Louis Aragon Toute Une Nuit

rendre avec les élèves sur le site : http://oradoursurglane.free.fr/ séance 10 lecture La poésie clandestine et la fraternité P. Emmanuel: “Les dents serrées”, de L’Honneur des poètes, 14 juillet 1943 (p.217) J. Cayrol, “J’accuse”, de Poèmes de la nuit et du brouillard, 1945. P. Eluard, “Avis” M. Cohn “Je trahirai demain” séance 11 lecture Chanter la grandeur de l’engagement R.G. Cadou: “Les fusillés de Châteaubriant” (p.220, A mots ouverts, 3ème, Livre unique, Nathan) séance 12 analyse d’image



 Présence de texte : - légende correspondant à chaque portrait patronyme, mais absence de prénom ( = rejet de l’aspect affectif), nationalité et idéologie (= étranger et dangereux), nombre d’attentats commis Terroristes dangereux, dépourvus de toute humanité, qui n’ont aucun point commun avec les " vrais " Français. 
 4) Quelles impressions cette affiche cherche-t-elle à produire sur le spectateur ? Quel message veut-elle transmettre ? OBJECTIFS DE L’AFFICHE : 1) convaincre les Parisiens

Ce cœur qui haïssait la guerre… Ce cœur qui haïssait la guerre voilà qu’il bat pour le combat et la bataille ! Ce cœur qui ne battait qu’au rythme des marées, à celui des saisons, à celui des heures du jour et de la nuit, Voilà qu’il se gonfle et qu’il envoie dans les veines un sang brûlant de salpêtre et de haine. Et qu’il mène un tel bruit dans la cervelle que les oreilles en sifflent, Et qu’il n’est pas possible que ce bruit ne se répande pas dans la ville et la campagne, Comme le son

ronge ma pensée, Toute une nuit, folâtrement m’ayant Entre ses bras, prodigue, ira payant Les intérêts de ma peine avancée. Pierre de RonsardJe vis, je meurs ; je me brûle et me noie Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie, et un poème de Louise Labé, publié dans l’oeuvre, les sonnets en 1955. Louise Labé appartient elle aussi au mouvement littéraire de la Renaissance. Louise Labé, aussi surnommée « la Belle Cordière

personnes, et des dates, comme par exemple « C’est Hitler, C’est Goebbels » dans « Le Legs » de R.Desnos. Quelles sont les figures célèbres de l’engagement en poésie ? De nombreux auteurs ont été représentatifs de la poésie engagée, notamment Louis Aragon avec par exemple son œuvre « La rose et la réséda ». Il s'agit d'un appel à l'unité dans la Résistance. Ou encore son poème « Le Roman inachevé », en 1956. Ensuite, le poème du  « Dormeur du Val » de Rimbaud en 1870 dénonce l’horreur de la guerre

| |fraternité |des poètes, 14 juillet 1943 (p.217) | | |lecture | |J. Cayrol, “J’accuse”, de Poèmes de la nuit et | | | | |du brouillard, 1945. | | | |

horreur, malheur, tristesse  - également confronté à la mort  * citation : Téophile Gautier dans "La vie dans la mort" extrait du Chapitre II dans la Comédie de la Mort : " TREPASSEE: est ce une illusion? Cette nuit tant rêvée? /La nuit du mariage elle est donc arrivée?  LE VERS: Cette nuit sera longue, ô blanche trépassée./ Avec moi, pour toujours la mort t'as fiancée."  => plein d'ironie, humour noir, il y aurait une vie après la mort? Originalité !  II - Le poète un être différent  Cette

conditions de vie de l’auteur : « poète aigri (…) ta plume gratte au cœur de la vie ». Je me souviens qu’Artaud avait adhéré au mouvement surréaliste, lequel compte dans ses rangs de nombreux et célèbres poètes : André Breton, Robert Desnos, Louis Aragon, Paul Eluard ont écrit des poèmes qui nous éloignent de la souffrance et du malheur. La poésie peut faire place à l’humour : Robert Desnos jouait avec les mots, ses textes étaient souvent drôles. Le poème « Les Hiboux » pourrait agréablement

père, né à Bologne, avait été appelé à Venise, en Hongrie ; il s'était fait une grande réputation par ses prédictions (comme pour beaucoup de ses « confrères », la médecine lui servait surtout de « couverture » vis-à-vis de l'Église qui interdisait toute forme de voyance). Christine reçoit à la cour l’éducation donnée aux jeunes filles de la noblesse et commence à composer des pièces lyriques qui lui valent l’admiration et même de nombreuses demandes en mariage – quoique de son propre aveu celles-ci

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente Louis ARAGON (France) (1897-1982) [pic] Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres (poèmes et romans) qui sont résumées et commentées. Bonne lecture ! Il est né à Paris, le 3 octobre 1897. Il était un enfant naturel. Sa mère, Marguerite Toucas, avait vingt-quatre ans ; son père, Louis Andrieux, en avait cinquante-sept, était marié et poursuivait une carrière de préfet de police et de député. Aussi ne reconnut-il pas l’enfant