Littérature engagée

L’incidence de la caractérisation dans l’Ecume des jours III.1. La caractérisation : vecteur de la description Du latin descriptio, la description est la présentation détaillée de lieux, de personnages ou d’événements dans un récit. En littérature, la description constitue une pause dans le récit, où elle peut former un ensemble autonome, bien que le plus souvent elle prenne place dans la narration et va même jusqu'à la suspendre pour ce qui est de l’Ecume des jours. Cependant cette description

met à mal nos distinctions structurales : le journalisme français, au XIXe siècle, est littéraire au sens large ; il ne renvoie ni à l’idée que nous nous faisons aujourd’hui de l’information, aseptique, neutre et généraliste, ni à celle de la Littérature comme pratique souveraine, édifiée en marge des discours sociaux de référence et des médias. Zola a appréhendé avec lucidité le règne du journal, dont il répudie d’emblée, en son sein, la tendance boulevardière divertissante, cet esprit parisien

« Notre métier ») dans laquelle il publiera pendant plus de vingt ans notamment les chroniques des « voyages du professeur Lorgnon ». C’est en 1953, que parait son premier roman « Je fus un saint », initiant une œuvre littéraire truculente et engagée où le réalisme, la précision de l’observation sont vivifiés par un humour plein de verve, mordant et « bien envoyé » inspiré d’Alphonse Allais, Courteline, Pierre Dac ou Sacha Guitry comme de ses racines bourguignonnes. Chantre de la Bourgogne

héritage, mais prône l’imitation des poètes antiques et des poètes italiens, auxquels ils empruntent les formes (odes, sonnets…) et les thèmes par ex PETRARQUE ; ils défendent la langue française en la valorisant par l’écriture poétique - la poésie engagée : face aux guerres de religion (fin XVI°), les poètes défendent les Catholiques (RONSARD) ou les Protestants (D’AUBIGNE), et développent la satire. Poésie de Cour, raffinée, plus littéraire. L’école lyonnaise célèbre - thèmes : l’Amour sous une

questions que l’on est en droit de se poser concernant la critique littéraire. Faut-il considérer la critique littéraire comme un genre à part entière ? Ou plutôt comme un métadiscours (discours éclairant sur la littérature) ? La critique littéraire est-elle indispensable à la littérature parce qu’elle éclaire et informe ou au contraire est nuisible parce qu’elle la rendrait hyper théorique. Le critique doit-il être considéré comme un créateur ou comme un écrivain raté ? I. Typologies générales

lendemain il eu a honte, il trouve que la littérature ressemble fort à une manière d'affectation spéciale. Auprès des bourgeois qui le lisent, il a conscience de sa dignité; mais en face des ouvriers, qui ne le lisent pas, il souffre d'un complexe d'infériorité, comme on l'a vu en 1936, à la Maison de la Culture. C'est certainement ce complexe qui est à l'origine de ce que Paulhan nomme terrorisme, c'est lui qui con-duisit les surréalistes à mépriser la littérature dont ils vivaient. Après l'autre guerre

Auteurs français de Belgique Exemples de questions d’examen Femme de Gilles = roman populiste ? Etat de la littérature belge dans l’entre deux guerres ? Introduction Paradoxe Il est étonnant que nous n’ayons pas encore eu de cours sur la littérature belge, alors que dans d’autres pays, les étudiants ont des cours de littérature nationale. Avant 1980, il n’y avait pas de littérature belge en livre de poche, sauf quelques uns, rares, dans des éditions françaises. Pas d’accès facile sans avoir

avec le recul du récit spéculatif, on assiste à une perte de légitimité de cette théorie littéraire objective qui est celle d’un métalangage universel. Les certitudes qu’avaient les théoriciens de la littérature des années soixante sont entrain de disparaitre de l’horizon de la recherche en littérature. Il faut agir sans une quelconque certitude, comme l’écrit Jean-François LYOTARD « le principe d’un métalangage universel est remplacé par celui de la pluralité des systèmes formels et axiomatiques

héritage, mais prône l’imitation des poètes antiques et des poètes italiens, auxquels ils empruntent les formes (odes, sonnets…) et les thèmes par ex PETRARQUE ; ils défendent la langue française en la valorisant par l’écriture poétique - la poésie engagée : face aux guerres de religion (fin XVI°), les poètes défendent les Catholiques (RONSARD) ou les Protestants (D’AUBIGNE), et développent la satire. LE BAROQUE : reflète l’évolution des mentalités et des mœurs suite aux guerres de religion ; la créativité

Nouvel âge littéraire. Ce manifeste, qui paraît en 1930, commence par contester les initiatives du « populisme », courant initié par André Thérive et Léon Lemonnier qui « revendiquent le droit de parler des petites gens, de les introduire dans la littérature où jusqu’alors ils font trop figure de parents pauvres. » Poulaille ne leur conteste pas ce droit mais pour lui, « l’écrivain qui "fait dans le peuple" n’a pas le droit de déclarer "je suis peuple" pour cette raison. Ce serait trop facile. C’est