Litterature Denonciatrice

indirecte aux êtres et aux choses. Le souvenir motive la fascination pour le prénom et réunit la femme réelle et la reine de Judée (alias Bérénice). Sorte de thème musical sur la beauté obsédante du vers. pensée « errante » dans le temps qui par la littérature médite sur l’Histoire : tranchées. Ratage de l’histoire d’amour qui est une absence au monde. Pensée « hantée » : importance de la mémoire qui erre elle aussi dans divers espaces en les mêlant : espace temporel de la guerre, espace fictif de Césarée

Le fantastique est un genre littéraire fondé sur la fiction, racontant l’intrusion du surnaturel dans un cadre réaliste, dans un contexte connu du lecteur. Pour Todorov, théoricien de la littérature, le genre fantastique existe. Il explique que ce genre repose sur la définition suivante : « Le fantastique, c'est l'hésitation éprouvée par un être qui ne connaît que les lois naturelles, face à un événement en apparence surnaturel ». Le lecteur est balancé entre une interprétation rationnelle et

Fiche méthodologique : Technique du commentaire de texte Le commentaire ''présente de façon organisée ce que l'élève a retenu de sa lecture'' et doit également justifier l'interprétation proposée. Il s'agit donc de présenter une étude de texte qui soit suffisamment approfondie et argumentée, et ce, suivant un plan qui aura été élaboré à partir d'une observation péalable du texte. Chaque texte à commenter requiert un plan original, qui lui soit spécifiquement adapté. Préparer le commentaire

d’échapper à ce qui représente pour lui le plus redoutable péril : l’indifférence. Louis Ulbach, qui fait paraître dans Le Figaro du 23 janvier 1868, sous le titre de « La lecture putride », un article violent contre les nouvelles tendances en littérature, dont Thérèse Raquin serait une manifestation. Il qualifie Thérèse Raquin comme « une flaque de boue et de sang » et « le résidu de toutes les horreurs ». On traite aussi l'auteur de Thérèse Raquin d'un « misérable hystérique qui se plaît à étaler

La symphonie pastorale Auteur André Gide André Gide est né en 1869 et il est mort en 1951. Il habitait à Paris. Son père est mort en 1880, quand André avait seulement onze ans. Il est éduqué par sa mère et sa tante. Son premier livre de poésie est de 1892 et il s’appelait "Les poésies d’André Walter". Plus tard dans sa vie il a découvri qu’il est un homosexuel, mais malgré cela il s’est marié avec sa cousine en 1896. Dans les années suivantes il a publié beaucoup de livres, comme "Les

Questions de connaissances : - Convaincre c'est faire adhérer qqn à sa thèse par un raisonnement ou des preuves. - Persuader c'est faire adhérer qqn à sa thèse en ayant recours aux sentiments du locuteur. -Délibérer, c’est débattre de deux opinions différentes en vue de prendre une décision. - Apologue : du grec "apologos"= récit détaillé. un récit bref, sous forme allégorique. l'apologue contient un enseignement moral et a une portée didactique. Le récit a un double sens avec une argumentation

attribués pour la première fois un prix d’éloquence et un prix de poésie.  Les membres de l’Académie (Montesquieu, Marivaux, Voltaire, d’Alembert, Chateaubriand, Lamartine, Hugo, Vigny, Musset, Nodier, etc.) continuent à honorer et à illustrer la littérature française.      Jésuites et jansénisme Les jésuites et les jansénistes sont des congrégations qui appartiennent au catholicisme.(des branches du catholicisme). Il s’agit de deux interprétations radicalement opposées du catholicisme.   I. JESUITES

prouve dans cet extrait qu’il est cultivé. Il nous fait part du fruit de ses recherches à travers le roman. Bibliographie : Honoré De Balzac, Eugénie Grandet, Le Livre de Poche, 1972, 291 p G. Legros, M. Monballin, I. Streel, Grands courants de littérature française, averbode, 64p

PROPOSITION DE CORRIGE du COMMENTAIRE COMPOSE Extrait n°5. Chapitre 18 : « Ce qu’ils virent dans le pays d’Eldorado » (l.81 à 114) Voltaire n’a jamais reconnu la paternité littéraire de Candide ou l’optimisme, publié en 1759. C’est pourtant, notamment, par ce conte philosophique atypique et rocambolesque que les idées de cette grande figure des Lumières nous sont les mieux parvenues. L’extrait proposé nous décrit la visite de Candide et de son valet Cacambo du pays d’Eldorado. L’auteur y

pourrait qualifier de burlesque, rejette de façon claire les conventions propres aux genres littéraires et s’oppose donc, de par sa forme, à celui de L’Assommoir qui lui appartient à un genre et un registre qui s’inscrivent bien dans les diktats de la littérature de l’époque.