Lobby Democratie

anciens des services spéciaux dirigée par le colonel Paul Paillole, l’homme de confiance de Jacques Soustelle. La gauche non-communiste bat en retraite. Derrière Guy Mollet, la SFIO se rallie à De Gaulle, tandis que, derrière Félix Gaillard et le lobby colonial, le parti radical en fait autant, mettant Mendès-France et Baylet en minorité. En Algérie, le général Raoul Salan supervise « l’Opération Référendum ». Des instructions sont diffusées aux officiers. « Il est inutile d’insister sur l’intérêt

1830 = Début de parution des manuels de droit constitutionnel (« élément de droit politique, commentaire sur la charte constitutionnelle 1836, théorie du droit constitutionnel français. ») ou l’ouvrage d’Alexis Tocqueville (1835-1840) « De la démocratie en Amérique » . A partir du moment où l’on enseigne le droit, on s’aperçoit que le droit constitutionnel manque de crédibilité. Son grand défaut est qu’il manque d’un système de sanction persuasif, au cas où les pouvoirs mis en place violeraient

idéologique qui serve de « cadre », de carcan pour les années prochaines. Il s'affirme encore social-démocrate, quand le « social » a disparu dans les faits. Il continue à invoquer des « contreparties sociales », la caractéristique de la sociale démocratie. Mais celles-ci se limitent au renvoi aux négociations entre partenaires sociaux «  responsables  » et à la constitution d'un « observatoire des contreparties », une usine à gaz dont seul Laurent Berger de la CFDT se félicite. Beaucoup mettront

primaire des années cinquante et la phobie de l’Islam depuis le début des années 80. Le but semble être de transformer l’opposition de la pauvreté des pays du sud à la domination économique du nord, en simple opposition du fascisme islamique à la démocratie occidentale. Nous entendons même de la bouche de certains intellectuels chevronnés, ou d’éminents religieux chrétiens que le christianisme est fondé sur les éléments rationnels et la croyance, tandis que l’Islam est fondé sur la croyance et la barbarie

des typologies des régimes politiques. 11 A/ La typologie d’Aristote. 11 B/ La typologie de Montesquieu. 12 C/ La typologie de Rousseau. 13 II. Les régimes démocratiques. 15 A/ Le concept de démocratie. 15 1. Les critères des régimes démocratiques. 15 2. La distinction entre république et démocratie. 16 B/ Régime démocratique et système de partis. 16 1. Les systèmes de partis. 16 a) Bipartisme et multipartisme. 17 b) La polarisation des systèmes de partis. 17 2. L’influence des mode de

déduisent. On pourra toujours discuter par l’insuffisante protection mais on ne pourra jamais dire que le droit positif exclut une liberté. Conciliation entre les libertés. §2 : Avertissement L’université est un lieu de transmission du savoir. En démocratie libérale elle a pour vocation de former des individus autonomes. La liberté intellectuelle. La science ne peut pas se contenter de vérité révélée, un scientifique doit tout discuter, il doit être sceptique. L’ignorance et la liberté ne vont pas

ressources matérielles. Leur existence est finalement assez récente et ils ont évolués selon le rythme de la démocratie moderne. Les partis politiques ont des caractéristiques propres que nous chercherons à repérer pour pouvoir distinguer les partis d’autres organisations qui elles aussi sont des acteurs de la vie politique. Aucune démocratie ne fonctionne sans partis, même dans le cas de démocratie directe comme la Suisse. Des partis politiques existent puisqu’ils ont un rôle de médiation entre l’état

surtout à artir du 16 e uis du 18e (les Lumières) que la théorie de l’Etat émerge . Cette théorie triomphe au 19e : le constitutionnalisme (tout le monde se soumet à la loi même lesauotrités qui l’ont écrite) : suprématie de la Constitution dans la démocratie. Objet du droit constitutionnel : sources, fondements, interprétation, garantie et application de la Constitution : science del’encadrement du ouvoir politique et garantie des droits pour les citoyens. Burdeau, il s'agit de la science qui porte

absolument puissant. De même dans les régimes autoritaire en général, l'Etat est tout puissant et doit être tout puissant pour servir la toute puissance du chef, Mussolini disait: "Tout dans l'Etat, rien en dehors de l'Etat, rien contre l'Etat". Dans une démocratie, l'Etat n'a pas la puissance absolue: il est plutôt modéré. Ainsi la Constitution s'est développé sous la Grèce Antique, puis au 18ème siècle. Le constitutionnalisme était un mouvement d'idée dont l'objectif était d'aboutir à une Constitution

dans les écoles de l'Occident (Gandhi à Londres, Ho Chi Minh à Paris) mais exclues des responsabilités politiques et administratives par le système colonial. C'est au nom des valeurs que l'Occident leur a enseignées, la liberté, l'égalité et la démocratie que les mouvements nationalistes recrutent et gagnent en influence dans la paysannerie qui constitue l'essentiel de la population des pays dépendants. Avant la guerre, les revendications et les moyens d’action des mouvements nationalistes sont variés