Loi de Planck

l'échantillon, qui vont, en se désexcitant, émettre un rayonnement dont le spectre est composé de longueurs d'ondes caractéristiques des éléments chimiques de l'échantillon. Il ne reste qu'à l'analyser pour déterminer ces éléments. Pour ce faire, on utilise la loi de Bragg concernant les cristaux, qui indique que pour un angle donné, une longueur d'onde précise est diractée. 2.2 Dispositif expérimental Même si nous n'avons pu faire les expériences à cause du manque d'eau sous pression nécessaire au refroidissement

gravitation G = 6,6710-11 S.I, masse de la Terre M = 6.1024 kg, Rayon de la terre R = 6400 km, distance Terre-Soleil d = 1,5.108 km. 3.1 Deux corps ponctuels A et B, de masses respectives m et m’, séparés par une distance d, s’attirent selon la loi de la gravitation universelle. Rappeler l’expression de l’intensité des forces d’interaction gravitationnelle, s’exerçant entre les corps A et B. (0,25 pt) 3.2 Dans l’espace, le soleil, la Terre et autres astres, peuvent être considérés comme des

tableau ci-dessous, la longueur d'onde  décroît ; la fréquence  et l'énergie E d'une mole de photons croient en même temps. Tableau 1 : le spectre électromagnétique Les relations entre ces grandeurs sont : dans lesquelles h est la constante de Planck : h = 6,62.10-34 J.s est le nombre d’onde (en m) : c’est l’inverse de la longueur d’onde. 2) Analyse de la lumière blanche La lumière blanche se compose d’une superposition de radiations monochromatiques. Il existe divers dispositifs pour

on connaˆ la densit´ spectrale volumique d’un corps ıt e noir (loi de Planck) : 1 8πhν 3 ρν|eq = 3 hν/kT − 1 c e a e Si on ´crit l’´quilibre pour les niveaux E1 E2 , c’est ` dire qu’il y a “autant de mont´es que e e de descentes” : B12 ρν N1 = B21 ρν N2 + AN2 8 G. Rebmann Universit´ Paris7 - Denis Diderot e UFR de Physique Optique Ondulatoire 2006-07 expression, qui si on tient compte de l’´quilibre des populations par la loi de Boltzmann : e N2 hν = exp(− ) N1 kT m`ne ` : e a ρν = A/B21

vitesse v est associée une longueur d'onde λ donnée par la relation de de Broglie : .   : longueur d'onde (m). h = 6,6210 −34 Js : constante de Planck. m  : masse de la particule (kg). v  : vitesse de la particule (ms −1). Pour une particule de masse nulle telle que le photon, la relation est : .   : longueur d'onde (m). h = 6,6210 −34  Js : constante de Planck. c = 3,00108  ms −1  : célérité de la lumière dans le vide. E : énergie de la particule (J). Cette relation traduit la dualité onde-corpuscule

expérimentale consiste en une dialectique incessante qui va du fait à l'activité rationnelle et de l'activité rationnelle au fait. De l'observation, on tire une hypothèse qui est ensuite soumise à l'expérimentation. De l'expérimentation, on tire la loi et la théorie, elles-mêmes soumises à leur tour à des vérifications. De prime abord, si la théorie se tire de l'expérience et est ensuite soumise à l'épreuve de la vérification, il est clair que le scientifique recourt aux faits pour étayer ses conceptions

est constante et égale à la vitesse de la lumière. • Il est caractérisé par sa fréquence n (variable). • Chaque photon transporte un quantum d’énergie proportionnel à la fréquence de l’onde: E=hn E= énergie (joules) h= constante de Planck=6,62 1O joule.seconde n= fréquence du rayonnement électromagnétique (Hz) 3.Isotope ?+exemple • « On appelle isotopes d’un élément des nucléides qui possèdent le même nombre de protons (même valeur de Z) mais un nombre différent de neutrons

densité de matière et la température sont infinies. Nous ne pouvons à ce jour remonter plus loin que le Big Bang dans l’Histoire de l’existence – il nous semble que le temps aie commencé ici. De 0 à 10-43 secondes Connue sous le nom du « temps de Planck », c’est pendant ce dernier que des paires de particules-antiparticules apparaissent. Elles naissent de l'énergie très intense régnant dans tout l'Univers, et disparaissent continuellement. Cela cause une déformation constante de la trame de l'espace-temps

c’est-à-dire avec un supplément d’énergie par rapport à son état fondamental. Le noyau perd alors son excès d’énergie en émettant un photon γ. 1 photon = ∆E = hv = différence d’énergie entre le noyau excité et le noyau final. Ou h : constante de Planck (6,6262 x 10-34 J.s.) Pas de particule mais un flux de photons. Co* : niveau excité Co : niveau fondamental Ex : 60/20 Co* → 60/27 Co + γ Remarque : La radioactivité est le signe d’une désintégration nucléaire. L’émission de particules

donc une charge positive) dans la bande de valence. Lorsqu'il se désexcite, l'électron revient à son état fondamental et se recombine avec son trou en émettant un rayonnement monochromatique (donc un photon) en suivant la loi : h*nu = Abs(Ei-Ef), h étant la constante de Planck (= 6,63 * 10 ^-34 J.s = 4,13*10^-15 eV.s), nu la fréquence de la lumière émise en Hz, Ei l'énergie prise par l'électron au départ (à l'état initial) et Ef son énergie à l'état final. (en J ou en eV) Dans le cas où l'électron