Lobe temporal

système nerveux ont des fonctions mnésiques. Certaines sont plus particulièrement impliquées. Les informations traitées dans les aires sensorielles et associatives convergents vers le système limbique, en particulier à l'hippocampe, dans le lobe temporal médian, qui participe à l'encodage, à la consolidation et au rappel des souvenirs (mémoire déclarative). L'amygdale est impliquée dans les émotions, qui jouent un rôle majeur dans la mémoire. > En règle générale, les souvenirs sont stockés à

local (HG) versus global (HD). HG intervient préférentiellement dans analyse des composantes linguistiques du langage (lexique, morphologie, syntaxe), HD impliqué dans reconnaissance et production de prosodie émotionnelle. 23 Asymétrie planum temporale Longueur de Scissure de Sylvius (Neurosciences. A la découverte du cerveau, p. 594) 24 II. Gestualité A. Introduction B. Fonctionnement moteur normal C. Pathologies de la motricité Hémiplégies Apraxies D. Apraxies Définition Différents

des faux jumeaux. En 1988, Petersen est le premier à mettre en évidence grâce au PET Scan (Le PET Scan mesure le taux de glucose dans les cellules du cerveau durant leur activité) les zones impliquées : région frontale inférieure gauche, aire temporale postérieure gauche comme Broca et Wernicke. C’est dans le début des années 1990 que la piste génétique se clarifie. Norman Geschwind remarque que ceux qui se sont intéressés à la cause génétique devraient aussi rechercher également d’autres troubles

rétine centrale (fovéa) / rétine périphérique - neurones, photorécepteurs, cônes, bâtonnets, message nerveux, fibres nerveuses - pigments rétiniens, protéine, gène, ADN - voies visuelles, nerf optique, chiasma optique, relais optique, cortex visuel, lobe occipital - cortex visuel primaire, aire visuelle spécialisée, aire cérébrale, plasticité Connaissances à maîtriser : - les conditions de visibilité d’un objet : on ne peut voir un objet que quand il émet de la lumière ou quand il est éclairé

apparentées. Chez l'homme, pour l'évocation de plaisir par stimulation étrangère, les physiologistes ont signalé la région septale et la région latérale du tegmentum mésencépahlique (R. J. Heath), la région ventro-médiane du lobe frontal (C. W. Sem-Jacobsen), le lobe temporal (Pr Delgado) ; pour l'autostimulation, la région septale postérieure, le tegmentum mésencéphalique, le centre médian du thalamus, le noyau caudé, les noyeux amygdaloïdes antérieurs et postérieurs. Ce territoire « positif » semble

gauche du droit. Sur chacun des hémisphères, les sillons les plus marqués divisent la surface du cortex en grandes zones appelées lobes : lobes frontal, pariétal, occipital et temporal. Un cinquième lobe, l’insula, n’est pas visible de l’extérieur car il est situé en profondeur, tout au fond du sillon séparant le lobe temporal du reste du cerveau. C’est au niveau du cortex que se déroule toute l’activité consciente de l’encéphale. Ce sont les neurones du cortex qui nous permettent de percevoir, d’analyser

Onde sonore Pavillon Oreille > Conduit auditif ot —— Osselets cose eeeee Cils vibratiles oe Cellules ciliées Nerf auditif « Messages — Membranes nerveux vibrantes Le trajet des ondes sonores dans l’oreille cortex auditif primaire lobe temporal Coupes realisees dans la cochlée onde sonore cil au repos cil stimulé la déformation des cils génére un message électrique cellule ciliée nerf auditif lors d’une stimulation auditive vers le cerveau message électrique

l’accord modifié, les premiers ont manifesté une activation synchrone d’une grande population de neurones qui restait silencieuse chez les seconds. La chercheuse en a conclu que les structures cérébrales impliquées se trouvaient dans le medio-lobe temporal droit. Là où se situe l’hippocampe, très important pour l’analyse fine de l’harmonie, mais aussi l’amygdale, aire des émotions. Les émotions suscitées «La musique offre aux passions le moyen de jouir d’elles-mêmes», écrivait Nietzsche dans «Le

des cas les plus célèbres fut étudié à la fin des années 1950 par Brenda Milner avec William Scoville. Il s'agit d'un homme surnommé HM qui a subi une opération chirurgicale par laquelle on lui a retiré les deux hippocampes, droit et gauche, du lobe temporal de son cerveau, ceci afin de supprimer les crises d'épilepsie dont il souffrait. Le mérite des deux chercheurs fut de montrer que cette opération avait entraîné chez ce patient des troubles de la mémoire sévères mais spécifiques : sans qu'on ait

projections visuelles situées dans le cortex visuel qui occupe le lobe occipital. Il est chargé de recevoir et traiter les informations visuelles reçues. Puis, le signal électrique va se diriger vers la zone temporale inférieure du cortex sensoriel pour ensuite rejoindre les aires associatives pariéto-temporo-occipitales du cortex associatif. Ces dernières vont programmer l'action. Après cette étape, l'information va arriver au niveau du lobe frontal, dans le cortex moteur primaire qui va commander la