciateur est neutre il ne donne pas son opignon. Le texte est rédigé à la 3ème personne du singulier (L.5 « s’est constituée »), des chiffres sont cités (L.3 «  3229 kilomètres »). L’émetteur s’efforce d’expliquer objectivement l’étape et le texte est un article de presse Le texte 2 est un texte argumentatif, Patrick Mignon donne son opignon sur les sports et les valeurs des sociétés démocratiques. Il explique ce qu’il pense tout en