Logorrhée

souhaitais d'ailleurs un prompt rétablissement à ce dernier, je jurais de téléphoner pour raconter la cérémonie de remise des diplômes dans le moindre détail. À la fin, j'en fus réduite à prétexter des révisions de dernière minute pour couper court à sa logorrhée. La patience d'Edward était infinie. Il attendit sans manifester d'agacement, jouant avec mes cheveux, me souriant chaque fois que je le regardais. Il était sans doute superficiel de ma part de remarquer pareilles sottises dans des moments aussi

ne mérite pas d’être rapporté ici… »351 A partir de ce qui précède, les narrataires de Raphaël, comme ceux de l’Ancien Combattant sont loin d’une assemblée inculte, discrète et vertueuse. « Il donne l’impression d’être atteint d’une sorte de logorrhée chronique »352 Il se dévoile également comme un personnage qui aime à transgresser les lois morales, à exhiber leurs immoralités et leurs exploits sexuels. Leur mode de vie est peu soumis au contrôle de la raison, de la responsabilité eu égard

l’extérieur vers l’intérieur504. Beaucoup de matrices résonnent avec La maison des morts et Ça va. Comme dans La maison des morts, nous constatons dans Ça va que chaque réplique a la force du proverbe, de la chanson, de la ritournelle. C’est une écriture logorrhée, la langue stylisée stimule la scène. Dans Ça va, on retrouve les deux mouvements puisque les personnages bougent dans des endroits intimes (salon, cuisine) et tel-00411828, version 1 - 30 Aug 2009 publics (route, local). Cette focalisation sur

C8H15O2–(aq) b. Le médicament est excrété sous forme ionique. b. Intoxication médicamenteuse par une base 1. Principe actif : c’est la substance (contenue dans un médicament) possédant des propriétés pharmacologiques à la base de l’effet thérapeutique. Logorrhée : flux de paroles. Acouphènes : sensation auditive anormale. Excrétion : élimination en dehors de l’organisme. 2. a. RNH3+(aq). b. RNH2(aq) + H+ = RNH3+(aq). 3. a. C’est un acide car il peut libérer un proton. b. NH4+(aq) = NH3(aq) + H+. 4. a. RNH2(aq)

28. 147. Borie, J., Zola et les mythes, op. cit., p. 29. 148. Borie, J., Zola et les mythes, op. cit., p. 31. 57 Finalement, toute l’approche de J. Borie consiste à rendre compte de ces fantasmes mortifères qui font retour par le biais d’une « logorrhée verbale » dont Zola ignorerait les raisons inconscientes. Nous ajouterons que le concept d’analité est lui aussi fortement amputé de sa polysémie. Nous remarquons une réification conceptuelle qu’opère J. Borie. En effet, nous savons que l’analité

mais petit à petit semble parler pour lui-même dans une sorte de monologue (répétition obsessionnelle de on ne sait pas, l. 14, 17) ; utilisation du pronom indéfini on marquant la dépersonnalisation ou le refus d’une responsabilité individuelle. Sa logorrhée peut être signe de son angoisse, elle marque un besoin de remplir le silence. B. Car les soldats refusent d’entendre l’autre – Ils sont insensibles à l’appel à la pitié, à la fraternité, le soldat 1 rapporte les paroles de ceux qu’il a tués : Ils

(II, 1) ; – obséquieux avec les Bovary, il abuse de la crédulité de ses concitoyens : Son robuste aplomb avait fasciné les campagnards (II, 7) ; – véritable dictionnaire des idées reçues. Correspondant du Fanal de Rouen, il laisse libre cours à sa logorrhée dans les pages de ce journal ; – partisan du progrès, et soucieux d’assurer la célébrité de Yonville, il est à l’origine du fiasco de l’opération du pauvre Hippolyte, souffrant d’un pied-bot (II, 11), aussi indifférent à la gangrène du jeune homme

avec un Etat comme le Sénégal où « l’agriculture occupe près de 60% de la population active et continue de rester le principal levier pour le développement des secteurs artisanal et industriel »508. Le second élément de critique est afférent à la « logorrhée révolutionnaire »509 portée par le discours des pouvoirs publics sénégalais. A l’analyse, ce discours apparaît avec un sérieux manque de recul par rapport au contexte dans lequel il est produit. Il pêche par l’hypertrophie du rôle attribué aux TIC

présence du silence mais un silence faussement vide dont découlent maintes interprétations. Nous sommes ainsi amené à nous plonger dans le paradigme du vide et du plein, de la pléthore et de la vacuité, à travers une parole qui balance entre mutisme et logorrhée, entre sens et non-sens. dumas-00498644, version 1 - 8 Jul 2010 a) Lieux communs et paroles vides Les personnages d’Une vie parlent, certes, mais on se rend vite compte que, bien souvent, leurs paroles sont vides, dans la mesure où ils

classe aux trois gosses, mais elle a beaucoup de lacunes. Elle est à l’aise en maths. Mais en histoire… ŕ J’enseignais uniquement « notre » Histoire, l’ai-je interrompu volontairement. (Il était illusoire d’espérer que Jeb marque une pause dans sa logorrhée verbale pour pouvoir prendre la parole !) Je ne vous serais pas d’une grande aide. Je n’ai aucune formation en histoire humaine. ŕ « Votre » Histoire, ce sera toujours mieux que rien. Il y a des choses que les hommes doivent savoir, puisque nous