Littérature Impressionniste

pénètre la sensibilité du lecteur. Le mouvement, qui naîtra parmi les écrivains français et belges, gagnera les peintres qui s'engouffreront dans la brèche ouverte par Baudelaire, Mallarmé et Wagner. Ils exprimeront leur rejet du naturalisme impressionniste, du réalisme ainsi que du scientisme et apporteront leur contribution à la naissance d'une harmonie entre toutes les formes d'art. Ses influences : Il s'inspire du préraphaélisme anglais mais des traits annonciateurs se trouvent déjà au sein

préjugés, et les injustices sociales de leur époque à travers leurs œuvres. Gide met ici en place une critique la « littérature qui rassure » dans laquelle les lecteurs se complaisent avec facilité, mais plus encore il s’agit d’une critique de l’écrivain qui suit des schémas d’écriture dans le but de plaire au public. Inquiéter et Rassurer sont apparemment les deux grands axes de la littérature. Nous pouvons ainsi nous demander, à quel besoin de la société réponde ces deux valeurs totalement opposées

envol au début des années 1880, alors que la rupture avec le Parnasse est consommée et que les Mardis de la rue de Rome favorisent un renouveau poétique. Proche des avant-gardes en peinture comme en littérature, grand ami de Manet et de Whistler, défenseur dans la presse du groupe des impressionnistes et considéré par la génération symboliste, Odilon Redon et Edouard Vuillard en tête, comme le chantre de la modernité, Mallarmé ne cherche pourtant ni à faire figure de maître, ni à être reconnu par

Métamorphose, Camus, L’Etranger) 3. leur étude ne doit pas détourner des productions contemporaines Le conformisme du goût conduit à rejeter toute nouveauté : en peinture, rejet des impressionnistes au profit de la peinture officielle présentée dans les Salons, en architecture les concepts d’un Le Corbusier, en littérature, au XIXè s les romans naturalistes de Zola honnis des contemporains qui admiraient Balzac. Or, certains sont aujourd’hui considérés comme des artistes de grand renom. II. Pourtant

miroir a cette faculté de dédoubler une image, de créer une dualité à partir de l’unité. Les deux présents se reflètent ainsi dans le miroir, et les deux parties du texte sont construites de façon spéculaire. Voir la symbolique du miroir dans la littérature baroque. Dans le miroir, la narratrice voit ce qu’elle est, mais également un reflet d’elle-même : ce qu’elle voit est à la fois elle et autre chose, c’est à la fois elle et ce qu’elle était enfant. Le miroir autorise ainsi le souvenir et la circulation

Paul Verlaine Ariettes oubliées VII « Ô triste, triste était mon âme » Romances sans paroles (1874) Introduction : Paul Verlaine, né en 1844 et mort en 1896, s’intéresse rapidement à l’art et la littérature. Il lit la poésie de Victor Hugo, Charles Baudelaire et Théophile Gautier. Il rédige des critiques littéraires à 21 ans, ses premiers poèmes paraissent dans Le Parnasse contemporain. Sa poésie reste inclassable, mélangeant l’esthétique parnassienne et le romantisme. Marié à Mathilde Mauté

Paul Verlaine « Green » Romances sans paroles (1874) Introduction : Paul Verlaine, né en 1844 et mort en 1896, s’intéresse rapidement à l’art et la littérature. Il lit la poésie de Victor Hugo, Charles Baudelaire et Théophile Gautier. Il rédige des critiques littéraires à 21 ans, ses premiers poèmes paraissent dans Le Parnasse contemporain. Sa poésie reste inclassable, mélangeant l’esthétique parnassienne et le romantisme. Marié à Mathilde Mauté en 1870, il aspire à une vie ordonnée et bourgeoise

l’intermède plus heureux de son éducation chez les Jésuites. Déçu et dégouté des hommes, il se retire dans une maisonnette isolée de province dont il fait son havre coupé du monde dans lequel il réunit les ouvrages les plus précieux à ses yeux (littérature latine et française, toiles de maître, parfums, serre), pour se consacrer à l'oisiveté et à l'étude. L'intrigue est réduite à sa plus simple expression. Dans le chapitre V, le protagoniste décrit deux peintures qu’il vient d’acquérir : Salomé dansant

questions que l’on est en droit de se poser concernant la critique littéraire. Faut-il considérer la critique littéraire comme un genre à part entière ? Ou plutôt comme un métadiscours (discours éclairant sur la littérature) ? La critique littéraire est-elle indispensable à la littérature parce qu’elle éclaire et informe ou au contraire est nuisible parce qu’elle la rendrait hyper théorique. Le critique doit-il être considéré comme un créateur ou comme un écrivain raté ? I. Typologies générales

photographie, etc.) représentant une nature morte. L’expression « nature morte » apparaît en France au XVIIIe siècle. Diderot, dans ses Salons, parle de « natures inanimées ». Les plus célèbres sont celles de Vincent van Gogh : Les tournesols (1888). Littérature : Regarder les textes d’Eugène Guillevic. - Le fumeur de st amant, - Un fruit d’Eugene Guillevic. Peinture : -Claude Monnet, Vanités. Plan : Problématique : Introduction : I – A – Définition B – Epoque choisie, explication du choix du