Littérature Intemporel Universelle

monde ; pour reprendre Rimbaud, par exemple, le poète doit se faire « voyant », c'est-à-dire non pas, simplement, reproduire mais transfigurer le monde et l'exprimer à travers le prisme de sa subjectivité. Le lecteur peut donc rechercher dans la littérature la rencontre d'une personnalité singulière et l'exploration d'horizons inédits. L'amateur d'autobiographies, par exemple, découvre à chaque fois, à travers le récit de la vie de l'auteur, une expérience, un regard sur le monde nécessairement uniques

lyrique s’exprime au nom de l’auteur même ; ce n’est plus dans un personnage qu’il se transporte, c’est en lui-même qu’il trouve les divers mouvements dont il est animé. », affirme ainsi Madame de Staël in De l’Allemagne, ajoutant « on voit la littérature prendre un caractère différent. Ce n’est plus un art seulement, c’est un moyen ; elle devient un arme pour l’esprit humain qu’elle s’était contentée jusque là d’instruire et d’amuser. ». Il s’agit véritablement d’un outil rhétorique, un « moteur

guerre comme témoignage de l'innommable dans Le Feu d'Henri Barbusse et A l'Ouest rien de nouveau d'Erich Maria Remarque Le combat est percu comme un traumatisme au plus proche de la mort l'innommable c'est l'horreur des tranchées une fureur universelle Catherine Botterel-Michel : Le motif du théâtre dans Le Feu de Barbusse CLAUSEWITZ Adrien SCHU : Comprendre la guerre dans son unicité et sa diversité : le double rôle de la formule Clausewitzienne 1) Définir la guerre : L a formule Clausewitzienne

développe en France durant celle-ci. La royauté a donc réussie à s’imposer. Le retour à la monarchie sera une grande désillusion pour beaucoup de citoyens, et inspirera de nombreux écrivains. Ce bouleversement sera donc un thème central dans la littérature romantique. De plus, de 1830 à 1848 les jeunes révolutionnaires se battent pour une république. Ils désiraient obtenir une plus grande liberté. En France, Paris était barricadée. Ce mouvement bouleversant pris fin dans les années 1860 avec le projet

réédité plusieurs fois du vivant de l’auteur. En 1693, il est élu à l’Académie française. En mai 1696, La Bruyère meurt suite à une attaque d’apoplexie. Classicisme : la fin du XVIIe siècle dans la littérature ; le Classicisme porte une doctrine et institue des règles ; il produit une esthétique. En littérature prime la pureté : pureté morale dans la recherche de la clarté et de la raison ; pureté formelle avec le respect d’une langue fixe et de certaines conventions – comme celle, au théâtre, des « trois

cela ne fait pas de doute ; mais il s'agit de savoir si elle le fait d'une manière particulière, si elle se prête mieux qu'une autre forme à l'expression ou à l'analyse d'un sentiment dont on peut dire qu'il est l'affaire d'une grande partie de la littérature en général. [Problématique] Ces questions se ramènent toutes à la question du rôle spécifique de la poésie par rapport aux autres formes littéraires. [Annonce du plan] Si des liens étroits entre l'amour et la poésie se sont tissés au cours de l'histoire

l’imagination collective, une longue tradition littéraire ». 2- Le mythe dans la Grèce antique Le mythe antique qui fait l’objet de notre mémoire, relève de la première définition. Le mythe en Grèce antique avant que le mythe n’ait apparu en littérature, il a passé par une longue tradition orale. Nous supposons qu’il a été récité par les poètes et ainsi, transmis de génération en génération. Les plus anciens textes connus traitant les mythes antiques sont l’Iliade et l’Odyssée d’Homère. Comme notre

célèbre Guernica, Victor Hugo et ses pamphlets en ragés contre Napoléon III ou encore les nombreux chants populaires contestataires comme la Marseillaise qui a été composé par Rouget de Lisle pendant la Révolution française. Le cinéma, comme la littérature, la peinture ou n’importe lequel des six premiers arts est un domaine dans lequel nous ne sommes pas actifs physiquement comme dans une partie d’échec où nous prenons totalement part au jeu mais nous nous divertissons par l’esthétisme d’un tableau

d’une jeunesse désœuvrée. Marcel Dubé est un auteur qui jette les bases d’une dramaturgie québécoise par la création d’œuvres nationales et originales en tout cas personnelles et distinctes de celles des modèles que nous proposent les grandes littératures étrangères. Né à Montréal le 3 janvier 1930, cet auteur remporte dès l’âge de 19 ans le second prix au concours littéraire de l’A.C.J.C. avec les poèmes de son recueil Couleurs des jours mêlés (1949). Deux années plus tard, il participe activement

carrière de fonctionnaire international à Genève, mais il est représentant également pendant cette période représenatant de l’Agence juive pour la Palestine en Angleterre. En 1954, il refuse le poste d’ambassadeur d’Israël pour se consacrer à la littérature. Cette expérience fait partie intégrante de l'Oeuvre d'Albert Cohen, et montre son engagement en tant qu'homme dans le XXe siècle, avec ce que cela suppose de dramatique. Pourtant, en tant qu'écrivain, ce diplomate d'origine juive se caractérise