Louches

Deuxièmement, le père Goriot a de nombreux biens en or (« une lourde chaîne en or garnie de breloques » ligne 535 page 78, « sa tabatière, également en or » lignes 535-536 page 78) ainsi que de l'argenterie pesant un certain nombre de marcs (« les louches, les cuillers à ragoût, les couverts, les huiliers, les saucières, plusieurs plats, des déjeuners en vermeil, enfin des pièces plus ou moins belle » lignes 543-546 pages 78-79). On imagine le père Goriot riche comme Crésus. Tous les biens qu'il possède

Christopher Wallace (aka Notorious B.I.G.) Appartement B19 12 Times Square New York City | 11 septembre 1996, New York City | | Tupac Shakur | Objet : tentative d'assassinat Hey mon frère, Il se passe des évènements louches en ce moment, je sais que la dernière fois que l'on s'est vu à Las Vegas dans le Haze Nightclub, nous n'étions pas tout a fait d'accord sur le contrat de rénovation du Bedford Stuyvesant, mon quartier d'enfance, en terme de financement et d'architecture

injustice? Et bien c’est évidement parce que, même malgré nous, nous faisons toujours « une sélection beau/laid » dans notre vie sociale. Dès l’école cette sélection commence avec les enfants qui sont rejetés parce qu’ils sont trop gros ou parce qu’il louche. Cette sélection vous suit toute votre vie. Au travail, les embaucheurs ont tendance à engager des gens plus beaux que d’autres simplement pour l’image de leur entreprise, surtout si l’employé doit représenter une marque. Les gens avec qui ont travail

? Je ne suis que mâchoires hérissées de dents terribles (entends les claquer) et ces bêtes damnés m'échappent. Hélas ! mes oreilles ! Hélas ! mon tendre ventre bistré ! ma truffe enfiévrée !... Là ! juste sur mon nez, tu vois ? Comment faire ? Je louche tant que je peux... Il y a deux mouches maintenant ? Non, une seule... Non, deux... Je les jette en l'air comme un morceau de sucre. C'est le vide que je happe... Je n'en puis plus. Je déteste le soleil, et les mouches, et tout !... Il Gémit. KIKI-LA-DOUCETTE

dents le temps qui les devance. A l'aube, au soir, la nuit, Dans le tumulte et la querelle, ou dans l'ennui, Elles jettent vers le hasard l'âpre semence De leur labeur que l'heure emporte. Et les comptoirs mornes et noirs Et les bureaux louches et faux Et les banques battent des portes Aux coups de vent de leur démence. Dehors, une lumière ouatée, Trouble et rouge, comme un haillon qui brûle, De réverbère en réverbère se recule. La vie, avec des flots d'alcool est fermentée

augmentant avec l'âge, oblige le sujet à demander une consultation ophtalmologue. Des maux de tête apparaissent progressivement, s'associant à une sensation de brûlure oculaire essentiellement en fin de journée. Stabilise vers 70 ans. L’œil qui « louche » laisse travailler l’autre et l’enfant prend l’habitude de n’utiliser que l’un de ses yeux. Les structures nerveuses encore immatures ne se développent pas normalement car le cerveau apprend à ne traiter les informations que d’un seul œil. Cet œil

Happent des dents le temps qui les devance. À l’aube, au soir, la nuit, Dans le tumulte et la querelle, ou dans l’ennui, Elles jettent vers le hasard l’âpre semence De leur labeur que l’heure emporte. Et les comptoirs mornes et noirs Et les bureaux louches et faux Et les banques battent des portes Aux coups de vent de leur démence. Dehors, une lumière ouatée, Trouble et rouge, comme un haillon qui brûle, De réverbère en réverbère se recule. La vie, avec des flots d’alcool est fermentée. Les bars ouvrent

est attiré par une femme plus que par une autre. Nietszche expose une hypothèse tout à fait personnelle quant au lien entre inconscience et désir : « lorsque j'étais enfant, j'aimais une fille de mon âge, qui était un peu louche ; [...] longtemps après, voyant des personnes louches, je me sentais plus enclin à les aimer qu'à en aimer d'autres  ». Le désir serait le fruit de nos expériences agréables du passé qui ont marqué notre inconscient. Par conséquent, je ne suis pas ce que je crois être parce

c'est très crédible. Comme j'étais en pause avec des collègues ingénieurs, je leur fis part de l'affaire ! L'un deux trouve tout ça louche et appelle de son téléphone le libanais. Il dit : - Allô !! Oui ! Salut GASTON ! c'est comment ? Il entend une sale voix de vieux soulard camerounais lui répondre : - Ce n'est pas GASTON tu t'es trompé ! Là ça commence à sembler louche. Je me souvins alors d'une alerte à une arnaque semblable qu'un ainé avait postée sur notre forum d'ingénieurs ! Je relance moi-même

soleil, parfois à l’ombre grêle3 d’un arbre souffreteux, rongé de chenille. Derrière eux, Paris gronde, écrasé sous la chaleur de juillet ; le chemin de fer de ceinture siffle furieusement, tandis que, dans les terrains vagues, des industries louches empoisonnent l’air. Devant eux, s’étend la zone militaire, nue, déserte, blanche de gravats4, à peine égayée de loin en par un cabaret de planches. Des usines dressent leurs hautes cheminées de brique, qui coupent le paysage et le salissent de longs