Louis Armstrong Louise

fièvre de typhoïde : ou typhus abdominal est une maladie infectieuse qui peut causer, quarante-huit heures après la contamination, une fièvre qui augmente progressivement atteignant 40°C accompagnée de possible anorexie ou insomnie. Louis Armstrong : né Louis Daniel Armstrong le 4 août 1901 aux Etats-Unis à la Nouvelle-Orléans, il était trompettiste, chanteur et compositeur dans le jazz, le blues et le gospel. Il est décédé le 6 juillet 1971 à New-York. Vercoquin et le plancton : est un roman de Boris

Rose Murphy que de Louis Armstrong. Porgy and Bess est son enregistrement le plus connu avec la légende du jazz qu'était Louis Armstrong, mais elle a également enregistré avec lui le célèbre album Ella and Louis qui eut un tel succès que Granz leur demanda d'enregistrer un Ella and Louis Again, qui fut également un succès. Devenue aveugle par son diabète, on doit l'amputer des deux jambes en 1993. Elle meurt le 15 juin 1996 à Beverly Hills à l'âge de 79 ans. Louis Armstrong née le 4 aout 1901La

« Armstrong », Claude Nougaro Introduction Cette chanson a été interprétée en 1967 par le chanteur français Claude Nougaro, en hommage au chanteur de jazz Louis Armstrong. Ses paroles ont été adaptées sur la mélodie de Go Down Moses, classique de Gospel, interprétée en 1958 par Armstrong lui-même. Problématique possible : En quoi le jazz accompagne-t-il la dénonciation du racisme ? Développement / grandes idées à traiter Un hommage à L. Armstrong  Nougaro (« je ») s’adresse

Louis Daniel Armstrong, né le 4 août 1901 à La Nouvelle-Orléans en Louisiane et mort le 6 juillet 1971 à New York, aussi connu sous les surnoms de Satchmo (pour satchel-mouth, littéralement bouche-sacoche) ou Pops, est un musicien américain de jazz. D'une musique de folklore afro-américaine enracinée dans le gospel et le blues traditionnel et enfermée dans un terroir, Armstrong en fait un courant musical national et populaire à vocation

par les esclaves (contraband) qui se sont évadés, tenu par le général nordiste Benjamin BUTLER en septembre 1861 sous le titre : « Let my people go : a song of a contra bands ».Le 7 février 1958, Louis Armstrong enregistrera, à New-York, une version de ce spiritual sous le titre de « Go down Moses ». Louis Armstong est un chanteur et trompeniste du jazz Problématique : En quoi l’œuvre fait elle référence à l’esclavage ? Annonce du plant : afin de répondre notre problématique, nous allons tout d’abord

titres. |- Ecoute : Ecoute de la chanson « Amstrong » de C. Nougaro, De quoi parle la chanson ? | |- Etudier la chanson « Armstrong » par les paroles et par son accompagnement. | | |- Apprendre et interpréter collectivement une chanson

et de la musique européenne. Le jazz bands (instruments qui compose le jazz) est composé : - D’une Guitare - D’un Saxophone - D’un Trompette - D’un Trombone - D’un Piano - D’une Batterie - D’une Guitare basse - D’une Contrebasse Louis Daniel Armstrong est un grand musicien de Jazz, de Blues et de Gospel. Il jouait du cornet et de la trompette. Ses chansons les plus célèbres sont What a wonderful world et Dès les années 70, le jazz et la musique latine donnent le latin jazz, mais c'est

s’accrocher pour survivre sur une terre encore inconnue. Le negro spiritual sont aussi des chants religieux.Les noirs les chantent aussi dans les églises où ils se retrouvent après une dure journée de labeur. Quelques chanteurs célèbres: Louis Armstrong, Marian Anderson, Claude Nougaro, et plein d‘autres. Morceaux: Aujourd‘hui, nous allons vous presenter deux morceaux: “Swing low, sweet chariot” par Wallis Willis et “Sometimes I Feel Like A Motherless Child” par Paul Robeson.

Je vais vous parlez de Go down Moses qui est un classique de Gospel. Autrefois, il était chanté par les esclaves en Amérique inspiré par l'ancien testament. Cette version a été enregistré par Louis Armstrong le 7 férier 1958. L’artiste : Louis Armstrong né en 1901 à la Nouvelle Orléans et mort en 1971 à New-York, était un musicien américain de jazz. Il fut surtout reconnu pour ses qualités de trompettiste avant de développer au fil de sa carrière des

grands-parents paternels dans le quartier des Minimes[]. Son grand-père Alexandre, planton au Capitole, et sa grand-mère Cécile, sage-femme, chantent tous les deux dans une chorale[2]. À douze ans, il écoute Glenn Miller, Édith Piaf, Bessie Smith et Louis Armstrong sur la TSF qui, entre autres, l'inspire à suivre cette voie[]. En 1947, il échoue au baccalauréat, et débute alors à Paris dans le journalisme (en écrivant pour divers journaux, dont Le Journal des Curistes à Vichy et L'Écho d'Alger). En parallèle