Livre des Lamentations

religion tolérée (IVè s.) ; religion dominante, d’Etat (fin IVè s. - …) - 6 ou – 4 : naissance de Jésus-Christ, qui meurt autour de 30 70 : destruction du temple juif de Jérusalem par le Romains, à la suite d’une révolte : il ne reste que le Mur des Lamentations 177 : martyre des chrétiens de Lyon 313 : Edit de Constantin : toutes religions autorisées (depuis 311), christianisme favorisé 392 : Edit de Théodose : interdiction des cultes païens ; christianisme, seule religion autorisée 476 : fin de l’empire

les yeux des sauvages l’autre nuit dans l’obscurité : on ne l’enterrerait pas vivant. « Le visage a imperceptiblement cessé d’être humain » pensa Claude. Ses épaules se contractèrent ; l’angoisse semblait inaltérable comme le ciel au-dessus de la lamentation funèbre des chiens qui se perdait maintenant dans le silence éblouissant : face à face avec la vanité d’être homme, malade de silence et de l’irréductible accusation du monde qu’est un mourant qu’on aime. Plus puissante que la forêt et que le ciel

profond et amer. Le psalmiste a deux raisons de se lamenter d’une part des éléments extérieurs au « je » mettant en évidence l’action des « ils » v.2-5.16-17.18.20 et, d’autre part, intérieurs sur l’état du « je » blessé, épuisé, perturbé v.22-25 : lamentations, suppliques, imprécations et confiance s’entrelacent. 3. Commentaire Silence et violence v.1-3 Le psaume commence par un grand silence au cœur d’éclats de voix : le silence de Dieu. Le Psalmiste invoque et loue, les adversaires, eux, attaquent

L’océan est «aveugle» parce qu’il est impénétrable, qu’on n’y distingue rien. La deuxième strophe est celle du naufrage. Avec «toutes les pages», on trouve la comparaison classique de la vie à un livre où s’inscrivent les souvenirs (dans “Ce siècle avait deux ans” [“Les feuilles d’automne”], on lisait : «Le livre de mon coeur à toute page écrit.» [vers 48]). Le vers 9 est remarquable par la valeur expressive de sa coupe rythmique qui sépare les trois syllabes où est mentionné le «souffle» des neuf autres

éloquente, éloquente et suffisante. Nous comprîmes aussi ce que certains devinaient confusément depuis le début. L’Mjidib avait été mordu ou griffé par un chat noir. Voilà. - Quel chat noir, L’Mjidib ? Notre protégé sombra de nouveau dans d’atroces lamentations. Il fallut le secouer pour lui soutirer des hochements de tête. Il s’en suivit le dialogue que je reproduis de mémoire : - L’Mjidib, tu parles du chaton noir du directeur ? Hochement de tête pour affirmatif. - Poutchy ? Affirmatif. - Le chaton

distingua «les parties géniales d'un grand peintre avorté». Aussi Cézanne, à la lecture de “L'oeuvre”, s'est-il reconnu dans le personnage de Claude et n'a-t-il pas apprécié d'être décrit comme un génie avorté, un peintre impuissant. La publication du livre a terni une amitié de quarante ans entre Zola et Cézanne. Mais le tableau “Plein air” de Claude dont voici la description : «C'était une toile de cinq mètres sur trois... dans un trou de forêt, aux murs épais de verdure, tombait une ondée de soleil

l'abîme où il fut enfin précipité avec elle, qui, inquiet dans la bonne fortune, fut sans courage dans l'adversité ; combien de fois ne maudit-il pas son consulat qu'il avait loué non sans sujet, mais sans mesure ! (2) Quelles lamentations ne fait-il pas entendre dans une lettre adressée à Atticus au moment où, après la défaite de son père, le jeune Pompée cherchait à relever en Espagne son parti abattu ! "Vous me demandez, dit-il, ce que je fais ici. Je vis à moitié libre

les lettrés mésopotamiens. On a retrouvés dans des lettres, ou des recueils de proverbes le personnage de Gilgamesh et cela dans tout le Proche-Orient. On retrouve des noms différents, par exemple on a retrouvé le Livre des géants dans les grottes de Qoumrân sur la mer Morte, ce livre parle de géants nommés Gilgamesh et Hobabish. Dans la démonologie islamique apparaît encore au XVe siècle le démon Jiljamish. Quant à la tradition gréco-romaine on retrouve un Gilgamos qui aurait régné sur les Babyloniens

l’histoire de sa vie. Alexis comprit qu’il allait mourir bientôt, et obéit promptement. Une voix se fit entendre aux villageois, elle demandait de rechercher le saint. Puis elle leur précisa où il était. Le vendredi, ce dernier mourut ; tous, devant le livre de sa vie, furent émus ; on lui offrit de grandes funérailles. La Chanson de Roland : poème épique[4] et une chanson de geste[5] de la fin du xie siècle attribué sans certitude à Turold (La dernière ligne du manuscrit dit: Ci falt la geste que Turoldus

POETIQUE D’ARISTOTE   ARISTOTE LIVRE DE LA POETIQUE Traduction de Jules Barthélemy-Saint-Hilaire Paris : Ladrange, 1838 Œuvre numérisée par J. P. MURCIA http://remacle.org/ Nouvelle édition numérique http://docteurangelique.free.fr 2008 Les œuvres complètes de saint Thomas d'Aquin CHAPITRE I: La poésie consiste dans l'imitation. - Trois différences entre les imitations. - Différentes sortes de poésie, selon les moyens d'imitation. _______________________________________________________