Littérature française du XVIIe siècle

Blaise PASCAL, Pensées « Divertissement », frag. 169, 1670 Introduction (Présenter l'auteur, le siècle (Mettre en relation le contexte de l’œuvre et la vie de l’auteur (Présenter le texte et le situer dans l’œuvre. ( Lire le texte ( Rappeler la question sous une autre forme ( Annoncer clairement les axes, ici : I – Un texte argumenté II – L’analyse de Pascal a) La réflexion de Pascal b) Une analyse de la

Au XVIIe siècle, une œuvre est dite « classique » lorsqu'elle est à la fois vraisemblable, bienséante et qu'elle respecte la règle des trois unités, à savoir l'unité d'action, de temps et de lieu. L'unité de temps Dans Médée, cette règle est respectée. Créon accorde en effet un jour à Médée, durant lequel elle doit quitter la ville pendant que le mariage de Jason et Créuse est prononcé : « De grâce ma bonté te donne un jour entier » (II, 2, v.504). Nous voyons ainsi que l'intrigue théâtrale est

raffinement dans tous les domaines : le langage, les manières, l'habillement, la décoration intérieure, l'expression des sentiments ( et de l'amour en particulier), l'art (peinture, musique, danse, et, bien sûr, littérature). | La préciosité s'est développée et épanouie au XVIIe siècle dans les salons de la noblesse et de la haute bourgeoisie parisiennes. | Mais bien vite, la préciosité devient un maniérisme ridicule. Tombant dans l'excès, cette affectation a été tournée en dérision par

Le personnage de roman du 17 me siècle a nos jours 1)personnage et genre romanesque: le personnage de roman diffère du héros mythique en ce que son destin n'est pas tracé , ce dernier dépendra de la manière dont le personnage fera face aux événements auxquels il sera confronté. A) au XVII e siècle: le roman précieux: le roman précieux est une œuvre d'imagination mettant en scène des personnages idéalisés qui évoluent dans un univers artificiel et conventionnel reflétant les manières

1. Lecture de l’épître de Corneille  A quoi les règles dramatiques sont-elles destinées d’après Corneille ? Comme l’ensemble des auteurs du XVIIe siècle, face aux théoriciens pointilleux, Corneille défend la prééminence du plaisir du spectateur sur toute autre considération. D’ailleurs, les propos de Corneille l. 7 à 11 sont très proches de ceux de Racine dans la préface de Bérénice : « La principale règle est de plaire et de toucher : toutes les autres ne sont faites que pour parvenir à

Le texte est un extrait du poème l’art poétique de Nicolas Boileau .Auteur classique du 17eme siècle .ce poème définit le classicisme Le poème se compose intégralement de 1100 vers On retrouve dans ce poème propose une définition du classicisme autant par sa forme que part son contenu .Les 32 vers de cette extraits sont des alexandrins, vers nobles. Chacun est découpé en deux hémistiches de chacune six syllabes, cette régularité permet de donner du rythme « une juste cadence » v2 aux poèmes

 La Princesse de Clèves, Madame de La Fayette (1678) Mouvement littéraire XVII° siècle classicisme. Molière, Corneille, Racine auteurs des pièces de théâtre. (Baroque perle qui a un défaut). Période où les sentiments sont ordonnés. Valeurs de l'honnête homme, retour vers l'Antiquité, retour au héros antique, « l'ordre ». Madame de La Fayette est une des rares écrivaines de la littérature française. Cet extrait est le premier portrait du personnage principal. Sensations/ Observations

François Tristan dit Tristan l'Hermitte George de Scudéry Antoine Godeau Isaac de Benserade Gilles Ménage... Les influences: La préciosité se répand dans tous les cercles mondains et reste un courant très vivace dans la seconde moitié du siècle. En France, la préciosité précède le classicisme mais contribue aussi à le faire naître. Son influence est généralement bénéfique: les moeurs, les bienséances, le goût, la langue ou les sentiments. Les grands classiques de l'epoque sont

Jean de la Fontaine Jean de La Fontaine est baptisé le 8 juillet 1621 à Château-Thierry. Son acte de baptême est conservé dans sa maison natale , salle XVIIème siècle. Jean de La Fontaine commence ses études au collège de Château-Thierry, avec son condisciple François Maucroix, et les termine à Paris. Il rentre ensuite à l'Oratoire, mais n'étant pas fait pour les études religieuses, il quitte l'Oratoire 18 mois plus tard. Il revient à Château-Thierry... Enthousiasmé par les Odes de Malherbe

Texte 3. Le vol du portrait. Mme la Dauphine demanda à M. de Clèves un petit portrait qu'il avait de sa femme, pour le voir auprès de celui que l'on achevait ; tout le monde dit son sentiment de l'un et de l'autre ; et Mme de Clèves ordonna au peintre de raccommoder quelque chose à la coiffure de celui que l'on venait d'apporter. Le peintre, pour lui obéir, ôta le portrait de la boîte où il était et, après y avoir travaillé, il le remit sur la table