Littérarité Genette

genre littéraire ne fonctionnerait-elle pas d’autant mieux que l’œuvre est de mauvaise qualité Réflexion sur les genres vient de l’antiquité : Platon, Aristote La catégorisation des productions littéraires vient de la philosophie grecque ⇨ Genette, Figure II « Frontières du récit » ⇨ Platon, La République, livre III ⇨ Aristote, La Poétique /=> catégories différentes, conclusions différentes Mimésis => imitation ; Diégésis => diégèse Platon est le premier à théoriser une opposition

intertextuelles entre une partie ou l’autre du texte primaire et d’autres textes. Plusieurs critiques se sont trompés sur ce point, dont le Genette de Palimpsestes (1982), qui nous dit que “les rapports (intertextuels) étudiés par Riffaterre sont toujours de l’ordre des microstructures sémantico-stylistiques à l’échelle de la phrase, du fragment…etc.” (’82:9). Genette reçoit une telle impression apparemment à partir d’une lecture de l’article “La trace de l’intertexte” (Riffaterre 1980c). Il est vrai

SLAMTI SadEléments de critique littéraireSemestre v Université Ibn Zohr2020/ 2021Avertissement L’article intitulé L’ivresse intertextuelle aura comme but de vous amener au lieu de la littérarité chez Baudelaire. Le poète arabe cité comme un intertexte n’est qu’un prétexte pour approcher l’écrire poétique baudelairienne qui est l intertexte sur lequel nous bâtirons notre critique des poèmes proposés à l’étude Avant propos « Qu’on ne me dise pas que j’ai rien

textes littéraires de cette époque, cad à l’épopée, à la tragédie, et à la comédie. Il est aussi l’auteur de la rhétorique. 亚里士多德的著作，一般论述 &Théorie générale de la nature et du destin de la poésie &Théorie de la création littéraire, de la littérarité文学性 Littérarité: caractère d’un texte considéré comme littéraire La distinction entre rhétorique et poétique Qu’est-ce qu’on entend par rhétorique? 修辞是指什么 ? Qu’est-ce qu’on entend par poétique? 诗学是指什么 ? La rhétorique renvoie à la pratique de l’orateur

représenter des objets, des événements ou des êtres et Gérard Genette dit à propos : «  Tout récit comporte en effet, quoique intimement mêlées en proportion très variable d’une part des représentations d’action et d’événements qui constituent la narration proprement dite et d’autre part des représentations d’objets ou de personnages qui sont le fait de ce qu’on nomme aujourd’hui la description »1. Nous devons aussi à Genette une étude intéressante des rapports entre la narration et

ses compatriotes à se libérer. Quant au troisième thème du programme (« L’œuvre littéraire, ses propriétés, sa valeur »), toute œuvre peut être interrogée du point de vue de sa valeur, cela permet de réfléchir, par exemple, à ce qui fonde la littérarité d’un texte, aux critères de goût, à la notion de chef d’œuvre ou mêmes aux valeurs morales ou didactiques dont un texte littéraire peut, ou non, être porteur. Face à cette grande cohérence du programme, il s’agit de mener des lectures plutôt littéraires

suffit-elle à faire basculer un texte du côté de la littérature ? Assurément non. La singularité seule ne suffit pas. Elle doit s’étoffer d’une dimension esthétique. L’usage de la langue doit être suffisamment stylé pour que l’on puisse parler de « littérarité ». Autrement dit, de ce quelqu’un doit jaillir une voix, reconnaissable entre toutes. Plus précisément un chant. C’est ce fameux « grain de la voix7 » dont parle Barthes, lorsque celle-ci est au croisement de la langue et de la musique. Ce chant

Résumé : Il s’agira dans cet article, de voir comment l’écriture qui se traduit par un feuilleté où Histoire et fiction se mêlent puis s’affrontent finit par proposer une écriture autre, un troisième tracé discursif, capable de construire sa propre littérarité et sa propre historicité. Assia Djebar fait de cette troisième piste un discours qui s’oppose à toute idéologie qui nierait le discours féminin. Mots-clés : Réécriture - Histoire au féminin – Intertextualité - Islam des femmes. Abstract : Our main

que la littérature est indéfinissable. La définition de la littérature ne doit pas dépendre du jugement de valeur portée sur elle. Au milieu d’observations très justes et fécondes, l’opposition qu’avance Genette, dans Fiction et Diction (1991), entre une littérarité constitutive et une littérarité conditionnelle, ne tient pas la route et a transformé une confusion entre l’être et la valeur en une fausse évidence. Les Mémoires d’Outre-Tombe sont une œuvre 5 Journée CPGE – Université Paris Ouest

de polémiques. Et cela d’autant plus que ces dernières années le style a fait l’objet de multiples définitions ou tentatives d’objectivation, selon qu’elles proviennent de lieux théoriques aux frontières eux-mêmes mouvantes : sémio- poétique (G. Genette, 1991, J-L. Schaeffer, 1997), sémio-linguistique (J. Fontanille, 1999), sémantique textuelle (F. Rastier, 1994), génétique des textes (A. Herschberg Pierrot, 2005), esthétique (N. Goodman, 1992, B. Vouilloux, 2005), littérature (L. Jenny, 1993, 1997