Lobe frontal

évidence avec les techniques disponibles. Cependant cette idée est critiquable sur la constitution des groupes cliniques. Des travaux récents (1999) renforcent l'idée d'une étiologie neurologie : chez le jeune hyperactif l'activité cérébrale du lobe frontal présenterait une activation atypique. Les chercheurs se centrent sur une pathologie cérébrale et une altération du système dopaminergique. Dopchié avance qu'il sagit d'un dysfonctionnement encéphalique vu l'action des médicaments. Ce courant de

et l’on trouvait dans cette population un fort taux de comorbidité avec d’autres pathologies psychiatriques et notamment les troubles obsessionnels compulsifs. L’implication du lobe temporal dans la pathogénie des attaques de panique a souvent été signalée. Roth et Harper [60] ont suggéré, dès 1962, le rôle possible du lobe temporal dans leur syndrome anxiophobique avec dépersonnalisation du fait des similitudes cliniques existantes entre ce syndrome et certains symptômes psychiatriques de l’épilepsie

et lors de la maladie d’Alzheimer. Cette dernière est caractérisée précocement par une atrophie des régions hippocampiques et un hypométabolisme des régions cingulaires postérieures. Avec l’âge, on observe principalement une atteinte des régions frontales, atteinte aussi bien structurelle que fonctionnelle. A l’inverse de ce qui est observé dans la maladie d’Alzheimer, les régions hippocampiques et cingulaires posterieures des personnes âgées normales sont peu modifiées. II/Comment

L’amygdale et le circuit de la peur 8 Joseph LeDoux a découvert les principales composantes du circuit d’une émotion particulière – la peur – et a démontré le rôle majeur joué par l’amygdale, structure en forme d’amande située dans la partie antérieure du lobe temporal (1997). Tous les cortex sensoriels ont des connexions avec l’amygdale et celle-ci a des connexions directes avec les différentes régions de cerveau assurant l’expression de la peur. Il existe deux importants circuits de la peur : un circuit

phénomène commun aux patients schizophrène est l’hypofrontalité. Une étude de la circulation sanguine cérébrale effectuée par isotope radioactif, le gaz xénon-133, a permis d’observer une diminution de la circulation sanguine dans la région du lobe frontal. Cette région est le centre de commande de la planification, du langage et du mouvement volontaire et semble fonctionner au ralenti durant l’exécution des tâches cognitives des patients atteints. Différentes régions du cerveau humain Finalement

L’addiction peut s’installer. Comme pour toute dépendance, le passage de l’utilisation no problématique à l’usage excessif, puis à l’usage compulsif, est insidieuse. * Les jeunes risquent particulièrement de développer une dépendance, car leur lobe frontal, responsable de la régulation du comportement et des émotions, n’est pas encore complètement développé. C’est pourquoi ils n’arrivent pas vraiment à se contrôler et ont besoin du soutient des adultes. * Les contenus influencent eux aussi les

profonds délimitant les lobes = fissures ou scissures -plis moins profonds délimitant les gyrus (ou circonvolutions) = sillons Lobes cérébraux (4 / 5): - frontal : motricité, comportement - pariétal : sensibilité - temporal : mémoire, audition - occipital : vision - insula : mémoire, parole (pas toujours reconnu en tant que lobe) Aires cérébrales : situées au sein des lobes, ce sont des espaces plus spécialisés 2) Morphologie interne Substance grise : - Partie périphérique :

Problèmes de comportement Rapidement progressif Démence Rappel immédiat Perte de mémoire Réflexe Actif Réflexe cutané abdominal Diminué Bilatéral Réflexe de prise/adulte accru Réflexe palmo-mentonien Anormal Symmetric Polyneuropathy Syndrome du lobe frontal Manifestations neurologiques Tremblement Trouble du jugement Troubles cognitifs Douleur Système génital de la femme Ulcère Système génital de la femme Lésion génitale Ulcération vaginale Vagin Hyperhémie Vulve Excoriation Accès de colère

neuropsychologique STRUCTURES ANATOMIQUES Les lobes frontaux sont des structures cérébrales cruciales dans l’organisation des fonctions cognitives (fonctions exécutives, contrôle cérébral de l’action, attention, mémoire de travail), ainsi que dans le traitement des émotions et la cognition sociale. Les lobes frontaux sont particulièrement touchés, directement ou indirectement, par le traumatisme. C’est le dysfonctionnement de cette région des lobes frontaux qui va être impliqué dans les troubles cognitifs

une autre. L'équilibre est d'abord celui de la composition : le visage, qui est l'élément dominant, occupe la partie centrale de la toile; les yeux sont à la hauteur de la ligne d'horizon qui partage le tableau en deux parties. Le point de vue est frontal. Dans la toile qui nous occupe, on remarque le fond, divisé en deux zones, rouge en bas et orangé en haut, avec des touches plus jaunes dans la partie supérieure ; le bonnet est bleu à l'arrière et violet à l'avant ; enfin la veste est verte. De la