Loi de Say

Arbitre consiste à comparer les résultats de décisions envisageables et a optée en conséquence pour celle qui est la plus favorable au regard de l’objectif poursuivie. 1) La loi de l’offre et la demande La loi de J.B Say illustre, les comportements habituels des offreurs et des demandeurs face à une variation des prix : Selon la loi de l’offre et la demande, lorsque le prix d’un bien augmente, l’offre augmente et la demande diminue. En effet, les offreurs sont incités à augmenter leur offre (hausse de

Toutes ces choses définissent globalement l’épargne. L’épargne va être investie. Dans la tradition libérale, l’épargne et l’investissement sont quasiment les mêmes termes. Selon eux, l’épargne est investie automatiquement c’est ce que l’on appelle la loi de Say. Une fois qu’une part non consommée est restante on peut soit le tesoriser (dans un coffre). Soit le placé en passant par l’intermédiaire d’une banque, cette solution comprenant une propension a augmenter son épargne. L’investissement c’est de façon

Chapitre 1: L'entreprise, unité de production A). les typologies fondées sur l'action des entreprises. 1. La classification en 3 secteurs de Clark. La première classification date du 19ème siècle. En effet, JB Say avait déjà distingué trois types d'industries: * L'industrie agricole * L'industrie manufacturière * L'industrie commerciale En 1941, dans son ouvrage « the condition of economic progrees », Colin Clark propose un autre découpage en 3 secteurs: * Le secteur primaire:

[pic] • Loi du marché : - Loi de l’offre et de la demande ( hausse du prix d’un bien entraîne la baisse de la demande et la hausse de l’offre. Cette lois n’est pas universelle : produit de luxe. - Loi des débouchés (J.B Say, classique) ( les produits s’échange contre des produits et se servent mutuellement de débouchés. On oubli alors les délais, le temps et la répartition. - Loi de la concurrence et loi de la sélection naturelle (Robert

votée par le Parlement. Au départ, les juges se sont fondés sur la tradition, souvent héritée des droits locaux des anglo-saxons, d'où le terme de "droit coutumier" parfois employé pour désigner la common law en français. Afin de donner force de loi à leurs décisions, les juges ont pris l'habitude de les justifier par une argumentation rigoureuse, tentant de tirer de chaque cas particulier des conclusions de portée plus générale applicables aux affaires suivantes présentant les mêmes caractéristiques

théorie keynésienne) 2) Redistribution à travers la fiscalité et les prestations sociales 3) Affectation des ressources : corriger les défaillances du marché. Il y a à travers la théorie de Musgrave une certaine remise en cause de la loi des débouchés de Say mais l’équilibre de sous emploi est possible car : -chômeurs involontaire -équilibre sur le marché des biens et services D’ où la nécessité d’utiliser le budget Effet contra cyclique : budget : excédent en phase d’expansion

l’offre que propose le producteur pour maximiser son profit en supposant que la demande est suffisante. Atomicité : chaque entreprise étant petite, l’offre supplémentaire va se noyer dans l’offre de marché Hypothèse classique de Say : «l’offre crée sa propre demande »  loi des débouchés (offre donne revenus dépensés) Offre globale est la somme de toutes les offres individuels • « L’entreprise dans le modèle néoclassique. Dans cette approche, l’entreprise, très simplifiée qu’on résume à un seul

Le principe de sincérité budgétaire Le principe d'unité budgétaire est apparu en France sous la Restauration. Léon Say présentait l'intérêt de cette règle en ces termes : « Il est nécessaire d'enfermer le budget dans un monument dont on puisse aisément apprécier l'ordonnance et saisir d'un coup d'œil les grandes lignes ». La mise en œuvre de ce principe a été modifiée par la loi organique relative aux lois de finances (LOLF) du 1er août 2001. |Sommaire

l’analyse macroéconomique (qui appuie ses théories et raisonnements sur l’échelle globale de tous les agents). INT-01-04-01-J1-FO 3  CFPB ■ Les principales théories économiques ou courants de pensée Le courant classique Adam SMITH, Jean Baptiste SAY, David RICARDO. Pour une période couvrant la fin du XVIIIe et la première moitié du XIXe, avec la révolution industrielle et les évolutions d’une économie d’artisans vers une économie d’industriels et d’ouvriers. Le courant néo-classique Léon WALRAS

est la façon dont le patrimoine est détenu par les individus dans une société. Il s’agit d’un stock, et non pas d’un flux ; la répartition des revenus mesure, elle, est un flux .C'est la troisième étape du circuit économique défini par Jean-Baptiste Say dans son Traité d'économie politique. Les inégalités de richesse sont plus marquées, mais elles ne représentent pas directement le niveau de vie. En particulier, le patrimoine d’une partie de la population est négatif (jeunes adultes qui se sont endettés