Loi des rendements décroissants

L’ORGANISATION SOCIALE DE L’ENTREPRISE Chapitre 3 : La production dans l’entreprise Notions du programme : Facteurs de production, coût total, coût moyen, coût marginal, recettes totales, recette marginale, recette moyenne, productivité, lois des rendements décroissants, compte de résultat, bilan. Notions complémentaires : Economies d’échelle, secteurs d’activité, capital fixe, capital circulant, coûts fixes, coûts variables I- La diversité des entreprises Selon le secteur d’activité Secteur d’activité * :

sur les critiques de l’éco de marshal II) La remise en cause du naturalisme de Marshall Il met au point un essaie de critique de l’eco neo classique. Il est confronté aux ecrit de marshall et amener a discuter sur les coût constant décroissant dans l’industrie, et pose le problème de la variabilité des coûts et comment les classer ces coûts. On a une démarche d’artificialiste, c'est-à-dire un réalité suffisante, La séparation entre l’observateur et le producteur ne permet pas aux premiers

de repeuplement : -L’état remplace l’initiative privée. -Mise en place d’économies planifiées pour la guerre. Développement d’une économie d’échange : -Régimes monarchiques, issus des systèmes seigneuriaux médiévaux : -Le droit est « naturel » (loi du plus fort) -Besoins en financement énorme -pression fiscale importante -Economie agricole, marché et foires -Premiers développement du commerce international -Phase d’accumulation des capitaux (investi dans la production) Révolutions agricoles

- Physiocrate => ordre naturel, libéralisme, droit de propriété. - Conformité => propriété exclusive de la terre, produit net, stérilité de l’industrie et du circuit. - pensée originale => théorie de l’épargne, du capital, des rendements décroissants, et de la valeur. - valeur estimative = expression du degré d’estime que l’homme attache aux degrés de son désir. Dépend de l’utilité et de la rareté. (Après avoir lu Galiani). - valeur appréciative = détermine le prix ; se crée lors d’un

l’activité économique et la nécessité de limiter le rôle de l’État, pour permettre le libre développement de l’initiative individuelle. De Ricardo, les classiques tirèrent la notion de rendement décroissant, selon laquelle lorsque l’on fournit davantage de travail et de capitaux pour cultiver la terre, le rendement à « moyen terme du développement de l’agriculture diminue de façon régulière ». Smith, Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations (extrait) Adam Smith, que l’on

Macroéconomie -2- KHEMAKHEM Jamel CHAPITRE DEUX : LE COMPORTEMENT D’INVESTISSEMENT SECTION I – LA THEORIE KEYNESIENNE DE LA DEMANDE D’NVESTISSEMENT A) LE ROLE DU TAUX D’INTERET DANS LA DECISION D’INVESTISSEMENT a) L’approche de la VAN b) Le Taux de rendement interne B) LE ROLE DE LA DEMANDE ANTICIPEE DANS LA DECISION D’INVESTISSEMENT : LA THEORIE DE L’ACCELERATEUR a) Les hypothèses du modèle b) Formulation de l’accélérateur simple C) CONCLUSION SECTION II – LE MODELE NEOCLASSIQUE DE L’NVESTISSEMENT A)

Chez le classique, l’origine des richesses est dans le travail, et il qualifie la richesse comme les choses nécessaire à la vie. Et l’origine de la richesse c’est le travail. Pour lui si l’on veut avoir plus de richesse, il faudra accroître le rendement du travail. Il va alors s’intéresser à une fabrique d’épingle. On peut donc établir 18 étapes différentes dans cette production. Il nous dit que pour augmenter la production, il faut diviser la production en 18 étapes bien distinctes afin d’éviter

l’Angleterre de s’élever par rapport à la France. III. La loi de Malthus Au début du XIVe siècle, les trois fléaux (la famine, la peste, et la guerre) ravage l’Europe, ce qui a réduit fortement la population. Vers la fin de ce même siècle, la population combat ces fléaux, mais 200 ans plus tard, ils réapparaissent avec la période de grande famine en 1693-1694, ce qui entraine la France à devenir encor un pays pauvre. La loi Malthus peut résoudre se problème : « Quels que soient les progrès

de représenter leurs préférences par des fonctions définies sur les deux premiers moments d'une distribution de richesse aléatoire, à savoir l'espérance et la variance. * Étant donné que la richesse finale d'un individu est déterminée par le rendement de son investissement, cette dernière hypothèse signifie que les préférences des investisseurs peuvent être exprimées sous la forme de fonctions dont les paramètres sont l'espérance et la variance du taux de rentabilité d'un portefeuille.  

demande 4.6.1. La courbe de demande La courbe de demande émane des consommateurs. Elle indique la quantité de biens que les consommateurs désirent acheter pour chaque niveau de prix. La courbe de demande a une pente négative. Loi de la demande : une baisse du prix du bien se traduit par une hausse de la quantité de ce bien (et inversement). La quantité de bien que les consommateurs veulent acheter ne dépend pas que du prix mais aussi du revenu : Qd = Qd (P) Qd = Qd (P, R