Littérature Impressionniste

vrai sens et le vrai caractère », « cette brume insensée »). Sans compter que « les ombres » prennent sous la plume de Perec un autre sens : ce sont peut-être les fantômes des disparus. 4. — La typographie Intéressé par la pratique du collage en littérature, Perec utilise à des fins signifiantes les ressources de la typographie : italiques pour le texte de fiction, ainsi présenté comme une longue citation insérée dans le récit ; caractères gras pour les deux textes les plus anciens, sur les parents

du siècle sera un peu romantique. L’expérience de la vie et l’individu vont être des thèmes très importants. Au XVII siècle il y avait la règle, la contrainte, il y avait un modèle pour écrire. Au XVIII siècle, le centre de la culture et la littérature était la raison mais à ce moment est le « moi ». Au XIX siècle l’homme devienne plus complexe: il y a une sorte de questionnement pour l’homme. Il est aussi important la nostalgie de l’homme pour l’unité perdu. Le romantique va écrire pour se

Elle couve cependant son fils d’un amour envahissant et, même à l’arrivée du second, Hervé le « bon à rien », sa tendresse pour Guy ne fait qu’augmenter. De ces deux comportements diamétralement opposés, il gardera une passion immense pour la littérature et un amour des femmes assez particulier. Ces scènes de ménage l’auront marqué jusqu’à voir dans le mariage l’acte le plus absurde qu’il soit, réduit à son stade le plus primaire, « partager les humeurs le jour et les odeurs la nuit », se plaît-il

Littérature La Fille abandonnée et La Bête humaine, éléments de titrologie romanesque Claude Duchet Citer ce document / Cite this document : Duchet Claude. La Fille abandonnée et La Bête humaine, éléments de titrologie romanesque. In: Littérature, n°12, 1973. Littérature. Décembre 1973. pp. 49-73. doi : 10.3406/litt.1973.1989 http://www.persee.fr/doc/litt_0047-4800_1973_num_12_4_1989 Document généré le 25/09/2015 Claude Duchet, Paris VIII. « LA FILLE ABANDONNÉE » ET « LA BÊTE HUMAINE » éléments

cette liberté de création de l’auteur est compromise fortement par l’influence conjuguée et pesante des critiques. L’œuvre peut être conditionnée dans son ensemble par ces critiques, appelés « docteurs », qui essaient d’imposer leur vision de la littérature à l’écrivain par le biais de chantages, de faux-semblants odieux, souvent réducteurs. Pour ce faire, ils bafouent l’étude de l’œuvre, laquelle se trouve soumise à un examen rudimentaire, impropre à appréhender ses nuances, ses finesses. Par des

_____________________ En juin 1879, Tchékhov passa l'«examen de maturité», puis en août partit à Moscou, où il s’inscrivit à la faculté de médecine, car il fut partagé entre elle et l'écriture. Il allait dire : «La médecine est ma femme légitime, la littérature, ma maîtresse. Quand l’une m’ennuie, je vais passer ma nuit avec l’autre.» Il confia en 1889 : «Je ne doute pas que l'étude de la médecine a eu une sérieuse influence sur mon activité littéraire. Cela a considérablement élargi le champ de mes observations

exercices sous forme de tests pour chacune des compétences 1, 4, 5 ainsi que des bases de révision. Figure également des renvois aux pages du manuel où ces compétences sont particulièrement mises en œuvre. L’histoire des arts, les dossiers Arts & Littérature, le DVD « L’approche de l’image est toujours mise en relation avec des pratiques de lecture, d’écriture ou  d’oral. » (BO du 28.08.2008) « Le  professeur  de  français  collabore  à  l’enseignement  de  l’histoire  des  arts  avec  sa  compétence 

livre, parce qu'il ressemblait trop à "L'attrape-coeurs"». - «Oui, ‘’Le procès-verbaI" devait beaucoup à SaIinger, comme tout ce que j'ai écrit par la suite. Salinger à mes yeux, c'est quelqu'un qui, en quelques livres, a atteint un absolu de la littérature. ll y a chez lui une dimension zen, un bouddhisme spontané qui m’éblouissent. C'est quelqu’un qui a tout dit avec désinvolture. D'un côté, voyez-vous, on a Hemingway, Ie braillard, qui profite du monde, et dont Ia joie est suspecte, et, de l'autre

: – lathuilllere Roger, La Préciosité, Droz, 1969. – rouSSelot Jean, Les Cent plus belles pages de SaintAmant, Belfond, 1983. – CaMPa Laurence, La Poétique de la poésie, Sedes, 1995. Sur la poésie classique du xviie siècle : – adaM Antoine, Littérature française. L’Âge classique, Arthaud, 1968. – SPitzer Léo, Études de style, Gallimard, 1970. – Sabatier Robert, La poésie du xviie siècle, Albin Michel, 1975. Sur Boileau : – ClaraC Pierre, Boileau, Hatier, 1962. Sur Malherbe : – PonGe Francis

Linguistique .......................................................................................................................................................... 46 Littérature comparée ............................................................................................................................................ 46 Littérature et autres arts ....................................................................................................................................... 46 Marxisme