Lothaire

fils survivants car (Pépin est décédé) il reste Lothaire, Louis et Charles. Ceux qui ont été lésé décident de rétablir l’égalité du partage et vont s’unir avec un serment : le serment de Strasbourg en 842. Ce serment est le premier texte qui n’est pas qu’en latin : dans la langue de Charles => le roman (donne le français) et dans celle de Louis => germanique (donne l’allemand). Considéré comme le premier texte fondateur de la France. En 843, Lothaire est battu par ses 2 frères et est obligé d’accepter

l'empire. Par contre Louis le Pieux laissera à sa mort 3 fils, l'ainé Lothaire qui va devenir empereur, le 2nd Louis le Germanique et 3e fils, Charles le Chauve. Le territoire est partagé en 3, la partie occidentale de l'empire est attribué à Charles le Chauve, Louis le germanique ont lui attribue la partie allemande de l'empire, et au milieu une bande de terrain qui va de l'Italie jusqu'à la mer du nord est attribué à Lothaire, la Lorraine. Les 2 frères ne sont que roi, sous l'autorité de leur

il va prendre la Francia Orientalis (c'est-à-dire toutes les terres du Danemark, de l’Autriche) on va l’appeler Louis le germanique. Lothaire : il va prendre la partie médiane (le milieu) Charles : il va prendre la Francia Occidentalis (c'est-à-dire la France occidentale) En revanche le concept de l’empire va rester, même s’il y a division et c’est Lothaire le plus faible qui va devenir Empereur. Charles va être roi de 843 à 877 va administrer une relation a peu près stable, et de 877 à 987

complications de la langue et à des orthographes qui n’ont pas vraiment d’explication. Pour le retenir, on doit l’apprendre par cœur. « Le serment de Strasbourg » a été écrit en 1142. Il se situe entre Louis le Germanique et Charles le Chauve et le frère Lothaire. C’est un accord entre les frères pour les différents royaumes. C’est un des premiers textes identifiés comme étant à la base du français. Le latin évolue avec le parlé, le roman (entre le latin et l’ancien français), l’ancien français, le moyen

les Francs écrasent la rébellion. 843 Au lendemain du traité, le territoire est partagé entre la Francie et la Lotharingie. C’est ainsi que la Flandre, au nord, revient à Charles le Chauve, tandis que la Wallonie s’intègre aux territoires de Lothaire Ier. Ces derniers seront toutefois attribués au Saint Empire romain germanique quelques années plus tard. Des Mérovingiens aux Capétiens 845 22 novembre Le Breton Nominoë bat les troupes du roi Carolingien Charles le Chauve à ballon près

Germanique et Lothaire) partagea l’empire de Charlemagne. La Francie occidentale, soit les pays situés à l’ouest de l’Escaut, de la Meuse, de la Sône et du Rhône, revint à Charles le Chauve; la Francie orientale, soit les pays à l’est du Rhin, échouèrent à Louis le Germanique, alors que la Lotharingie (les pays compris entre la mer du Nord jusqu’au golf de Tarente, avec les deux capitales d’Aix-la-Chapelle et de Rome) était attribuée, en même temps que le titre impérial, à Lothaire. En somme, la

de préservé l’unité de l’empire en léguant le royaume à son fils aîné Lothaire ms ce règlement successoral est remis en question qqs années après et les luttes familiales autour de sa succession aboutissent au partage de Verdun en 843 qui marque la mort de l’Europe. A l’Est du Rhin c’est le royaume de Louis le Germanique, à l’Ouest c’est celui de Charles le Chauve, et entre les 2 de la frise à l’Italie c’est celui de Lothaire. C’est donc un royaume qui n’est pas viable et qui continuera de se morceler

Charles le Chauve, mais ça ne correspond pas à la France actuelle, puisque la frontière est constituée par le Rhône. La partie Est de l'empire est attribué au roi Louis le Germanique et puis la partie centrale est attribué au frère ainé, nommé Lothaire qui reçoit le titre d'empereur. L'empire de Charlemagne comprend donc en sa partie centrale un vaste royaume qui va de la Hollande au nord de l'Italie en comprenant la Lorraine, la Bourgogne et la Provence, ce qui veut donc dire que ces trois derniers

permise que pour une cause juste. Le divorce existait également, mais le consentement mutuel n'était permis qu'avec une juste cause, sous Justinien. L'Eglise a d'autant plus de mal à imposer ses vues qu'au sommet de l'Etat, il n'y a pas de modèles : Lothaire a divorcé, Philippe Ier également... Les orthodoxes, interprétant St Matthieu, admettent la possibilité de divorcer lorsque la femme est adultère. En occident, les évangelistes considèrent que l'adultère ne peut pas constituer une cause de divorce

empêché Charlemagne de les accumuler en nombre impressionnant, les « épouses de jeunesse » demeurant de règle tout le IXe siècle). En conséquence, le divorce n’est plus une affaire facile à expédier : on connaît le cas célèbre du divorce manqué de Lothaire II avec Theutberge (le pape lui refuse ce droit et s’oppose à son désir de s’unir à Waldrade). Même si le mariage n’est pas encore un sacrement au sens exact (il ne le deviendra véritablement qu’au XIIe siècle), l’Église n’intervenant toujours pas