Littérature Dénonce Horreur Guerre

hggsp dissert livreComment la littérature participe-t-elle à la mémorialisation de la Shoah? “L’oubli serait aussi intolérable que les faits eux-mêmes", cette citation de Ida Grinspan évoque l’importance de la mémoire dans l’histoire de la Shoah. Ici, la mémoire désigne le souvenir d'événements vécus ou racontés par des individus ou des groupes, dont la transmission est subjective, partielle et évolutive. C’est la faculté de se souvenir de traces du passé pour pouvoir s’y référer. Elle est ainsi

La Fontaine comment lf s y prend t il pr critiquer dénoncer le pouvoir politique ? Un recit plaisant qui met en scène des animaux qui vivent selon une hiérarchie précise Récit inspiration antique/tragédie animaux un récit qui a une visée satirique et qui présente les défauts de la monarchie absolue satire dénonciation justice/roi morale Intro : Auteur du 17, lf a su élever la fable, au départ simple récit didactique au rang de littérature en s inspirant comme le préconise les règles du classicisme

expériences aussi bien traumatisantes (comme la Grande Guerre) que heureuses se retrouvent dans leurs œuvres. En effet, le poème dont le rôle peut être, par sa forme engagée : de dénoncer ou, avec la poésie lyrique : de montrer ses sentiments a permis à des artistes de montrer leur vision des choses et d'exprimer leurs avis. Bien qu'ils s'inspirent de leur passé pour créer, on ne peut cependant pas en conclure que le lyrisme touche l'ensemble de la littérature poétique car elle établit un lien avec le monde

l’humanité n’a autant fait pour exalter l’homme, prolonger sa vie et proclamer ses droits, or jamais elle n’a affecté pour l’homme un aussi grand mépris (hier, 38 millions de morts au cours de la guerre de 1939-45, dont 6 millions de député qui ont péri dans les camps nazis ; aujourd’hui menace de la guerre atomique »   S’il est vrai que le monde a toujours été confronté à la lutte de deux forces opposées: le mal et le bien, il n’en demeure pas moins vrai que les forces du mal ont pris un

LA POESIE ANTIQUITE La poésie antique domine toute la littérature. Le rhapsode  est un récitant de poèmes épiques qui accompagne son chant de la lyre ou de la cithare. Il se déplace de ville en ville à travers la Grèce antique. Il se distingue de l’aède  qui est un véritable poète créateur, comme Homère par exemple, qui l’appelle dans L’Odyssée  le «chantre aimé du ciel qui charme les oreilles» (l’archétype en est Orphée) et qui apprend son art directement des Muses. Il a une fonction quasi

Seconde Guerre mondiale. Il passe dès 1945, 8 ans dans un camp de travail pour une correspondance contestataire. En 1956 il enseigne les sciences physiques, mais la publication en 1962, d’une journée d’Ivan Denissovitch lui assure une renommée mondiale. Devenu un symbole de la dissidence, il est chassé par le régime et s’exile en Suisse puis aux États-Unis pour continuer son uvre littéraire. Pour celle-ci, dont la place centrale est laissée au goulag il reçoit le prix Nobel de littérature en 1970

Laissons donc ces productions sans réel intérêt pour revenir à ces joyaux de la littérature et recherchons où le poète trouve les raisons et les moyens de son engagement : le poète, l’artiste ont un devoir de subversion. Le devoir s’enracine dans la responsabilité de tout homme pour ce qui se passe en son temps. L’écrivain, avec sa sensibilité exacerbée, est plus violemment attiré par l’expression politique que ses contemporains. Sa culture le pousse également à éclairer et à diriger l’opinion

lucide mais inquiet sur le monde. Dans les mois ou années qui ont précédé, Voltaire a été horrifié par plusieurs événements : en 1755 le tremblement de terre de Lisbonne a fait plusieurs dizaines de milliers de morts et en 1756, en Europe débute la guerre de Sept ans qui oppose la France alliée à l’Autriche, à l’Angleterre soutenue par la Prusse. De plus la menace permanente de la censure qui s’abat sur lui et sur les œuvres des philosophes éclairés – par exemple sur L’Encyclopédie –, de même que l’exil

gentilhomme, les précieuses ridicules, le malade imaginaire… CORNEILLE : dit le « grand Corneille » ou « Corneille l’aîné » 6 juin 1606-1° octobre 1684 à Paris. Son œuvre se situe entre baroque et classique. Etudie le droit puis se tourne vers la littérature : il écrit des comédies et des tragédies. Il montre des valeurs comme l’honneur, les grandes interrogations sur le pouvoir de l’autre… Ex : le Cid, l’illusion comique. Ses œuvres donnent naissance au mot « Cornélien »= opposition entre 2 points

l’œuvre : c’est un film animé 2-L’artiste Nom et prénom : Isao takahata Date de naissance et décès : 29 octobre 1935 Sa biographie : Isao takahata est né à Ise, au Japon le 29 octobre 1935. Durant ces études il va étudier la littérature française comme les poèmes de Jacques Prévert, mais aussi un travail avec Paul Grimault. En 1959 il rejoint le studio d'animation Tōei Animation et dès 1968, il réalise son premier long métrage : Horus, prince du soleil en collaboration avec Hayao