Lorenzo Et Le Duc

principal de la pièce d'Alfred de Musset. Dans cette pièce de théâtre nous pouvons observer que Lorenzo a une forte présence scénique car il est présent dans 18 scènes sur 39, ce qui est beaucoup quand on regarde le nombre de personnages et la multiplicité des intrigues. Par une sorte d'omniprésence il est aussi présent dans de nombreux lieux : le jardin de Maffio (acte I, sc.1) ; dans le palais du duc (acte I, sc.4 ; acte IV, sc.1) ; chez sa mère (acte II, sc.4) ; dans sa propre chambre (acte III

c) Qui incarne le pouvoir religieux ? (plusieurs réponses attendues) 2 Florence a) Comment est présentée la ville par ses habitants ? (par les bannis, Tebaldeo ou encore Lorenzo…) 3 Le héros a) Comment est décrit le héros dans le premier acte ? b) Que sait-on de sa jeunesse ? c) Quelle est sa fonction auprès du duc ? d) Dans les trois premiers actes, quels sont les indices qui permettent au lecteur de deviner ses intentions profondes ? 4 L’intrigue a) Quelles sont les trois intrigues

donner la parole au Duc qui se trouve dans l'une de ses cour du palais. La scène 4 de l'acte I est une scène de présentation qui nous montre la rencontre du duc et le cardinal. C'est une intrigue qui oppose deux membres et deux systèmes de valeurs qui produit une critique sociale, on peut voir cette scène comme parallèle dans la scène 2 et 3 cela marque une opposition entre deux valeurs. La cour est désordonné car il y a corruption, mais Alexandre prend la défense de Lorenzo, alors que tout le

scène y ajoute même le rossignol chantant) 2. La réalité de la scène contredit l'image de paix et d'amour - irruption très brutale du duc dans le décor - la lanterne du duc est "sourde", c'est une lumière louche - les grand manteaux noirs cachent des déguisements ridicules et anti-religieux - l'expression "froid de tous les diables" qu'utilise le duc rappelle l'image de Lucifer qui mange les pécheurs dans l'Enfer glacé de Dante. 3. Conclusion Le jeu de surprise produit une inquiétude

45 ALFRED DE MUSSET LORENZACCIO (1834) L'action se déroule en 1537. Personnage grossier, brutal, le duc Alexandre de Médicis dirige la ville de Florence, en Italie, grâce à l'appui de l'Empereur Charles Quint et du pape Clément VII. Se désintéressant de sa haute fonction, méprisant la bourgeoisie comme le peuple, il passe son temps dans le lit des femmes. Son jeune cousin Lorenzo s’est donné pour but de libérer Florence de la tyrannie d’Alexandre. Pour gagner la confiance de ce dernier,

de la scène d'exposition : par un long dialogue entre le héros et son confident, le spectateur apprend tout de l'action en cours. * Musset opère ici un renversement sur deux plans par rapport aux attentes du spectateur : - les premières paroles du duc sont “je m'en vais” (l.1) ; les personna-ges n'apparaissent pas (masques, “elle” inconnue et invisible) - le rendez-vous à minuit au clair de lune est un pur cliché romanti-que, mais... 2. * Un enlèvement anti-romantique : * Éléments du cliché

écrit Lorenzaccio, un des chefs d’œuvre du drame romantique. - Je présente l’extrait : Dans cette première scène, rajoutée après coup, apparaissent le duc Alexandre de Médicis et Lorenzo, les principaux protagonistes : on les voit à l’œuvre, en train de procéder au rapt d’une jeune fille de quinze ans. Après la restauration des Médicis, le duc Alexandre et ses familiers se permettent impunément toutes les insolences, c'est ainsi que cette scène est présentée comme un condensé du drame qui va se

1537, Alexandre de Médicis, duc de Florence et tyran, fut assassiné par son cousin Lorenzo de Médicis. Dans l'œuvre de George Sand, Lorenzo, qui s'est rapproché du duc dans le but de l'abattre et d'interrompre ainsi la tyrannie, a réalisé que la mort du duc ne provoquera pas un changement de régime (George Sand a, elle-même, douloureusement ressenti l'échec de la Révolution de 1830). Il est totalement désabusé et déçu par l'humanité toute entière. Il tue cependant le duc lorsque ce dernier a la prétention

ACTE IV SCENE 11 Introduction Depuis le début de la pièce, Lorenzo prépare et organise le meurtre. Nous nous trouvons ici dans l'extrait où l'on nous raconte en direct le meurtre... : I) Les deux personnages "secondaires", le Duc et le maître d'armes A. Le Duc Alexandre Dans cette scène, il reste fidèle à l'image qu'il nous donne depuis le début : c'est un grossier personnage, il attend Catherine ; la tante de Lorenzo et il ne se préoccupe pas de préambules sentimentaux. Il refuse

LE DUC. — Je suis transi, - il fait vraiment froid. (Il ôte son épée). Eh bien, mignon, qu'est-ce que tu fais donc ? LORENZO. — Je roule votre baudrier autour de votre épée, et je la mets sous votre chevet. Il est bon d'avoir toujours une arme sous la main. (Il entortille le baudrier de manière à empêcher l'épée de sortir du fourreau.) LE DUC. — Tu sais que je n'aime pas les bavardages, et il m'est revenu que la Catherine était une belle parleuse. Pour éviter les conversations, je vais me mettre